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Ridjy C
24 abonnés
189 critiques
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2,5
Publiée le 10 avril 2024
A des années lumières de la magie du précédent, ça se regarde tout de même, mais l'esprit n'est plus là. On est plus sur une comédie là, l'idée de faire une suite juste pour faire une suite, ce n'est pas totalement mauvais mais c'est loufoque. On ne tombe pas amoureux comme ça, et encore moins réciproquement. Un peu tiré par les cheveux, et les gags ne prennent pas, mais ça reste sympathique et familiale.
Le premier volt est définitivement le film qui a marqué mon enfance, je suis un peu déçue du deuxième, il manque un peu de charme par rapport au premier, même si l'histoire en elle même est assez sympa (avec tout ce procédé de dépernoelisation et la recherche d'une Mère Noël). Certaines scènes restent assez drôles. Pas du tout adhéré aux nouvelles voix françaises, pourquoi les changer ?
Huit ans après n'avoir quasiment rien foutu si ce n'est quelques comédies (dont beaucoup sont bas de gamme) et le doublage de Woody le cow-boy dans les dessins animés Toy Story, Tim Allen revient dans la peau du Père Noël pour une séquelle inattendu au petit succès des années 90 Super Noël. Désormais mis en scène par Michael Lembeck (dont c'est le premier long-métrage), ce deuxième opus reste dans la même optique que le précédent tout en l'agrémentant d'une intrigue plus rocambolesque, certes digne d'un téléfilm estival mais néanmoins efficace pour les bambins en manque de films de Noël... Pour cette nouvelle aventure, Scott Calvin, alias le Père Noël, doit impérativement trouver une compagne s'il veut conserver son précieux statut tout en essayant de comprendre pourquoi son fils Charlie est désormais catégorisé dans la liste des enfants punis qui n'auront pas de cadeaux cette année-ci. L'un de ses assistants lutins lui créé donc un clone en jouet pour assurer sa présence au sein de l'entreprise le temps que Scott règle ses problèmes personnels. Histoire de compliquer les choses, ledit clone va devenir peu à peu méchant tandis que notre gros barbu se "dépèrenoelise" à vue d'oeil, maigrissant, retrouvant sa peau bien rasée et ses cheveux bruns. Vous l'aurez compris : ce scénario n'a rien d'extraordinaire mais amusera sans problème les plus jeunes. Les fans du premier film apprécieront par ailleurs le retour intégral du casting original, de Tim Allen au jeune Eric Lloyd (qui a bien grandi et s'avère méconnaissable) en passant par Judge Reinhold, Wendy Crewson et même David Krumholtz l'elfe en chef. L'univers, les personnages et les décors restent donc les mêmes pour ne pas dépayser les spectateurs tout en apportant quelques nouveautés comme la courte présence des autres légendes (la Fée des Dents, Cupidon, le Marchand de Sable et même le Lapin de Pâques, malheureusement ici très grotesque). Gags puérils, séquences prévisibles et effets spéciaux peu soignés sont hélas les points noirs de cette séquelle dispensable mais néanmoins agréable qui plaira surtout aux tout petits.
Comme beaucoup de suite de film qui était correcte sans être des chefs-d'œuvre, cette suite de super Noël était dispensable, elle reprend les même ingrédients, la magie en moins et surtout une mise en scène beaucoup plus paresseuse et poussive. Les effets spéciaux sont moins réussies, le scénario est assez niais et le seule point positif reste la présence de Tim Allen dans son rôle de père noel.
Une suite du premier film qui bizarreme't ne porter pas du tout le même nom avec deux nom totalement différent on pourrait croire que se sont des films différent alors que ce n'est pas le cas se sont des suite . Une suite bien plus humoristique que la précédente, avec une histoire bien plus travailler aussi . On rigole beaucoup non mais sa fait rire quelque fois ce qui n'était pas le cas du un qui ne faisait pratiquement pas rire . Un film agréable à regarder, en famille , un film de noël avec tous les ingrédients de noël, des nouveaux personnage intéressant, un soupçon de magie dans ce film avec toujours le même message prôné ici celui de croire en noël et ou père noël.
résumer : Scott Calvin exerce la profession de père Noël depuis huit ans, et les elfes sont unanimement de l'avis qu'il est le meilleur de tous. Mais sa vie tourne au cauchemar lorsqu'il apprend que s'il ne se marie pas avant la prochaine veille de Noël, il devra quitter son poste. Parallèlement, il découvre que son fils Charlie figure sur la liste des enfants méchants.
Décidé à trouver une mère Noël et à aider Charlie, Scott retourne chez lui, laissant un robot père Noël mener les préparatifs de la fin d'année. Très vite, le remplaçant se met à prendre d'étranges décisions.
Passer d'un super à un hyper, rien de plus simple pas vrai ? On décuple les décors, les costumes et les effets ainsi que le casting... Non, rien de tous cela étant donner que tout est égal sur le plan visuel et sonore. Cette suite très vitaminée offre autant de comédie familiale que de romance entre notre héros moustachu qu'à sa futur femme qui n'en menait pas large ou plutôt, ne voulait pas en entendre une du tous. Un récit qui à très bien évolué sur son développement étant donner que de tous spoiler: nouveaux personnages d'envergure naissent ici-même à savoir le mythique Père fouettard et la Mère noël. Un récit de sauvetage, de double identité, de révélation personnelle et donc de conquête d'un nouveau titre, celui de l'amour éternel. Un amour superbement incarner par Elizabeth Mitchell en proviseur scolaire devenant fantasque avec notre bonhomme qu'elle ne soupçonne point, sincère, comique et gardant son cap sévère sans dénaturer le tout. Quand à notre alter-ego, spoiler: sa création d'abord banale et nécessaire va vite se transformée en une dictature, position de force brutale et malveillante dont la direction aura clairement voulu en faire un sosie de Stalline tant son costume et son allure sont une référence nette à l'ancien dirigent Soviétique. Visuellement égal donc, je suis déçu que le numérique n'est absolument pas évolué malgré les 8 ans qui séparent les 2 films. Sur les décors aucun problème, l'envergure et les détails d'émerveillement sont tous au service de la magie. Le point fort étant l'apparition spoiler: d'un nouveau reine, une allure évidement pelucheuse mais totalement bourrée à l'humour excellent. Il va être tant de clôturer cette trilogie avec toujours plus de folie visuelle et des scènes toujours plus folles, du moins, j'espère.
Ce long métrage est la suite directe de Super Noël avec Tim Allen. Le scénario joue alors sur un autre aspect de la légende : la mère Noël. La base du scénario est donc simple le Père Noël va devoir trouver l'amour. Sans tomber dans la comédie romantique, le film va de péripéties en péripéties avec cette magie qui pimente le tout. Un film de Noël qui plaira aux petits comme aux grands.
Hyper noel est un film divertissant mais qui n’a rien d’exceptionnel. Une mise en scène de Michael Lembeck correcte, des acteurs convaincants comme Tim Allen, Molly Shannon ou encore Spencer Breslin, le scénario est plutôt travaillé bien que relativement plat, le fil est divertissant… Bref pour moi ça vaut un 11 / 20.
Cette suite de "Super Noël" cette fois réalisé par Michael Lembeck est un peu moins bonne que le premier mais reste toujours aussi divertissante. Cette fois, Scott doit se trouver une femme, la Mère Noël, sinon il ne pourra plus être le Père Noël et Noël cessera d'exister. Le scénario est donc pas mal trouver car l'idée est plutôt bonne et originale et le rythme est lui aussi bon ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas. Il est comme le premier, ni niais ni idiot, il est juste un peu enfantin mais n'oublions pas que c'est un Disney et que c'est un film familial qui traite de Noël. Pour le casting, on a toujours Tim Allen qui est toujours aussi bon dans son rôle mais qui n'est cette fois plus doublé par Nagui mais par Michel Papineschi ce qui est une très bonne chose puisque la voix correspond beaucoup plus au personnage et on retrouve en gros la même petite bande d'acteurs qui était déjà présente dans le premier et qui joue toujours aussi bien eux aussi. "Hyper Noël" est donc une suite plutôt réussie et qui met déjà dans l'ambiance de la période festive qui approche à grands pas, Noël.