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peypino
47 abonnés
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1,5
Publiée le 9 juillet 2011
peut etre bien le dernier film ou Jean Réno est sympathique touchant et drôle! que c'est il passé depuis!" décalage horaire" est une petite fable sur la poésie des aéroprts pas extraordinaire mais mignone tout plein!
Rien de bien exceptionnel à l'arrivée mais une comédie sympathique qui se laissera regarder au moins une fois notamment grâce à la complicité communicative de ses deux acteurs principaux.
Comédie inégale, avec une première partie assez longue et plate, qui nous permet de connaître les personnages, et malheureusement, on n'a pas envie de les connaître, car ils sont tous les deux agaçants. Mais la suite est beaucoup plus intéressante, on commence à s'attacher aux personnages, et on se prend à espérer à une happy end. La musique (empruntée je pense) était très belle à la fin. Juliette Binoche et Jean Reno sont excellents, sur la Juliette dans la femme un peu naïve qui pleure en entendant l'hymne nationale....
Pendant longtemps les personnages sont très stéréotypés. Elle est trop idiote, il est trop stressé. Du coup, comme tout tourne autour de ces deux-là, on s'ennuie un peu. Des dialogues nombreux et pas toujours très intéressants. Mais au bout d'un moment ça va mieux, le naturel et la sobriété arrivent enfin, et on apprécie enfin le film, malgré une avalanche de bons sentiments. Le scénario était pourtant tout à fait bien écrit, bien construit. C'est dommage de l'avoir traité façon "nunuche". Car du coup les acteurs ne sont pas très bons, ce qui est assez inhabituel de la part de Juliette Binoche et Jean Reno. Mais dans l'ensemble, le film se laisse regarder. On est juste un peu déçu de Danièle Thompson qui a fait largement mieux dans sa carrière.
Surprenante comédie française aux allures américaines sans qu’il s’agisse en aucun cas d’un pastiche. Coincés entre des vols qui ne cessent d’être remis, Juliette Binoche (lumineuse) et Jean Réno (étonnant de sobriété) apprennent à se connaître et à s’aimer dans une espèce de marivaudage décalé, subtil et plutôt réussi. La réalisation sait se montrer inventive à plusieurs reprises et le scénario, d’une simplicité linéaire, recèle une vraie force dramatique. Une réussite incontestable et sympathique.
"Décalage horaire" fut réalisé en 2002 par la scénariste Danièle Thompson s'exerçant ici à montrer comment raconter une histoire et tenir en haleine son spectateur en filmant une simple rencontre entre deux inconnus. Un film qui ne joue donc que sur un seul air ; celui de ses acteurs. Bonne pioche de la part de la réalisatrice car ceux ci y sont absolument fabuleux. Jean Reno ici plus surprenant que jamais dans le rôle de ce cuistot chétif et stressé. Juliette Binoche comme à son habitude absolument merveilleuse dans tous ses films même dans la peau d'une esthéticienne légère et bavarde. Elle sait y trouver le sourire juste, le regard juste, le ton juste. Sans forcer. Globalement Thompson s'applique à la fois sur ses dialogues, sa direction et sa photo mais il est dommage qu'elle n'ait su le faire jusqu'à la fin. Cette dernière s'avère baclée et décevante laissant comme une saveur douce-amère dans la bouche. "Décalage horaire" est à l'image des personnages qui le composent, touchant et maladroit, creux et tendre.
Mortellement ennuyeux. Pourtant j’aime bien les deux protagonistes, mais là j’ai dû attendre un bon moment avant de voir des passages intéressants. Je ne dis pas que c’est un navet, car ce n’en est pas un, mais quand je n’aime pas beaucoup un film, je me vois obliger de lui attribuer la note correspondant à mes critères, en dépit du fait que le film ait quelques qualités.
Je l'ai vu une fois à la télé et j'en avais plutôt un bon souvenir et la je l'ai revu. Allez savoir pourquoi, j'ai arrêté avant la fin. Une comédie a peine sympathique, qui traîne en longueur et devient vraiment lourde. Pourtant, les acteurs jouent bien, il n'y a pas de problème. Reste que l'on en a marre parce que les sentiments, ça va cinq minutes mais là, ils sont omniprésents et comme si ça ne suffisait pas, ils sont répétitifs. Des gags répétitifs, c'est déjà dur mais des sentiments répétitifs, je vous laisse deviner...
L'idée de départ était interessante avec un casting de tout premier ordre.Hélas il y a aucune consistance dans le scenario qui se résume à des dialogues sans saveur et des jeux d'acteurs très plats d'autant plus qu'on ne peut pas s'empêcher de s'ennuyer même en s'identifiant aux vécus des protagonistes.