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Votre avis sur Vendredi 13 - Chapitre 2 : le tueur du vendredi ?
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Avec ce "Vendredi 13 chapitre 2" c'est toute mon enfance que je me remémore avec plaisir. Il est avec le premier volet de la saga le "slasher movie" qui m'a fait devenir un fan inconditionnel de film d'horreur, au sens large du terme. Le début du métrage est direct et sans fioriture, l'ambiance, la violence, et le fameux flashback de la scène finale du premier épisode dans le lac, tout y est. Le plus important est qu'on découvre Jason pour la première fois, il est brutal, physiquement impressionnant et méthodique dans ses actes, son célèbre masque de hockey n'étant pas encore de la partie. Les acteurs sont assez bon pour la plupart, surtout "Amy Steel" dans le rôle principal, juste excellente dans les émotions qu'elle transmet. L'ambiance sombre de la forêt est respecté a la lettre, des clins d'œil au premier opus sont même dissimulés tout au long du métrage. En bref, le rythme des meurtres, la fin du film, les effets, la musique, tout est parfait dans ce film...
Je vous le recommande chaudement !
Je vous le recommande chaudement !
Cette suite se laisse voir. Scénario identique. Un tueur sévit auprès d'un groupe de jeunes plus nombreux que dans le premier volet. Toujours suggestifs, les meurtres restent original, pour certains. J'ai apprécié les plans, sur certaines séquences. La main du tueur avec un couteau ou les plans avec des cris féminins sans que l'on en voit davantage. Excellente, la décente des marches ! Il y a de très bonnes idées que l'on aimerait voir davantage dans les films d'horreur. Chapeau, le réalisateur, ses plans sont recherchés et nous empêchent l'ennui. On atteint facilement le bout :) Certaines séquences sont même reprises dans des films plus récents, notamment celle de la voiture.
Suite du cultissime Vendredi 13, Le tueur du vendredi se passe cinq ans après le massacre du premier film avec de nouveaux moniteurs dans un camp voisin. Le film commence par un cauchemar de la seule survivante dans lequel elle revoit son affrontement face à la mère de Jason, avant de se faire assassiner par ce dernier, qui lui plante un pic à glace dans une tempe.
Très similaire à Vendredi 13, il reprend sa structure avec le cliché des moniteurs en couple, la séparation en deux groupes et les assassinats qui surviennent un à un. Le directeur leur raconte même la légende de Jason autour d'un feu spoiler: et engage un collègue pour faire le tueur qui surgit.
Alors que deux moniteurs veulent aller voir la zone du camp maudit mis en quarantaine, ils tombent sur un policier qui ne fait pas long feu en découvrant un vieil abri où Jason a visiblement caché quelque chose de macabre.
La réalisation est un cran au-dessus, ce qui est un bon point pour un film sorti seulement un an après, les plans font moins vieillots malgré un ralenti à la fin et une scène à la première personne avec la machette en avant. Les meurtres restent originaux entre corde qui pend par les pieds et tranchage de gorge, lance plantée à travers un couple en pleins ébats, machette lancée dans la figure suivi d'une dégringolade dans les escaliers et attaques à la fourche.
La symbolique macabre de Jason (non sans avoir inspiré Lisa Trevor dans le remake du jeu vidéo Resident Evil) spoiler: met en scène la tête de sa mère à moitié momifiée à côté de bougies et de son pull : l'héroïne ruse alors en enfilant ce dernier pour se faire passer pour sa mère et faire lâcher son arme à Jason,
Ginny ayant une certaine psychologie, elle-même ayant parlé du profil du tueur un peu plus tôt. Pour ne pas que ce soit trop facile, cela ne fonctionne évidemment que peu de temps spoiler: et Jason découvre à temps le visage de sa mère toujours présent sur l'autel.
Le dernier couple survivant découvre avec stupeur spoiler: le visage à moitié brûlé de Jason
alors qu'il tente d'attraper Ginny en surgissant par la fenêtre. Sa monstruosité est renforcée spoiler: par son œil droit complètement de travers à cause de brûlure, ce qui explique que
son masque (pas encore le fameux casque de hockey mais un sac de pommes de terre) spoiler: n'a de trou que pour l'œil gauche.
Ginny se réveille plus tard dans une ambulance sans aucun souvenir spoiler: sur la façon dont elle s'est échappée, laissant Jason dans la nature et le sort de Paul incertain.
Le plan final montre la tête de Mme Voorhees, comme attestant que le déchaînement meurtrier de Jason n'est pas terminé. Un bon film, en espérant que les suites se démarquent davantage.
Très similaire à Vendredi 13, il reprend sa structure avec le cliché des moniteurs en couple, la séparation en deux groupes et les assassinats qui surviennent un à un. Le directeur leur raconte même la légende de Jason autour d'un feu spoiler: et engage un collègue pour faire le tueur qui surgit.
Alors que deux moniteurs veulent aller voir la zone du camp maudit mis en quarantaine, ils tombent sur un policier qui ne fait pas long feu en découvrant un vieil abri où Jason a visiblement caché quelque chose de macabre.
La réalisation est un cran au-dessus, ce qui est un bon point pour un film sorti seulement un an après, les plans font moins vieillots malgré un ralenti à la fin et une scène à la première personne avec la machette en avant. Les meurtres restent originaux entre corde qui pend par les pieds et tranchage de gorge, lance plantée à travers un couple en pleins ébats, machette lancée dans la figure suivi d'une dégringolade dans les escaliers et attaques à la fourche.
La symbolique macabre de Jason (non sans avoir inspiré Lisa Trevor dans le remake du jeu vidéo Resident Evil) spoiler: met en scène la tête de sa mère à moitié momifiée à côté de bougies et de son pull : l'héroïne ruse alors en enfilant ce dernier pour se faire passer pour sa mère et faire lâcher son arme à Jason,
Ginny ayant une certaine psychologie, elle-même ayant parlé du profil du tueur un peu plus tôt. Pour ne pas que ce soit trop facile, cela ne fonctionne évidemment que peu de temps spoiler: et Jason découvre à temps le visage de sa mère toujours présent sur l'autel.
Le dernier couple survivant découvre avec stupeur spoiler: le visage à moitié brûlé de Jason
alors qu'il tente d'attraper Ginny en surgissant par la fenêtre. Sa monstruosité est renforcée spoiler: par son œil droit complètement de travers à cause de brûlure, ce qui explique que
son masque (pas encore le fameux casque de hockey mais un sac de pommes de terre) spoiler: n'a de trou que pour l'œil gauche.
Ginny se réveille plus tard dans une ambulance sans aucun souvenir spoiler: sur la façon dont elle s'est échappée, laissant Jason dans la nature et le sort de Paul incertain.
Le plan final montre la tête de Mme Voorhees, comme attestant que le déchaînement meurtrier de Jason n'est pas terminé. Un bon film, en espérant que les suites se démarquent davantage.
Un slasher parmi tant d'autres... C'est vrai quoi ! Mise à part le fait que l'univers et le tueur de la saga soit connus, ce deuxième chapitre est une purge ! Que ce soit pour scénario simpliste et inefficace ou pour sa non-maitrise de la peur, " Le tueur du vendredi " est une daube. Sinon, les acteurs restent bon et assez convaincants. La bande-originale ne contient presque aucune nouveauté par rapport à celle du premier volet. Et sans oublier la mise en scène super kitsch qui utilise des effets assez moche. Bref, au final, soit ce film est mauvais ou soit, il a mal vieilli.
Yannickcinéphile
Bon, le premier Vendredi 13 n’était déjà qu’un slasher basique. Comment cette suite directe pouvait apparaitre comme innovante ? Et bien elle ne l’est nullement, rassurez-vous, et c’est une suite bien moins pertinente pour beaucoup de raison.
En premier lieu le casting est dans l’ensemble bien moins convaincant que dans le premier métrage. La seule véritable bonne surprise, et je comprends qu’elle soit revenu dans un autre épisode, est Amy Steel. Si elle n’est pas géniale, attention, elle est plus efficace qu’Adrienne King du film précédent, et fait une scream queen convaincante. On l’appréciera notamment dans un final qui lui permet de s’exprimer. Pour le reste il y a moins de naturel chez les acteurs, les personnages ont des attitudes bizarres (jouer au monopoly c’est normal, se baigner de nuit dans un étang tout nu ça l’est moins). Globalement les personnages sont moins attachants.
Le scénario reprend les codes du premier film sans chercher à s’en affranchir d’une quelconque manière. Le souci c’est que tout fonctionne moins bien. Le rythme est beaucoup moins au point, avec des meurtres tardifs et une partie exposition qui tire inutilement en longueur. L’aspect sanglant des meurtres, trop souvent expédiés disparait, au profit ici d’un érotisme sans grande ambition. Après cela peut plaire à certain de voir des seins plutôt que du sang, mais enfin, dans un film d’horreur c’est quand même un point plus attendu. En clair pas d’imagination et une recette moins bien exploitée.
Visuellement on reste sur la dynamique du 1, mais avec peut-être une photographie un poil meilleur, moins sombre. Néanmoins je réitère ma critique du premier métrage, à savoir qu’on manque toujours d’une véritable ambiance, avec des décors mal utilisés. Miner ne se révélant d’ailleurs pas comme un grand réalisateur ici (Miner est quand même très inégal). Certains meurtres sont digne du train fantôme (il y a une apparition qui va en faire rire plus d’un) et autant dans le premier film ils étaient bien amenés, autant ici c’est vite emballé et on passe à la suite. Gros déficit aussi sur la bande son.
En clair Vendredi 13 deuxième du nom est un tout petit slasher horrifique, tout comme le un, mais presque toujours moins bon dans chaque compartiment. Quelques mieux sur l’actrice principale et la photographie, mais rien de bien notable par rapport aux moins. 1.5 et encore, j’ai presque failli mettre 1 jusqu’au final pas trop mal fichu.
En premier lieu le casting est dans l’ensemble bien moins convaincant que dans le premier métrage. La seule véritable bonne surprise, et je comprends qu’elle soit revenu dans un autre épisode, est Amy Steel. Si elle n’est pas géniale, attention, elle est plus efficace qu’Adrienne King du film précédent, et fait une scream queen convaincante. On l’appréciera notamment dans un final qui lui permet de s’exprimer. Pour le reste il y a moins de naturel chez les acteurs, les personnages ont des attitudes bizarres (jouer au monopoly c’est normal, se baigner de nuit dans un étang tout nu ça l’est moins). Globalement les personnages sont moins attachants.
Le scénario reprend les codes du premier film sans chercher à s’en affranchir d’une quelconque manière. Le souci c’est que tout fonctionne moins bien. Le rythme est beaucoup moins au point, avec des meurtres tardifs et une partie exposition qui tire inutilement en longueur. L’aspect sanglant des meurtres, trop souvent expédiés disparait, au profit ici d’un érotisme sans grande ambition. Après cela peut plaire à certain de voir des seins plutôt que du sang, mais enfin, dans un film d’horreur c’est quand même un point plus attendu. En clair pas d’imagination et une recette moins bien exploitée.
Visuellement on reste sur la dynamique du 1, mais avec peut-être une photographie un poil meilleur, moins sombre. Néanmoins je réitère ma critique du premier métrage, à savoir qu’on manque toujours d’une véritable ambiance, avec des décors mal utilisés. Miner ne se révélant d’ailleurs pas comme un grand réalisateur ici (Miner est quand même très inégal). Certains meurtres sont digne du train fantôme (il y a une apparition qui va en faire rire plus d’un) et autant dans le premier film ils étaient bien amenés, autant ici c’est vite emballé et on passe à la suite. Gros déficit aussi sur la bande son.
En clair Vendredi 13 deuxième du nom est un tout petit slasher horrifique, tout comme le un, mais presque toujours moins bon dans chaque compartiment. Quelques mieux sur l’actrice principale et la photographie, mais rien de bien notable par rapport aux moins. 1.5 et encore, j’ai presque failli mettre 1 jusqu’au final pas trop mal fichu.
FaRem
Après le grand succès commercial du premier, c'est en toute logique qu'on a vu débarquer seulement un an après ce chapitre 2 dirigé pour la première fois par Steve Miner. Le film commence avec la survivante du 1 qui n'en a malheureusement pour elle pas terminé avec la famille Voorhees... Une fois l'affaire bouclée on se retrouve il me semble 5 ans après avec une histoire qui est un simple copier coller du 1 et autant j'avais aimé le premier autant je trouve celui-ci très en dessous il ne se passe strictement rien il faut attendre la 50e minute pour avoir un peu de mouvement et en attendant pas d'ambiance ni de tension pour nous faire patienter de plus même les meurtres sont plats et sans intérêts... C'est une question de point de vue, mais le 1 a été critiqué pour ses longueurs, mais pour moi ce chapitre 2 est une longueur à lui tout seul tellement il est ennuyeux et ça malgré l'arrivé dans la saga de Jason, mais comme pour le précédent, le tueur n’apparaît entier dans le film que trop tard puis de toute façon, il n'a rien d'effrayant avec son look de paysan et son sac sur la tête. Cette suite est pour moi une mauvaise copie qui n'arrive pas à la hauteur du premier malgré l'introduction de Jason.
Poussif, improbable, ridicule.
Cette suite ne vaut même pas une série b.
Cette suite ne vaut même pas une série b.
Shawn777
Suite quelque peu inférieure au premier, réalisée cette fois par Steve Miner et sortie en 1981. Nous retrouvons, une nouvelle fois, une bande d'adolescents qui sont à une sorte de stage pour moniteurs (en même temps, le contexte, on s'en fous un peu dans ce genre de slasher) et qui se font décimer les uns après les autres. Mais pas par n'importe qui ! Effectivement, si dans le premier film, le tueur (ou plutôt la tueuse) était Pamela Voorhees, nous avons ici son fils Jason qui est sur le point d'être une des figures les plus emblématiques du genre. Même s'il n'a pas encore son célèbre masque de hockey mais n'a qu'un vulgaire sac à patates sur la tronche, le film a au moins le mérite d’introduire Jason d'une manière potable, surtout comparé à d'autres films du genre. Même si ce film ne reste dans le fond qu'un vulgaire slasher, il respecte tout de même très bien les codes du genre et nous offre un spectacle des plus divertissants. Malgré tout, respecter les codes du slasher, c'est aussi le talon d'Achille du film. Par rapport au premier, dans le fond, le film n'apporte pas grand-chose, hormis bien-sûr le fait d’introduire Jason. Nous sommes en effet devant un slasher des plus classiques, ce qui ravira les fans du genre (dont moi, je l'avoue), mais néanmoins, le film ne restera pas gravé dans les mémoires, faute d'éléments réellement intéressants ! On peut cependant noter l'originalité de la fin qui lorgne vers du "Psychose" mais également la mise en scène des meurtres dont le réalisateur s'est toujours montré très créatif (il en sera d'ailleurs de même dans le troisième opus). "Vendredi 13 - Chapitre 2 : Le Tueur du vendredi" n'est donc pas une suite mémorable mais nous fait malgré tout passer un bon moment, surtout pour les amateurs du genre, évidemment !
Roub E.
Jason prend les choses en main et va commettre ses premiers meurtres. Ce film prend réellement la direction de ce que va devenir la franchise à savoir des filles nues et des meurtres à l arme blanche. C est donc un plaisir coupable qu on regarde pour se détendre et s amuser du mauvais jeu des acteurs et de quelques meurtres sympa comme celui de l handicapé.
Un film d'horreur fade et sans surprise plaisant à regarder mais tellement prévisible et cliché .
Suite de "Vendredi 13", ce Part 2 reprend presque trait pour trait la trame du premier volet avec les mêmes défauts, qui plus est amplifiés ... Il y a encore moins de surprises, la mère de Jason est donc remplacée par son propre fils revenu des flots de l'Enfer, il va se faire un malin plaisir à tuer un par un ces maudits campeurs venant sur son territoire pour assouvir sa vengeance. Un pur slasher en soit avec des
personnages n'ayant aucun semblant de charisme, le film ne prend même pas la peine de nous attacher un minimum à eux et se font zigouiller successivement dans une monotonie affolante, on ne prend même pas "plaisir" à les voir mourir dans d'atroces souffrances, on s'ennuie profondément. Au passage on a droit à la scène ultra clichée de la nana qui va se baigner nue au milieu de la nuit dans le lac sans aucune raison, tout est du déjà vu, on subit le film jusqu'au bout... De plus Jason n'est même pas effrayant avec son sac à patate sur la tête, il semble même vulnérable, la seule scène qui est un tant soit peu intéressante est celle où ce grand gaillard confond la dernière survivante avec sa mère, j'ai trouvé que ça introduisait un nouveau trait de la personnalité de Jason, la séquence est plutôt bien foutue d'ailleurs. Le long métrage se termine dans un ultime cliché qu'on voit arriver à 4km et on sait tout de suite que la franchise ne va pas s'arrêter là ... "Le Tueur du Vendredi" est une suite décevante d'un film décevant, un slasher sans grande tension ni intérêt, il reste juste à espérer que la saga retrouve un second souffle car elle s'épuise déjà au bout du deuxième opus.
personnages n'ayant aucun semblant de charisme, le film ne prend même pas la peine de nous attacher un minimum à eux et se font zigouiller successivement dans une monotonie affolante, on ne prend même pas "plaisir" à les voir mourir dans d'atroces souffrances, on s'ennuie profondément. Au passage on a droit à la scène ultra clichée de la nana qui va se baigner nue au milieu de la nuit dans le lac sans aucune raison, tout est du déjà vu, on subit le film jusqu'au bout... De plus Jason n'est même pas effrayant avec son sac à patate sur la tête, il semble même vulnérable, la seule scène qui est un tant soit peu intéressante est celle où ce grand gaillard confond la dernière survivante avec sa mère, j'ai trouvé que ça introduisait un nouveau trait de la personnalité de Jason, la séquence est plutôt bien foutue d'ailleurs. Le long métrage se termine dans un ultime cliché qu'on voit arriver à 4km et on sait tout de suite que la franchise ne va pas s'arrêter là ... "Le Tueur du Vendredi" est une suite décevante d'un film décevant, un slasher sans grande tension ni intérêt, il reste juste à espérer que la saga retrouve un second souffle car elle s'épuise déjà au bout du deuxième opus.
Outre un systématisme de la mise en scène assez agaçant, la promesse d'un grand film d'horreur se dessine petit à petit au gré du film, et l'ambiance glauque croissante peut annoncer des suites prometteuses...
Film où le décor est planté, tout comme le scénario, les personnages et la mise en Scène.
Conséquence: des longueurs qui n'en finissent pas! on s'ennuie vite!
Conséquence: des longueurs qui n'en finissent pas! on s'ennuie vite!
Super Ginny
Dans la continuité directe du premier opus, ce chapitre reprend la même trame que le premier. Même ambiance de film pour ados dont les personnages seront éliminés les uns après les autre. Il n'en restera qu'une et d'ailleurs, le réalisateur nous la présente très vite. Parce que quand t'as vu Ginny de profil avec sa grosse tronçonneuse, l'outil braqué vers le haut et porté au niveau du pubis, tu peux pas t'empêcher de comprendre qu'elle est sévèrement burnée et taillée pour la réussite. Avec Jason, elle nous offrira une poursuite digne de Vil Coyotte et Beep-Beep, un chouette numéro ! Au final, malgré un démarrage un peu long et une fin trop attendue, ce chapitre 2 s'exerce à construire un suspense propre à nous faire retenir notre souffle. Ce bel effort est malheureusement trop souvent désamorcé par un effet comique (eh non, y'avait rien à craindre).
Dans la continuité directe du premier opus, ce chapitre reprend la même trame que le premier. Même ambiance de film pour ados dont les personnages seront éliminés les uns après les autre. Il n'en restera qu'une et d'ailleurs, le réalisateur nous la présente très vite. Parce que quand t'as vu Ginny de profil avec sa grosse tronçonneuse, l'outil braqué vers le haut et porté au niveau du pubis, tu peux pas t'empêcher de comprendre qu'elle est sévèrement burnée et taillée pour la réussite. Avec Jason, elle nous offrira une poursuite digne de Vil Coyotte et Beep-Beep, un chouette numéro ! Au final, malgré un démarrage un peu long et une fin trop attendue, ce chapitre 2 s'exerce à construire un suspense propre à nous faire retenir notre souffle. Ce bel effort est malheureusement trop souvent désamorcé par un effet comique (eh non, y'avait rien à craindre).
Alors tout d'abord je m'interroge sur le synopsis : la meuf a des pouvoirs psychiques ? J'ai vraiment loupé un point important du film parce que je m'en suis pas rendu compte une seule seconde et dans tous les cas, ça lui a visiblement pas servi à grand chose. C'était son pouvoir le moment ou elle dit "je sens que y'a quelqu'un dans la pièce" ? Ou c'est seulement l'ombre gigantesque et l'odeur dégueulasse de Jason ? Encore une question qui restera à jamais sans réponse. En ce qui concerne le film, c'est quand même clairement moins mauvais que le remake du premier opus même si je suis déçu qu'il soit toujours encapuchonné dans une taille d'oreiller neuve. Ce qui m'a frappé également c'est la différence de puissance impressionnante qu'il y a entre le Jason du remake et le Jason original. Je veux dire, celui des années 80 a l'air quand même nettement moins balaise. La seule raison qui fait qu'il sévit aussi longtemps c'est que les héros sont incroyablement cons. Après 2 générations de film d'épouvante, la notion du "achevez-le putain de merde" n'a visiblement toujours pas été inculquée. C'est à dire que si comme Ginny, tu te retrouves en possession d'une tronçonneuse : sers t'en jusqu'au bout ! Décroche la tête du psychopathe et démembre le au lieu de le taper avec le cul en plastique de l'objet pour ensuite la laisser tomber à terre et t'enfuir dans la pièce d'à coté. Jason est pas fort rapide non plus, quand on a le plan à la 1ère personne de cette main qui avance lentement armée d'un couteau de cuisine vers la meuf amoureuse de l'handicapé, on compte quand même un bon 15 secondes avant que le coup ne soit effectivement assené. Alors pourquoi elle reste là à crier cette conne ? Cours hein ! Ou tapes lui dans les boules mais fais quelque chose en tout cas. Enfin soit, plus sérieusement, ce qui m'a gêné c'est qu'à partir du moment ou Jason commence à tuer, il y a plus un seul dialogue. Il y a pas ce moment ou les protagonistes se rendent compte de la merde dans laquelle ils sont, ils se font tout simplement trucidés à la chaîne jusqu'au dernier. Du coup on loupe un peu le coche niveau tension.
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