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Un premier film on ne peut plus attachant. Malik Zidi, en ours mal léché, est une révélation ; Isild Le Besco confirme une personnalité qu'on devinait déjà forte (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les auteurs gèrent superbement bien la montée dramatique, en provoquant chez le spectateur un terrible malaise, à voir le "bourreau" et la "victime" se séduire, s'embrasser, s'aimer...
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Il y a donc avant tout une belle figure de scénario, à laquelle sont malheureusement asservis les autres éléments du film. Plus précisément, Un Moment de bonheur souffre d'un grave déséquilibre : la relation de Betty à son enfant (...) inspire beaucoup plus Antoine Santana que le parcours de Philippe, personnage moins défini et creusé que Betty.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Un Moment de bonheur offre au cinéma un double emploi. Grâce à ce film, il est à la fois l'instrument qui souligne le passage du temps et l'arme qui lutte contre lui. (...) Quand il y parvient, même si ses moyens sont parfois alambiqués, une impression d'éternité pointe au loin.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
(...)la construction devient parfois bancale. En outre, il y a dans la surexposition des visages des deux personnages principaux (...), des effets gratuits légèrement agaçants. Reste qu'Un moment de bonheur demeure une oeuvre très attachante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Un moment de bonheur est un film sans certificat d'appartenance ni garantie culturelle. Un objet assez imprévisible et, dans ses imperfections aussi, tout à fait vivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Antoine Santana semble désireux, dans de nombreuses séquences d'affrontements physiques ou verbaux, de mettre en scène cette tension (...). Mais il recule aussi devant la tâche infernale qu'il se donne et le dénouement du film, au moins, ne laisse aucun doute sur la manière dont il rebrousse chemin. C'est d'autant plus dommage qu'il a réuni un casting séduisant(...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Et, s'il a de beaux moments, le couple le Besco-Zidi a du mal à s'imposer réellement. Peut-être doit on y voir justement le reflet des hésitations et de la difficulté d'être de deux adultes naissants? A vous de juger... On souhaite à Antoine Santana de tourner un deuxième long métrage pour prolonger ce premier essai pas complètement abouti.
La critique complète est disponible sur le site MCinéma.com
Ce premier film d'Antoine Santana fonctionne mieux à l'image qu'à l'écriture (...). Les quelques effets ateurisants (...) sont atténués par l'interprétation instinctive d'Isild Le Besco et d'Olivier Gourmet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Peut-être cela suffirait-il à faire un très beau court métrage. Ici, la minceur du propos est telle que la construction un poil sophistiquée du récit (...) paraît un vain artifice.
Les trajectoires convoquées (...) sonnent faux et pâtissent d'une structure convergente (...). Le temps maintient son arrêt sur un mode plus crispé (...) avant de reprendre son cours dans une résolution aussi facile que le film s'est voulu compliqué.
Le Parisien
Un premier film on ne peut plus attachant. Malik Zidi, en ours mal léché, est une révélation ; Isild Le Besco confirme une personnalité qu'on devinait déjà forte (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Synopsis
Les auteurs gèrent superbement bien la montée dramatique, en provoquant chez le spectateur un terrible malaise, à voir le "bourreau" et la "victime" se séduire, s'embrasser, s'aimer...
Télérama
Antoine Santana a mis dans son film de grandes idées. Mais il a su faire en sorte qu'elles ne soient pas écrasantes.
Chronic'art.com
Il y a donc avant tout une belle figure de scénario, à laquelle sont malheureusement asservis les autres éléments du film. Plus précisément, Un Moment de bonheur souffre d'un grave déséquilibre : la relation de Betty à son enfant (...) inspire beaucoup plus Antoine Santana que le parcours de Philippe, personnage moins défini et creusé que Betty.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Un Moment de bonheur offre au cinéma un double emploi. Grâce à ce film, il est à la fois l'instrument qui souligne le passage du temps et l'arme qui lutte contre lui. (...) Quand il y parvient, même si ses moyens sont parfois alambiqués, une impression d'éternité pointe au loin.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...)la construction devient parfois bancale. En outre, il y a dans la surexposition des visages des deux personnages principaux (...), des effets gratuits légèrement agaçants. Reste qu'Un moment de bonheur demeure une oeuvre très attachante.
Le Monde
Un moment de bonheur est un film sans certificat d'appartenance ni garantie culturelle. Un objet assez imprévisible et, dans ses imperfections aussi, tout à fait vivant.
Libération
Antoine Santana semble désireux, dans de nombreuses séquences d'affrontements physiques ou verbaux, de mettre en scène cette tension (...). Mais il recule aussi devant la tâche infernale qu'il se donne et le dénouement du film, au moins, ne laisse aucun doute sur la manière dont il rebrousse chemin. C'est d'autant plus dommage qu'il a réuni un casting séduisant(...).
MCinéma.com
Et, s'il a de beaux moments, le couple le Besco-Zidi a du mal à s'imposer réellement. Peut-être doit on y voir justement le reflet des hésitations et de la difficulté d'être de deux adultes naissants? A vous de juger... On souhaite à Antoine Santana de tourner un deuxième long métrage pour prolonger ce premier essai pas complètement abouti.
Première
Ce premier film d'Antoine Santana fonctionne mieux à l'image qu'à l'écriture (...). Les quelques effets ateurisants (...) sont atténués par l'interprétation instinctive d'Isild Le Besco et d'Olivier Gourmet.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Peut-être cela suffirait-il à faire un très beau court métrage. Ici, la minceur du propos est telle que la construction un poil sophistiquée du récit (...) paraît un vain artifice.
Les Inrockuptibles
Les trajectoires convoquées (...) sonnent faux et pâtissent d'une structure convergente (...). Le temps maintient son arrêt sur un mode plus crispé (...) avant de reprendre son cours dans une résolution aussi facile que le film s'est voulu compliqué.