Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) 1974 pose un principe que Giscard a lui-même démontré par l'absurde sept ans (de réflexion) plus tard avec son célèbre "au revoir" suivi d'un vide à l'écran : le pouvoir, c'est une manière d'investir le champ, d'être une présence, de remplir les vides, de s'immiscer dans les interstices.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Document inestimable sur une époque en même temps qu'éclairage sur les mécanismes ordinaires du pouvoir, il arrive opportunément sur les écrans (sur Arte le 20 février, et dans les salles de cinéma à partir du 21) au moment où se déroule la nouvelle campagne présidentielle.
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Olivier Séguret
Très concentré sur son personnage principal qui est à la fois l'objet d'étude et le commanditaire du film, Raymond Depardon traque ses petites maniaqueries (...) comme ses grandes trouvailles (un "conseil de guerre" au lendemain du premier tour, où VGE brille particulièrement).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Zurban
par Stéphane Brisset
A la différence des journaux télévisés d'aujourd'hui, la caméra de Depardon se garde au maximum de créer du sens et se contente de livrer l'information en son état brut. Ce qui, en cette période préélectorale, devrait faire réfléchir spectateurs et électeurs confondus.
Urbuz
(...) 1974 pose un principe que Giscard a lui-même démontré par l'absurde sept ans (de réflexion) plus tard avec son célèbre "au revoir" suivi d'un vide à l'écran : le pouvoir, c'est une manière d'investir le champ, d'être une présence, de remplir les vides, de s'immiscer dans les interstices.
Aden
Document inestimable sur une époque en même temps qu'éclairage sur les mécanismes ordinaires du pouvoir, il arrive opportunément sur les écrans (sur Arte le 20 février, et dans les salles de cinéma à partir du 21) au moment où se déroule la nouvelle campagne présidentielle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Très concentré sur son personnage principal qui est à la fois l'objet d'étude et le commanditaire du film, Raymond Depardon traque ses petites maniaqueries (...) comme ses grandes trouvailles (un "conseil de guerre" au lendemain du premier tour, où VGE brille particulièrement).
Zurban
A la différence des journaux télévisés d'aujourd'hui, la caméra de Depardon se garde au maximum de créer du sens et se contente de livrer l'information en son état brut. Ce qui, en cette période préélectorale, devrait faire réfléchir spectateurs et électeurs confondus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr