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Votre avis sur Desperado 2 - Il était une fois au Mexique ?
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Benito G
Comme quoi, un casting de choc ; ne fait pas d'emblé un bon film. Apres un premier opus, deja très mauvais pour ma part (car l'engouement était de mise pour le premier... ). La suite, que je trouve tout aussi mauvaise. N'a pas le même engouement du public que le premier. Et là je comprend. Donc toujours pas de scénario vraiment construit. Par là, comme pour le précédent, la trame de fond (la vengeance en gros) est posé sur le papier, sur quelques lignes. Mais cela s'arrète là. Encore une fois, même si l'histoire ; enfin sa base ; est du deja vu. Il y avait toujours matière à brôder... MAis malheureusement non. On s'ennuit du début à la fin. Les coups de feu nous aident à ne pas trop somnoler. Et les dialogues, toujours ; aussi insipide. Bref, rien qui ne remonte le précédent. A part, conclure ; que même avec de bons acteurs. Un bon réalisateur et un scénario basique mais jouable. On peut faire des erreurs, ou du moins ; réaliser un film sans aucune profondeur ni âme. De l'ennuit, du début à la fin (faut il encore tenir jusqu'a la fin^^). A éviter, comme celui dont il en est la suite.
je suis assez deçu par cette 'suite' des aventure du mariachi. l action part dans tous les sens et ne va nulle part, et cela au point de perdre le spectateur dans un tissu narratif sans queue ni tete ou antonio banderas ne prend qu'un role tres secondaire par rapport a johnny depp, ce que je trouve dommage. beaucoup d acteurs mais peu efficaces, bourrer l affiche n etait peut etre pas indispensable...
C’est fou ce que l’on peut faire avec une débauche d’effets, et quelques stars qui se mettent devant la caméra sans aucun effort de composition. On flirte tellement avec le navet, que cela devient divertissant et drôle à mourir. Histoire sans queue ni tête, cascades exagérées, humour facile, etc. Rodriguez semble dire que les gens du cinéma ne se prennent pas du tout au sérieux, et c’est bourré d’idées et de trucages vraiment artisanaux et bruts de décoffrage, seule solution, en rire. Il faut voir ça au troisième degré, sinon c’est pas la peine, et en plus, avec tout ça, il arrive à mettre en scène une dizaine de personnages, sans que ça en fasse trop. Le problème n’est de pas de voir où sont les gentils et chercher, les méchants, mais plutôt de se dire: Qu’est-ce qu’il va encore inventer ? C’est John Woo à la sauce western spaghetti arrosé de téquila bien frappé.
Eh oui aussi pas terrible que les autres , juste le plaisir de voir de grandes gueules du cinéma , mais le film reste grossier sans envergure , dommage , je pense qu avec le casting et le scénario celà aurait pu faire un grand film , dommage , très dommage
Le premier n'était déjà pas terrible mais le second est encore pire, une véritable daube sans aucun intérêt avec un scénario nul à chier. Ce n'est même pas marrant, des tirs dans tous les coins, un humour à dépoiler un chimpanzé et des acteurs qu'on est allé chercher au coin de la rue. A voir pour devenir allergique une bonne fois pour toute au cinéma.
Une bonne grosse série b qui, à défaut d'égaler ses aînés, parvient sans trop de difficultés à nous offrir un divertissement plus qu'honnête.
Après un film énergique mais fauché et un film excité et beaucoup moins sympathique, Robert Rodriguez réalisa la dernière partie de sa saga, Once Upon a Time in Mexico, traduit par un magnifiquement nul Desperado 2 ici.
Après un casting d’acteurs amateurs et un casting d’amis, ici c’est un casting de stars qui passe devant la caméra d’un Robert Rodriguez qui se donne les moyens de ses ambitions, aussi présomptueuses qu’elles sont. En effet, selon lui, c’est tout à fait normal que le scénario catastrophiquement compliqué soit tel qu’il est au final. Sauf que le spectateur, autre que Rodriguez qui se regarde totalement filmer, est très vite perdu avec les multiples rebondissements et alliances. Heureusement, certains acteurs sont géniaux, le duo Johnny Depp – Ruben Blades en tête, ce qui permet au spectateur de s’accrocher un peu. On retrouve d’ailleurs ici le syndrome Clouseau : le héros du film ralentit considérablement les choses et est plus gênant qu’important pour le film. C’est dommage car on trouve énormément de trouvailles géniales comme le travail sur le corps de Johnny Depp qui gagne un bras mais qui y perd les yeux ou la chirurgie esthétique de Willem Dafoe (qui, soit-il dit en passant, ne sert à rien).
Desperado 2 est donc une conclusion ultra brouillonne d’une trilogie non moins foutraque. Pourtant, contrairement à son prédécesseur, les bons acteurs tiennent plus d’une heure et on ne s’ennuie vraiment jamais. Sympathique, certes, mais clairement très moyen.
Après un casting d’acteurs amateurs et un casting d’amis, ici c’est un casting de stars qui passe devant la caméra d’un Robert Rodriguez qui se donne les moyens de ses ambitions, aussi présomptueuses qu’elles sont. En effet, selon lui, c’est tout à fait normal que le scénario catastrophiquement compliqué soit tel qu’il est au final. Sauf que le spectateur, autre que Rodriguez qui se regarde totalement filmer, est très vite perdu avec les multiples rebondissements et alliances. Heureusement, certains acteurs sont géniaux, le duo Johnny Depp – Ruben Blades en tête, ce qui permet au spectateur de s’accrocher un peu. On retrouve d’ailleurs ici le syndrome Clouseau : le héros du film ralentit considérablement les choses et est plus gênant qu’important pour le film. C’est dommage car on trouve énormément de trouvailles géniales comme le travail sur le corps de Johnny Depp qui gagne un bras mais qui y perd les yeux ou la chirurgie esthétique de Willem Dafoe (qui, soit-il dit en passant, ne sert à rien).
Desperado 2 est donc une conclusion ultra brouillonne d’une trilogie non moins foutraque. Pourtant, contrairement à son prédécesseur, les bons acteurs tiennent plus d’une heure et on ne s’ennuie vraiment jamais. Sympathique, certes, mais clairement très moyen.
Robert Rodriguez est un fana de cinéma et nous offre un film sympathique. Le titre est très ambitieux et ne joue pas sur le même terrain que d'autres "Il était une fois"... C'est finalement un joyeux bordel avec une histoire assez difficile à suivre de trahisons diverses et variées, d'allers-retours temporels et d'ellipses à géométrie variable. Ce qui rend l'ensemble sympathique, c'est le visuel et la photo, très chaude, ainsi que le casting de gueules terribles et de personnages invraisemblables. Pas de quoi se relever la nuit, mais de quoi passer un bon moment tout de même.
Bon film, parfois un peu cheap (on ne refait pas Robert Rodriguez), mais globalement on n'a pas le temps de s'ennuyer. Le fait que le scénario soit plus etoffé que dans le 1 est une bonne surprise, l'histoire devenant pour le coup moins linéaire. Un bon casting avec la présence appréciable de Johnny Depp venu se faire plaisir. Un seul regret : Tarantino ne fait pas d'apparition spéciale !
Objectivons
Un peu moins bon que le 1er (concept qui s'essouffle sans doute), mais Antonio Banderas mène toujours le film avec talent, aidé par la présence de Johnny Depp.
Assez curieusement, "Desperado 2" est le meilleur film de la trilogie du Mariachi. Effectivement, il y a plus d'action et plus d'humour, faisant que ce troisième volet est clairement le plus sympathique. En revanche, le scénario est rachitique et à peu près sans intérêt. Mais surtout, ce qui surprend le plus, c'est que le Mariachi, joué par un Antonio Banderas peu convaincu, n'est plus vraiment le personnage principal. Quant à Salma Hayek, 2ème nom au générique, elle doit avoir 5 minutes de présence à l'écran, et encore je compte large. En ce qui concerne la longue liste de noms célèbres (Depp, Rourke, Dafoe, Mendes, Trejo, Iglesias), ils n'ont tous que des rôles secondaires, si bien que sans être un film choral, "Desperado 2" est un film sans personnage principal. C'est donc un peu bancal, mais plutôt bien foutu, un peu comme l'ensemble de la trilogie, qui n'appartient vraiment pas à ce que Rodriguez a fait de mieux ("Une nuit en enfer", "Sin City", "Machete").
Le premier Desperado était jouissif, et, sur le papier, celui-là fait clairement baver. Malheureusement, je sais pas trop ce qui s'est passé : Il était une fois au mexique a le ventre gras et tourne en boucle. Peut-être que Rodriguez aurait dû un peu plus bosser sa pré-production plutôt que de filmer ce scénario creux et ces scènes mollassonnes.
Sans grande surprise par rapport au premier.
Une suite ratée.
Dommage j'aime bien Robert Rodriguez d'habitude.
Dommage j'aime bien Robert Rodriguez d'habitude.
ned123
J'ai vu un film... beaucoup trop longtemps... Je me suis arrêté à la 56ème mn, et je me demande comment j'ai pu arriver jusque là, tellement ce que j'ai vu est indigent, stupide et sans intérêt... Il y a une fausse complexité qui masque un tel vide... Juste une légère satisfaction sur la qualité de l'image et de la lumière... Mais tout le reste est creux et vide... Les comédiens ne sont au service de rien, ni d'une histoire, ni d'une intrigue, ni d'une émotion... Ils s''ennuient, nous aussi... Ce film, moins en on voit, mieux on se porte... Pour vous faire une idée, eh bien, ne le regardez pas...
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