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Akamaru
3 083 abonnés
4 339 critiques
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2,0
Publiée le 31 janvier 2014
Quand deux maîtres en grimaces de deux générations différentes se rencontrent,ça ne peut que donner des étincelles,même incontrôlées. C'est ce qui arrive avec "Self-Control"(2003),comédie limitée mais poilante quand elle s'y met. Un homme très calme en apparence va perdre de plus en plus les pédales au contact d'un psychiatre déjanté qui s'invite chez lui. Adam Sandler se plait en souffre-douleur qui apprend des leçons de vie au forceps,alors que Jack Nicholson jubile dans la persécution et la roublardise. Même si le film résous les problèmes des individus avec une facilité consternantes,il est divertissant comme il faut.
Duo improbable pour comédie totalement loufoque, voilà ce que nous réserve le tandem Nicholson/Sandler dans Self Control (2003). Une comédie délurée et au scénario tiré par les cheveux dans lequel un homme bien sous tous rapports va du jour au lendemain être pris pour un déséquilibré à tendance agressive et qui va devoir suivre une thérapie afin de mieux se contrôler. Bien évidemment, la thérapie en question est orchestrée par un docteur des plus ... original et intriguant (pour ne pas dire agaçant). Si l'histoire s'avère originale et drôle, elle a hélas tendance à en faire beaucoup trop, devenant par moments une comédie excessive où la surenchère est reine. Mais, on préfèrera ne pas trop y penser et rester concentré sur la prestation de Jack Nicholson qui est tout bonnement excentrique au possible et au top de sa forme !
4 517 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 29 octobre 2021
Lorsque Jack Nicholson est à son meilleur c'est-à-dire lorsqu'il accepte de tenir des rôles avilissants. Il est alors à la hauteur des plus grands acteurs américains contemporains. Mais lorsqu'il est dirigé par un réalisateur qui n'a pas beaucoup de calibre il dépasse les bornes devient insupportable et tombe alors dans ses traits les plus détestables. Peut-être que le réalisateur Peter Segal espérait que son jeu excessif sauverait son film de la médiocrité absolue mais c’était une grosse erreur. Le jeu exagéré de Nicholson laisse à désirer et déséquilibre même le film. Son partenaire principal Adam Sandler a beaucoup de mal à faire valoir son rôle et ce Self Control est le premier revers de sa carrière. C'est un film américain bâclé pas drôle qui passe en revue tout ce qui est méprisable dans la comédie américaine contemporaine mais Nicholson n'est pas totalement responsable de ce fiasco. C'est juste qu'il ne peut rien faire avec un scénario aussi abyssal ou plutôt il fait des choses qu'on n'attend pas de lui...
Avec un scénario convenable et une « Happy End » à l’américaine, on s’ennuie légèrement malgré les priteries de Jack Nickolson et quelques savoureux passages.
J'adore Adam Sandler et Jack Nicholson mais là c'est de l'humour qui tombe à plat, aucun gag ne m'a fait rire ni même sourire. Une comédie qui ne casse pas des briques, qui ne vaut pas le coup d'oeil.
Film complètement absurde et dont Jack Nicholson cabotine au point de nous faire oublier les rôles majestueux qu'il a tenu par le passé (pour Adam Sandler, on est habitués, mais Nicholson en guignol qui chante des airs guillerets et fait des têtes caricaturales, on en a mal au cœur). Le démarrage du film est laborieux, puis une fois les péripéties lancées le film pourra vous tirer un ou deux sourires, mais perdus dans une flopée d'idioties sans intérêt : les chansons dignes de "La Mélodie du bonheur" qui arrivent sans aucune raison, les moines bouddhistes dont on tire le "string", les gags "j'ai eu des relations (plus vulgaire dans le film) avec ta sœur"... Toutes ces situations s'enchaînent sans qu'on en ai envie de rire, plutôt désabusés que l'on est, surtout lorsqu'on se coltine les grimaces simiesques du grand Nicholson durant deux heures... Sandler est aux abonnés absents, sa présence fantomatique se remarque à peine, sauf lors du final qui est clairement raté avec sa farandole chantée dans la joie et la bonne humeur qui nous font plutôt penser à une film de famille lors d'une kermesse... Lourdingue, absurde, avec des grimaces simiesques, des chansons type "La Mélodie du bonheur"... A éviter pour les amateurs de Nicholson.
Débile. Pas drôle pour un sou, les situations sont plus stupides les unes que les autres, j'ai d'ailleurs arrêté cette daube au bout de 40mn, car une comédie qui n'esquisse même pas un sourire au bout de 40mn, c'est un navet, et il ne sert à rien d'aller jusqu'à la fin. Jack Nicholson est ridicule en thérapeute, et adam sandler est un mauvais comique. A éviter absolument.
Lol Bonne idée que ce self control, le pire, c'est que l'idée de ce film est réellement vraie ! C'est pour ça que ce film reste interessant, même si les blagues ne sont pas au top.
Self Control s’inscrit dans une veine comique assez pauvre en matière de cinéma où toute l’intrigue tourne autour d’un petit canevas fermé sur lui-même – ici la colère et les difficultés de sa gestion – qui semble légitimer un épanchement burlesque dépourvu de sens et fonctionnant par sketchs intercalés. La mise en place du récit avait néanmoins de quoi intriguer : une séquence fort drôle dans un avion avec un Jack Nicholson tout droit sorti des Sorcières d’Eastwick – de même son irruption dans la salle d’audience rappelle-t-elle en partie la présentation du personnage qu’il interprétait pour George Miller, endormi dans une salle de concert avant de susciter gêne et fascination dans l’assemblée – dont la puissance de jeu va decrescendo jusqu’à sombrer dans une somme de mimiques inexpressives, caricatures de lui-même. Face à Nicholson, Adam Sandler ne fait preuve d’aucun véritable charisme, et sa bonhomie initiale tend rapidement à agacer. Une autre bonne séquence, plus loin dans le long-métrage, réunit les deux protagonistes dans un véhicule où le chant de comédies musicales sert de levier thérapique improbable. Réalisateur du futur Max la Menace, Peter Segal peine à circonscrire sa vision comique, si bien qu’il accumule, qu’il entasse les pochades invraisemblables qui vont toujours plus loin dans le délire, au risque de paraître grotesques et artificielles. Quelques rires, donc, pour un film trop peu rigoureux et dont la surcharge dramatique affaiblit la puissance comique.
tres bon film remplie d humour et de rebondissements quand on parle de la carrière de Nicholson peut évoque se film est pourtant il est genial le duo avec Adam sendler et parfait et la fin est une pépite du cinéma on ne si attends vraiment pas se film a vraiment un humour bien a lui (se film me fait beaucoup penser a vol au dessus d un nis de coucou car pendant tout le film on suit Adam sendler qui est diagnostiqué fou mais que personne n aide a l aider ) bref se film est vraiment genial 4.5/5