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CeeSnipes
289 abonnés
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3,0
Publiée le 30 mai 2012
Sorte de copie carbone du numéro 1, ce Vendredi 13 est donc aussi drôle, aussi inventif mais malheureusement pas aussi original. Si Sean Cunningham avait inventé le tueur qui tue de plusieurs façons différentes, Steve Miner, qui sortira pas mal de navets ensuites, de Halloween H20 au terriblement ennuyeux Lake Placid, innove encore avec beaucoup moins de meurtres en plein écran, et pas trop de off-screen.
Pour une fois, les deux films se suivent VRAIMENT, avec le personnage de Crazy Ralph en commun. Heureusement, comme dans tout slasher, la scène pré-générique est très "sympathique", bien filmé, et plutôt prenante, qui montre que Steve Miner peut être un bon réalisateur. Il est bon réalisateur sur ce film d'ailleurs. Malheureusement, le film est trop oubliable pour être un vrai bon slasher. Si la saga Jason a commencé par deux bons films, on attend encore le film qui va faire démarrer cette saga.
A noter que c'est le premier film avec Jason Vorhees comme tueur principal et qu'il n'a pas encore son masque de hockey.
Dans l'ensemble, j'ai trouvé le film sympa, l'ambiance Crystal Lake est toujours aussi immersive. Par contre, j'ai trouvé le film assez soft au niveau des meurtres, pas assez trash ni assez osés à mon goût, tout comme le 1er film. Néanmoins, première apparition de Jason, on y voit même son vrai visage cauchemardesque à la fin.
On voit là que le fifils à sa maman a bien été éduqué... Aprés les 9 meurtres de sa mère, c'est Jason qui prend la reléve !!! Pour sa première apparition, il ne fera pas mieux qu'elle: aiguille à tricoter, marteau, machette, poignard, tout y passe... Cette excellente suite marque bien l'arrivée de Jason.
Jason fait enfin son entrée en scène... Mais il est encore loin du futur boucher qu'il deviendra... Jason est tellement maladroit qu'on en rigole... Ce qui n'est pas tellement le but du film mais bon... La terreur est toujours au rendez vous avec un Steeve Miner qui maîtrise bien son sujet.
Jason prend les choses en main et va commettre ses premiers meurtres. Ce film prend réellement la direction de ce que va devenir la franchise à savoir des filles nues et des meurtres à l arme blanche. C est donc un plaisir coupable qu on regarde pour se détendre et s amuser du mauvais jeu des acteurs et de quelques meurtres sympa comme celui de l handicapé.
Suite hautement improbable du premier film (dois je rappeler que Jason est supposé être mort noyé?),vendredi 13 part 2 reprend la même formule que son prédécesseur sans grande inventivité tout en ouvrant la voie à la multitude de séquelles que la Franchise en devenir allait engendrer à grand renfort d'inventivité abracadabrantesque pour ressusciter ad vitaem eternum celui qui allait devenir le célèbre tueur de Crystal Lake...
A part dans la barque à la fin du premier opus, ce chapitre est la première véritable apparition du trop célèbre Jason Vorhees. Un sac à patate sur la tête , les meurtres s'enchainent avec une imagination débordante. Un vrai slasher à l'origine du genre. Un personnage d'horreur est né.
Suite du cultissime Vendredi 13, Le tueur du vendredi se passe cinq ans après le massacre du premier film avec de nouveaux moniteurs dans un camp voisin. Le film commence par un cauchemar de la seule survivante dans lequel elle revoit son affrontement face à la mère de Jason, avant de se faire assassiner par ce dernier, qui lui plante un pic à glace dans une tempe.
Très similaire à Vendredi 13, il reprend sa structure avec le cliché des moniteurs en couple, la séparation en deux groupes et les assassinats qui surviennent un à un. Le directeur leur raconte même la légende de Jason autour d'un feu spoiler: et engage un collègue pour faire le tueur qui surgit. Alors que deux moniteurs veulent aller voir la zone du camp maudit mis en quarantaine, ils tombent sur un policier qui ne fait pas long feu en découvrant un vieil abri où Jason a visiblement caché quelque chose de macabre.
La réalisation est un cran au-dessus, ce qui est un bon point pour un film sorti seulement un an après, les plans font moins vieillots malgré un ralenti à la fin et une scène à la première personne avec la machette en avant. Les meurtres restent originaux entre corde qui pend par les pieds et tranchage de gorge, lance plantée à travers un couple en pleins ébats, machette lancée dans la figure suivi d'une dégringolade dans les escaliers et attaques à la fourche.
La symbolique macabre de Jason (non sans avoir inspiré Lisa Trevor dans le remake du jeu vidéo Resident Evil) spoiler: met en scène la tête de sa mère à moitié momifiée à côté de bougies et de son pull : l'héroïne ruse alors en enfilant ce dernier pour se faire passer pour sa mère et faire lâcher son arme à Jason, Ginny ayant une certaine psychologie, elle-même ayant parlé du profil du tueur un peu plus tôt. Pour ne pas que ce soit trop facile, cela ne fonctionne évidemment que peu de temps spoiler: et Jason découvre à temps le visage de sa mère toujours présent sur l'autel.
Le dernier couple survivant découvre avec stupeur spoiler: le visage à moitié brûlé de Jason alors qu'il tente d'attraper Ginny en surgissant par la fenêtre. Sa monstruosité est renforcée spoiler: par son œil droit complètement de travers à cause de brûlure, ce qui explique que son masque (pas encore le fameux casque de hockey mais un sac de pommes de terre) spoiler: n'a de trou que pour l'œil gauche.
Ginny se réveille plus tard dans une ambulance sans aucun souvenir spoiler: sur la façon dont elle s'est échappée, laissant Jason dans la nature et le sort de Paul incertain. Le plan final montre la tête de Mme Voorhees, comme attestant que le déchaînement meurtrier de Jason n'est pas terminé. Un bon film, en espérant que les suites se démarquent davantage.
Suite directe du premier où les dix premières minutes nous relatent la fin du premier VENDREDI 13, ce VENDREDI 13 PART 2 reprend la même recette : des jeunes dans un camp, une forêt et une tueur. Avec cette fois-ci plus de jeunes, donc plus de meurtres! L'effet de surprise en moins. Avec une bonne musique, on assiste cette fois à Jason qui tue, sans foi ni loi, tous les jeunes sur son passage. Efficace certes, mais copie presque intégrale du premier opus. Rien de bien neuf donc, mais se laisse regarder sans déplaisir.
Un slasher parmi tant d'autres... C'est vrai quoi ! Mise à part le fait que l'univers et le tueur de la saga soit connus, ce deuxième chapitre est une purge ! Que ce soit pour scénario simpliste et inefficace ou pour sa non-maitrise de la peur, " Le tueur du vendredi " est une daube. Sinon, les acteurs restent bon et assez convaincants. La bande-originale ne contient presque aucune nouveauté par rapport à celle du premier volet. Et sans oublier la mise en scène super kitsch qui utilise des effets assez moche. Bref, au final, soit ce film est mauvais ou soit, il a mal vieilli.
1 an après la sortie du premier, un deuxième chapitre voyait le jour quasiment identique avec quasiment le même scénario, les mêmes décors et des acteurs interchangeables affreusement mauvais. Le seul vrai changement c'était l'apparition du Boogeyman Jason avec un sac à patate sur la tête qui va prendre un malin plaisir à trucider tout le monde. C'est limité comme un produit de série et ça n'a aucune prétention à l'image d'une série qui vite devenir un vrai jackpot.
ça n'a rien d'un chef d'œuvre mais ça se laisse regarder avec un petit plaisir coupable. Mais franchement, c'est quand même bien nul. Peut-être qu'en le matant dans une soirée entre potes mais bon...
Ce deuxième chapitre reste dans l'esprit du premier, ce qui est bien ! Mais malheureusement il ne parvient pas à l'égaler. La recette classique est ici utilisée. Je reproche au film le manque d'originalité des meurtres et l'ambiance moins prenante. Pour l'arrivée de Jason sur l'écran, je m'attendais à mieux ! C'est un événement quand même !
Que dire, si ce n'est exactement le même film que le précédent, mais avec Jason ? Les acteurs sont toujours mauvais, les personnages pas développés, la mise en scène mauvaise et seules les 30 dernières minutes sont vraiment intéressantes. Qui plus est, la scène de fin, bien que réussi, ne fait pas autant d'effet que lorsque qu'on se demandait s'il allait y avoir des suites.
La réutilisation des procédés visuels qui créaient l’atmosphère d’angoisse dans le premier opus ne suffit pas à faire fonctionner cette suite, qui tourne un peu à vide, et ce, malgré quelques beaux plans et quelques scènes efficaces que Steve Miner a à offrir. Pourtant non dénuée d’originalité, la sensation qui demeure après cette entrée en scène de Jason est la déception.