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Aspect historique intéressant de ce film : Tourné en pleine guerre du Vietnam en 1968 avec la collaboration de l' US Army , John Wayne a utilisé exactement le même matériel ( avions , hélicoptères , armes , camion , uniformes ... ) que sur les théâtres d'opérations .
Voilà pour le point positif .
Après tout le reste est très basique & subjectif : Les américains = Les gentils , les vietnamiens communistes = Les méchants , les populations civiles du Vietnam Sud = Les victimes des méchants Việt Cộng & de l'armée du Vietnam du Nord .
John Wayne garde toujours la pêche malgré une qualité athlétique pas évidente & passe tout le film à diaboliser les Vietnamiens du Nord & le Việt Cộng , en parallèle les GI's sont toujours présentés comme des sauveurs qui ne commettent jamais de crimes de guerre ... Sans parler du journaliste montré au début comme arrogant & contre la guerre du Vietnam que l'expérience sur le terrain au Vietnam va transformer en vrai patriote supportant son armée .
Les 136 minutes paraissent interminables mais peut-être qu'en coupant toutes les inutiles & médiocres séquences pleines de bons sentiments ainsi que les passages d'humour viril , le film aurait été moins catastrophique .
Voilà pour le point positif .
Après tout le reste est très basique & subjectif : Les américains = Les gentils , les vietnamiens communistes = Les méchants , les populations civiles du Vietnam Sud = Les victimes des méchants Việt Cộng & de l'armée du Vietnam du Nord .
John Wayne garde toujours la pêche malgré une qualité athlétique pas évidente & passe tout le film à diaboliser les Vietnamiens du Nord & le Việt Cộng , en parallèle les GI's sont toujours présentés comme des sauveurs qui ne commettent jamais de crimes de guerre ... Sans parler du journaliste montré au début comme arrogant & contre la guerre du Vietnam que l'expérience sur le terrain au Vietnam va transformer en vrai patriote supportant son armée .
Les 136 minutes paraissent interminables mais peut-être qu'en coupant toutes les inutiles & médiocres séquences pleines de bons sentiments ainsi que les passages d'humour viril , le film aurait été moins catastrophique .
Redzing
La guerre du Vietnam a été très présente au cinéma dans les 80's, avec d'un côté les films antimilitaristes qui sont suivi "Apocalypse Now", de l'autre les nanars revanchards et réactionnaires. Bien avant tout cela, l'hyper-conservateur John Wayne, désireux de redorer le blason de l'armée qui s'effritait, réalisa ces "Green Berets", tourné peu avant l'offensive du Tet. Il est intéressant sur le principe de voir un film pro-guerre sorti pendant le conflit, pour autant il s'agit ici d'une œuvre de propagande sans subtilité. La mise en scène est molle, le scénario peu intéressant, les scènes d'action fade, et les acteurs peu inspirés, malgré quelques têtes sympathiques (dont George "Sulu" Takei !). Sans parler d'un enfant comique de service crispant, et d'une glorification de l'armée américaine assez nauséabonde (les soldats passent plus de temps à faire de l'humanitaire qu'à se battre, ils sont nobles face aux odieux vietcongs, le journaliste cynique anti-guerre se fait en permanence rabattre le caquet, etc.). Et si le film a visiblement disposé d'un important soutient logistique de la part de l'armée, les décors naturels, qui n'ont rien à voir avec la végétation sud-asiatique, font sourire. Sans être un nanar, "The Green Berets" est donc une œuvre très douteuse.
Franchement nul... un film déprimant , sans aucun rythme, sans intérêt, bourré de poncifs et totalement insipide. Les gentils américains qui prennent doin ded pauvres villageois et luttent contre les affreux communistes vietnamiens. On n'y croit pas une seconde ! tout est bidon.
Les Bérets verts est un film généralement décrié pour son engagement pro-Guerre du Vietnam (ce projet, dans lequel John Wayne décida de se lancer après une visite aux troupes américaines au Vietnam, fut difficile à financer et a déclenché de nombreuses manifestations à travers le monde entier). Mais une fois que l’on sait que cette seconde réalisation de John Wayne (en collaboration avec Ray Kellogg) est tout aussi patriotique que son acteur-réalisateur, qu’en est-il du film d’un point de vue purement cinématographique. Une fois passée une introduction justifiant l’intervention américaine qui établit l’aspect propagandiste de l'œuvre, nous nous retrouvons face à un bon film de guerre bien mis en scène et dans le pur classicisme dans lequel Wayne a toujours évolué : il alterne entre un héroïsme purement hollywoodien et des passages plus légers (tournant souvent autour du personnage de Petersen) comme cela se fait souvent dans cette tradition cinématographique. Les amateurs de films de guerre des années 60 devraient donc apprécier en partant du principe que l’ennemi Viêt-Cong (et non pas vietnamien car la partie non-communiste de ce peuple est plutôt montrée avec respect) n’est pas plus mal traité que l’ont été les ennemis allemand et japonais pendant des dizaines de films par le passé.
Sans conteste un navet... bien sûr, il est dans la lignée de tous les films de John Wayne, les bons d'un côté (le sien) et les méchants de l'autre. "Les bérets verts", c'est un peu les cow boys contre les indiens et on s'y ennuie à mourir, ce film restera comme un des tout premiers sur le sujet, plebiscité par l'armée US et le gouvernement qui virent là une bonne opération de propagande alors qu'ils s'enlisaient davantage en Asie du sud est.
A voir une fois, et à ranger au rayon des énormités cinématographiques guerrières, car aucun intérêt sauf pour les inconditionnels de John Wayne...
A voir une fois, et à ranger au rayon des énormités cinématographiques guerrières, car aucun intérêt sauf pour les inconditionnels de John Wayne...
"
spoiler:
Etes-vous déjà allé en Asie du Sud-Est ? (...) Ici, une procédure régulière est une balle.
"
Le premier acte est spoiler: très réaliste et objectif. Il montre ce que sont les Bérets verts et demande à ceux qui les condamnent, sans chercher à comprendre un point de vue différent du leur, s'ils se sont déjà rendus dans des endroits du monde où la corruption et la violence prévalent sur l’état de droit, et où les procédures régulières prennent souvent la forme « d’une balle »
.
Le deuxième acte suit spoiler: la vie d'un camp où les Bérets Verts assistent les forces et populations sud-vietnamiennes qui ne souhaitent pas s'impliquer dans le mouvement Viêt-Cong, et sont ainsi intimidées, kidnappées, violées, torturées et assassinées. A ma connaissance, "Les Bérets Verts" est le seul film avec "Entre Ciel et Terre" (1993), qui clôt la trilogie vietnamienne d'Oliver Stone, à montrer le recours à la terreur routinière par « l'Armée populaire du Vietnam – Viêt-Cong » pendant la Deuxième Guerre d'Indochine
.
A propos, lisez l’article « The Viet Cong Committe Atrocities, Too » de Heather Stur, publié dans le New York Times le 19 décembre 2017.
Le troisième acte consiste à spoiler: reprendre le camp envahi par l'ennemi avant de capturer le chef VC du Sud Vietnam
.
Les opinions exprimées ont le droit de l’être, qu’elles soient partagées ou non ! Car, dans le cas contraire, la condamnation de l’œuvre sans pensée critique, qui reconnaît à la fois ses forces et ses défauts, n’est qu’une forme de terrorisme intellectuel, qui rejette les droits humains fondamentaux tels que la liberté d’expression.
Enfin, si la partie située à Fort Bragg en Caroline du Nord a bien été tournée sur place, c'est spoiler: Fort Benning à côté de Columbus en Géorgie, à la frontière de l'Alabama, qui a été utilisé pour les scènes se déroulant au Vietnam. D'où une différence notable de végétation
.
« Bien sûr, j'agite le drapeau américain. Connaissez-vous un meilleur drapeau à agiter ? Bien sûr, j'aime mon pays avec tous ses défauts. Je n'ai pas honte de cela, je n'ai jamais eu honte de cela et n’en aurai jamais honte. » – John Wayne
3.4/5
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Le premier acte est spoiler: très réaliste et objectif. Il montre ce que sont les Bérets verts et demande à ceux qui les condamnent, sans chercher à comprendre un point de vue différent du leur, s'ils se sont déjà rendus dans des endroits du monde où la corruption et la violence prévalent sur l’état de droit, et où les procédures régulières prennent souvent la forme « d’une balle »
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Le deuxième acte suit spoiler: la vie d'un camp où les Bérets Verts assistent les forces et populations sud-vietnamiennes qui ne souhaitent pas s'impliquer dans le mouvement Viêt-Cong, et sont ainsi intimidées, kidnappées, violées, torturées et assassinées. A ma connaissance, "Les Bérets Verts" est le seul film avec "Entre Ciel et Terre" (1993), qui clôt la trilogie vietnamienne d'Oliver Stone, à montrer le recours à la terreur routinière par « l'Armée populaire du Vietnam – Viêt-Cong » pendant la Deuxième Guerre d'Indochine
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A propos, lisez l’article « The Viet Cong Committe Atrocities, Too » de Heather Stur, publié dans le New York Times le 19 décembre 2017.
Le troisième acte consiste à spoiler: reprendre le camp envahi par l'ennemi avant de capturer le chef VC du Sud Vietnam
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Les opinions exprimées ont le droit de l’être, qu’elles soient partagées ou non ! Car, dans le cas contraire, la condamnation de l’œuvre sans pensée critique, qui reconnaît à la fois ses forces et ses défauts, n’est qu’une forme de terrorisme intellectuel, qui rejette les droits humains fondamentaux tels que la liberté d’expression.
Enfin, si la partie située à Fort Bragg en Caroline du Nord a bien été tournée sur place, c'est spoiler: Fort Benning à côté de Columbus en Géorgie, à la frontière de l'Alabama, qui a été utilisé pour les scènes se déroulant au Vietnam. D'où une différence notable de végétation
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« Bien sûr, j'agite le drapeau américain. Connaissez-vous un meilleur drapeau à agiter ? Bien sûr, j'aime mon pays avec tous ses défauts. Je n'ai pas honte de cela, je n'ai jamais eu honte de cela et n’en aurai jamais honte. » – John Wayne
3.4/5
Je viens de voir «The Green Berets» à la télé, et j'ai lu les critiques postées ici.
On ne peut pas comparer ce film à Apocalypse Now (1979) tourné 11 ans après, ou Full Metal Jacket (1987) tourné 19 ans après !
Ce film a été réalisé pendant le conflit avec les moyens cinématographique qu'ils y avaient à l’époque.
Donc, n'en déplaise à certains, c’est un bon film plein d'action, de suspense grâce à une dernière mission à la fin du film.
A voir sans retenu.
On ne peut pas comparer ce film à Apocalypse Now (1979) tourné 11 ans après, ou Full Metal Jacket (1987) tourné 19 ans après !
Ce film a été réalisé pendant le conflit avec les moyens cinématographique qu'ils y avaient à l’époque.
Donc, n'en déplaise à certains, c’est un bon film plein d'action, de suspense grâce à une dernière mission à la fin du film.
A voir sans retenu.
Je savais que ce film était considéré comme un film de propagande pro-guerre du viet-nam et, qu'à l'époque, il avait suscité l'lire des nombreux opposants à ce confilt.
Cela s'est confirmé en le regardant : les Américains sont des héros venant au secours des braves civils locaux face aux horribles viet-congs.... Et John Wayne est leur Messie....
Mais,outre cet aspect propagandiste, presque drôle tant il est caricatural, j'ignorais à quel point ce film étiait une daube cinématograhique : dialogues plats, décors ressemblant autant au sud viet-nam que mon jardin, mêmes les scénes d'action sont mal fichues....
Et c'est, long, mais long.... C'est avec soulagement que j'ai vu apparraître le générique de fin, que je suis d'ailleurs surpris d'avoir atteint sans couper en cours de route.....
Cela s'est confirmé en le regardant : les Américains sont des héros venant au secours des braves civils locaux face aux horribles viet-congs.... Et John Wayne est leur Messie....
Mais,outre cet aspect propagandiste, presque drôle tant il est caricatural, j'ignorais à quel point ce film étiait une daube cinématograhique : dialogues plats, décors ressemblant autant au sud viet-nam que mon jardin, mêmes les scénes d'action sont mal fichues....
Et c'est, long, mais long.... C'est avec soulagement que j'ai vu apparraître le générique de fin, que je suis d'ailleurs surpris d'avoir atteint sans couper en cours de route.....
Un bon navet comme J.WAYNE sait les faire. Un manicheisme à faire peur, une mise en scène digne d'un sitcom polonais.Enfin
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