Desperado 2 - Il était une fois au Mexique : Critique presse
Desperado 2 - Il était une fois au Mexique
Note moyenne
3,2
9 titres de presse
Première
Ciné Live
L'Express
Télérama
MCinéma.com
Studio Magazine
Le Monde
Positif
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Première
par Mathieu Carratier
A tous les niveaux, Il était une fois au Mexique est le film dont on se surprenait à rêver en voyant les autres longs de Rodriguez. Un modèle d'extravagance et d'exubérance dont le pied droit est scotché à l'accélérateur. Et qui, avec des armes de série B, braque une certaine grandeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
par Frédéric Péguillan
De Sergio Leone, Robert Rodriguez a retenu le sens du décor, de la bande-son (forcément latino-rock) et la mise en valeur des gueules. De JOhn Woo, il a assimilé l'art d'utiliser la sulfateuse et ses impacts comme éléments chorégraphiques. Restait à filmer à l'instinct et à monter au hachoir pour faire de ce Desperado 2 une explosive série B, au ton finalement très personnel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Certes, on est dans du cinéma de détente pure, avec son lot de couleurs pétantes, de fusillades efficaces, et l'humour n'est pas en reste. (...) Mais les scènes s'enchaînent dans un grand fourre-tout bariolé qui devient vite lourd à digérer.
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Monde
par Florence Colombani
(...) Plate dégénérescence des westerns de Sergio Leone où la fascination pour la violence tient lieu d'ambition cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Frank Garbarz
Passon sur le scénario (sic) d'une scandaleuse indigence, accumulant rebondissements ineptes et personnages taillés à la serpe. Et les effets de mise en scène, bêtement autoréférentiels, ne compensent pas la vacuité de l'intrigue (...) Malgré l'action tonitruante et les rafales de mitraillette à chaque plan, le rythme est si faiblard qu'on s'ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Mathieu Dupont
La nullité du scénario (...) rivalise avec celle des scènes d'action, qui virent au gonflant jeu de massacre.
Première
A tous les niveaux, Il était une fois au Mexique est le film dont on se surprenait à rêver en voyant les autres longs de Rodriguez. Un modèle d'extravagance et d'exubérance dont le pied droit est scotché à l'accélérateur. Et qui, avec des armes de série B, braque une certaine grandeur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
De Sergio Leone, Robert Rodriguez a retenu le sens du décor, de la bande-son (forcément latino-rock) et la mise en valeur des gueules. De JOhn Woo, il a assimilé l'art d'utiliser la sulfateuse et ses impacts comme éléments chorégraphiques. Restait à filmer à l'instinct et à monter au hachoir pour faire de ce Desperado 2 une explosive série B, au ton finalement très personnel.
MCinéma.com
Certes, on est dans du cinéma de détente pure, avec son lot de couleurs pétantes, de fusillades efficaces, et l'humour n'est pas en reste. (...) Mais les scènes s'enchaînent dans un grand fourre-tout bariolé qui devient vite lourd à digérer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
(...) Plate dégénérescence des westerns de Sergio Leone où la fascination pour la violence tient lieu d'ambition cinématographique.
Positif
Passon sur le scénario (sic) d'une scandaleuse indigence, accumulant rebondissements ineptes et personnages taillés à la serpe. Et les effets de mise en scène, bêtement autoréférentiels, ne compensent pas la vacuité de l'intrigue (...) Malgré l'action tonitruante et les rafales de mitraillette à chaque plan, le rythme est si faiblard qu'on s'ennuie ferme.
Zurban
La nullité du scénario (...) rivalise avec celle des scènes d'action, qui virent au gonflant jeu de massacre.