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Même sur 1h20, le film semble " tirer à la ligne " un schéma trop maigre, (...) (mais) prend un peu plus de consistance et de personnalité sur la fin, lorsque le personnage principal change de nature, comme si l'adolescent venait de grandir. Encore un effort !
L'intérêt du film de Kazushi Watanabe (...) réside essentiellement dans cette capacité à échapper à ses propres références. Certes, les ombres de Jim Jarmush ou de Takeshi Kitano planent largement au-dessus du film, mais celui-ci s'en démarque insidieusement pour démasquer une sourde absence de détermination.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La rock'n roll attitude qu'il (le réalisateur) s'acharne à tenir d'un bout à l'autre du métrage - lumières saturées ad nauseam, pellicule granuleuse, longs riffs de guitare et bandits fashion- peine à réduire au silence un criant héritage : la visible omniprésence d'un père, Kitano, dont l'ombre plane jusqu'à l'étouffer.
Filmée en vidéo retravaillée façon palette graphique déglinguée, l'errance mélancolique et violente de ces trois bad boys est d'une redoutable prétention. (...) on n'y croit pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
Même sur 1h20, le film semble " tirer à la ligne " un schéma trop maigre, (...) (mais) prend un peu plus de consistance et de personnalité sur la fin, lorsque le personnage principal change de nature, comme si l'adolescent venait de grandir. Encore un effort !
Le Monde
L'intérêt du film de Kazushi Watanabe (...) réside essentiellement dans cette capacité à échapper à ses propres références. Certes, les ombres de Jim Jarmush ou de Takeshi Kitano planent largement au-dessus du film, mais celui-ci s'en démarque insidieusement pour démasquer une sourde absence de détermination.
TéléCinéObs
Personnages archétypaux, humour froid et caméra vidéo à l'épaule... La finalité du film demeure obscure.
Cahiers du Cinéma
La rock'n roll attitude qu'il (le réalisateur) s'acharne à tenir d'un bout à l'autre du métrage - lumières saturées ad nauseam, pellicule granuleuse, longs riffs de guitare et bandits fashion- peine à réduire au silence un criant héritage : la visible omniprésence d'un père, Kitano, dont l'ombre plane jusqu'à l'étouffer.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Un film particulièrement vide de substance et de style.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Filmée en vidéo retravaillée façon palette graphique déglinguée, l'errance mélancolique et violente de ces trois bad boys est d'une redoutable prétention. (...) on n'y croit pas.