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    À bout de course
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    101 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 décembre 2012
    River je te désire plus que tout, ton corps, ta voix, ta prestance! Un film vraiment sympa, surtout quand comme moi, on a sauté de surprise et de joie quand ils se mettent tous à chanter du James Taylor dans la cuisine ...
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    134 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2012
    Excellent film ! Où l'on se prend à regretter une fois de plus River Phoenix, dont la mort prématurée a permis l'ascension du fade et laid DiCaprio.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 décembre 2012
    Un adolescent qui veut s'affirmer auprès de son père, dans une famille fugitive ; c'est l'histoire de Danny Pope (ou Michael Manfield, chacun son point de vue). Une situation déjà complexe, mais lorsqu'une histoire d'amour s'en mêle...
    Film à voir pour sa culture générale, mais sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 novembre 2012
    Film avec une bonne idée de départ mais exploité du point de vu d'un adolescent... Vraiment dommage
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2024
    Le récit d'émancipation bouleversant d’un jeune garçon d'une famille d’activistes gauchistes en cavale qui arrive en bout de course, porté l’interprétation fascinante de River Phœnix. 4,25
    annatar003
    annatar003

    64 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2012
    Mis en scène par l'illustre Sydney Lumet, "A bout de course" est une aventure unique qui nous délivre une histoire originale qui reste fidèle à elle-même tout du long.
    C'est pourtant avec beaucoup de mal que débute le récit qui se met en place très lentement à travers des scènes peu transcendantes aux objectifs pas toujours très convaincants. On assiste ainsi à l'introduction des divers personnages et décors durant une introduction propre mais longue qui laissera brutalement place à une exposition d'émotions travaillées et pures. Faisant souvent parler le talent de ses acteurs et notamment du défunt River Phoenix, Lumet parvient à concrétiser des interactions solides et crédibles qui donnent au film toute sa puissance. C'est avec son rôle de Danny Pope que le jeune talent trouve le rôle majeur de sa carrière qui sera tristement écourtée quelques années plus tard mais dont le firmament restera à jamais gravé dans les mémoires.
    Surprenant par la qualité de son histoire et la grandeur des sentiments ressortant de quelques scènes toutes particulières, "A bout de course" confirme le statut d'un des grands réalisateurs du XXème siècles en montrant une polyvalence et une perspicacité parfaite.
    lolohap
    lolohap

    6 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2012
    Cette histoire simple d'une petite famille très unie qui doit fuir sans cesse vient pourtant de rentrer dans mon Top 10. Vraiment très beau film avec des acteurs formidables. J'aurai voulu qu'il dure 2 fois plus longtemps, tellement toute les scènes sont belles et chargées d'émotion. La scène de l'anniversaire d'Ann, la maman, est particulièrement belle et celle où Ann revoie son père est plus que poignante. La scène de fin est déchirante. En fait, souvent, on croit avoir vu LA scène émotionnellement forte du film, en se disant que ça va retomber un peu par la suite, puis la suivante est encore plus prenante, et ça va crescendo jusqu'au clap de fin, pas étonnant que les âmes sensibles à ce genre d'émotion auront du mal à retenir leur petite larme. En fait, je suis tellement entré dans ce film que j'ai pas arrêté de chialer, mais pas parce que c'est spécialement triste, mais tout simplement parce que c'est beau!!. Si vous avez oublié l'effet qu'un vrai "je t'aime", qui sort des tripes, peu faire, regardez ce film. Enfin, je voulais mentionner la performance de River Phoenix, qui joue l'ado. Il est vraiment très doué. Il a été nommé aux oscars pour ce film. Des articles que j'ai lu depuis, le voyait au début des années 90, comme l'un des meilleurs espoir du cinéma, il aurait sûrement été à l'égal de nos Brad Pitt, Di Caprio, Jhonny Deep, si il n'avait pas trouvé la mort précossement en 1993.
    caro18
    caro18

    178 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 avril 2012
    Déçue car je m'attendais à un film haletant comme son titre pouvait le suggerer, la fin m'a juste un peu émue.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2012
    Formidable. River Phoenix est un acteur qui ferra partit de ceux que je regrette le plus !
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    84 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 janvier 2012
    Tout l'enjeu du film, dans lequel s'illumine River Phoenix, est moins la fuite d'une menace extérieure que la fuite de soi-même et l’émancipation de son lourd passé. Encore un grand film de Lumet.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 janvier 2012
    Arthur et Annie Pope sont des activistes anti-guerre, en 1971 ils ont fait sauter une usine de Napalm destinés au Viet Nam. Cet attentat a fait des fugitifs, les obligeants a vivre toujours sur le qui-vive et les entrainant eux et leurs enfants dans une cavale interminable. Leur fils ainés Danny supporte de moins en moins cette situation qui l'obligent a subir les conséquences d'actes qu'il n'a pas commis et dont il n'est en rien responsable. Seulement abandonner sa famille pourrait signifier ne plus jamais les voir, ou alors les voir dans des conditions extrêmement difficile.

    Bon je vous préviens tout de suite j'ai vu la grâce! Ce film est une véritable merveille d'équilibre, j'entends par là que le scénario, la mise en scéne et l'interprétation sont en parfaite harmonie, il se complète sans que jamais un des aspects ne prennent le pas sur l'autre. Dés le départ le film bénéficie d'une histoire et d'un sujet fort, un adolescent obligés de fuir et de sacrifier ses aspirations artistiques, amoureuse pour une faute qu'il n'a pas commis. Il fallait donc d'excellents acteurs et un metteur en scéne capable de tirer le meilleurs parti de cette histoire. C'est le grand Sydney Lumet (cinéaste a mon avis beaucoup trop sous estimés, malgré sa célébrité) qui a hérité du projet, et force est de reconnaitre au vue du résultat qu'il était l'homme idéal.

    La réalisation de Sydney Lumet est en effet une merveille de simplicité en même temps que de maitrise, tout en finesse et pleine de sensibilité, le film brille par une absence d'effet salutaire, Lumet n'appuie rien et ne tombe donc jamais dans le piége de la démonstration et pourtant elle d'un lyrisme discret mais bien présent. Dans un premier temps il semble privilégier les longs plans solidement cadré et composé qui joue sur la profondeur de champs et le placement des acteurs, le cadre étant la parfaite expression de l'enfermement du héros, même dans les plans large, River Phoenix semble toujours isolés enfermer dans les mensonges et les masques que lui impose sa famille, il bouge et s'agite dans le cadre comme si il essayait en permanence de s'échapper sans vraiment y parvenir. Au fur et a mesure que le film progresse, les plans sont de plus en plus court et morceler, témoins cette scéne magnifique ou Annie Pope revoit son père pour la premiére fois depuis des années, rarement on auras vu un champs contre-champs d'une tel intensité.

    Les acteurs enfin tous sont excellent, et criant de vérité tant règne entre eux une alchimie parfaite, mais celui qui crève l'écran, celui qu'on retient, celui qui porte le film sur ses épaules c'est River Phoenix qui irradie de charisme dans ce rôle d'un adolescent qui cherche a exister en dehors des mensonges que ses parents lui ont imposé, ce n'est même pas une question de crédibilité ou de talent, c'est qu'il est évident qu'il est ce jeune pianiste virtuose tiraillé entre son profond attachement a ses parents, son amour pour sa petite amie, son amour de la musique et son désir d'avoir une vie normale, il n'y a rien de violent ou de désespérés dans sa révolte juste un désir d'évasion, d'indépendance et de poésie, allez savoir pourquoi je n'ai pas pu m'empêcher de penser a Rimbaud, et je vois a l'instant d'après wikipédia, qu'il aurait du jouer le rôle a la place de Di Caprio je ne doute pas un instant que ça aurait sans aucun doute tirait vers le haut ce film plus que médiocre qu'est Total éclipse (bon cela dit l'interprétation de Di Caprio est la seule chose a sauver de ce truc). En tout cas il est impossible de rester insensible devant A bout de course, tellement ce film est intense, puissant et bouleversant, j'ai verser une larme a plusieurs reprise.
    Aulanius
    Aulanius

    199 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2012
    Je ne sais pas si c'est l'effet Sidney Lumet mais comme pour "12 Hommes en colère" et "Serpico", je n'ai pas eu le coup de cœur. Tous ses films partent d'une bonne base voire très bonne (scénario, casting, ambiance) mais il manque toujours un petit quelque chose pour qu'au final on soit impressionné (je parle pour moi). Une nouvelle fois, je n'ai pas été complètement convaincu notamment par la performance plus que moyenne de River Phoenix. On le sent tendu et pas naturel pendant près de deux heures, se qui m'a particulièrement étonné. A contrario, la jeune Martha Plimpton (qui joue aujourd'hui dans la série "Raising Hope) m'a vraiment fait quelque chose. Pour le reste, c'est un sujet intéressant mais qui aurait pu l'être encore plus. Je dois avouer que je me suis un peu ennuyer malgré quelques bons passages. La bande originale est quasiment inexistante et c'est bien dommage. Cependant la fin est prenante et touchante, chose pas banale à mes yeux. 12/20.
    Cathedrale
    Cathedrale

    89 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2012
    De la même façon qu'il se coule avec facilité dans ses baskets, River Phoenix revêt son rôle d'un coup de hanche alerte, insaisissable aisance d'un gosse confronté aux âpretés des vies. Des vies, oui, elles sont multiples et cruelles, changeantes, instables et fugaces. C'est en Danny qu'il trouvera chaussure à son pied, une jolie blonde et un piano, l'immensité de l'océan comme dernier refuge. Mais comment vivre pleinement alors qu'à chaque plan, un rayon de lumière ricoche sur le cadran de sa montre, soudée à son poignet, tic tac, le temps t'est compté, profite de ces quelques gouttes de bonheur qui menacent de s'évaporer à chaque coin de rue. Lumet filme une forêt, un plan d'eau, des rues agitées, avec toujours une profondeur ahurissante, en harmonie parfaite avec les personnages. Une famille qui n'existe que dans son amour, dans sa joie d'être réunie, peut elle se briser? Doit on payer le prix -élevé- de l'acharnement idéaliste de ses proches? A bout de Course est une oeuvre admirable, très humble. Pour s'en convaincre, il suffit de s'attarder aux séquences musicales, de piano, où le jeune homme dévoile son talent tout en pudeur, avec retenue, sans esbroufe. Comment ne pas tomber amoureux?
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2024
    Ce film méconnu éclaire une facette peu connue du talent de Sidney Lumet. Réputé pour son cinéma coup de poing, prompt à dénoncer les injustices, Lumet choisit avec « A bout de course » de teinter son propos d’un romantisme jusqu’alors relativement absent de sa filmographie. Si la trame de fond du scénario demeure politique avec la fuite permanente de deux activistes pacifistes à la suite du plastiquage dans les années 1970 d’un laboratoire de fabrication du napalm déversé sur les populations du Vietnam, Lumet s’attache cette fois-ci davantage aux conséquences des choix de vie sur les êtres. Depuis « Daniel » réalisé cinq ans plus tôt, la question de la famille et de la filiation est une thématique qui reviendra souvent dans la filmographie de Lumet, abordée à travers différents genres (« À la recherche de Garbo », « Family Business », « Gloria » ou encore « 7h58, ce matin-là »)
    Ces deux jeunes étudiants idéalistes n’avaient sans doute pas imaginé spoiler: qu’ils blesseraient gravement un des gardiens du laboratoire et qu’ils allaient devoir passer le restant de leur existence à fuir le FBI qui les traque sur tout le territoire américain. Au long de leur périple sans fin, les Pope ont choisi malgré tout de fonder une famille, sans penser réellement à la vie qu’ils allaient offrir à leurs progénitures, sacrifiées à une cause qu'ils n'ont pas choisie.
    La cellule familiale forcément très soudée à force de repliement sur soi-même se trouve à un tournant de son histoire quand e jeune Danny devenu adolescent est à l'heure des choix cruciaux qui vont décider de son avenir d'adulte.
    Pour pimenter encore le dilemme, il connaît son premier amour. Que feront ses parents ? Vont-ils continuer à sacrifier un être à part entière au nom d'une unité familiale imposée par leur choix au même âge que leur fils aujourd'hui, ou revenant à leurs idéaux de départ issus de la culture hippie, le pousser vers l'accomplissement de sa destinée ? Telle est la question essentielle que pose Lumet qui a certainement mis beaucoup de lui-même dans ce film qui sans être un succès au box-office lui a apporté ainsi qu'à ses acteurs une reconnaissance unanime de la critique.
    C'est avec beaucoup de nostalgie que l'on revoie le jeune River Phoenix, talentueux acteur mort trop tôt d'une overdose à l'âge de 23 ans. Pour l'anecdote il faut se rappeler que River Phoenix et Martha Plimpton sa petite amie du film avaient déjà été associés deux ans plus tôt par Peter Weir pour "Mosquito Coast". A noter pour l’anecdote que le film est scénarisé par Naomi Foner Gyllenhaal, la mère de Maggie et Jake Gyllenhaal.
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    138 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2011
    J'ai beaucoup aimé A bout de course mais bizarrement je ne sais pas trop quoi en dire. C'est une belle histoire d'amour, d'émancipation, de loyauté, de passage à l'âge adulte, d'esprit de famille, d'idéalisme... Le film est plein de pureté, certaines scènes comme celle de la trouvaille du coquillage ou de la danse en famille l'illustrent bien. Rien d'hyper transcendant dans le scénario et pourtant on ne s'ennuie pas un instant. Et la fin, sur Fire and Rain de James Taylor, est très jolie. Une sorte de Bonnie and Clyde familial, la violence en moins et les idéaux en plus.
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