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    À bout de course
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    101 critiques spectateurs

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    Roub E.
    Roub E.

    984 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2021
    Danny est un lycéen brillant qu’un de ses professeur encourage à s’inscrire en fac, il a une petite amie qu’il aime énormément et qui est la fille de ce dernier. Problème Danny est le fils de deux activistes en fuite depuis des années et qui doivent constamment déménager et changer d’identité. A bout de course est un film minimaliste qui est plus une étude de la cellule familiale qu’un film politique. J’ai trouvé très intéressant le rôle du père activiste libertaire mais qui se comporte comme un tyran avec sa famille. Et puis ce film c’est surtout la prestation majuscule du regretté River Phœnix qui dévore littéralement l’écran dans toutes ses scènes et qui fait preuve d’une palette de jeu impressionnante. Un film qui touche à l’intime assez universel malgré la particularité de sa trame.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Sur un scénario très prometteur, Sydney Lumet réalise un film qui tient globalement ses promesses. Nous suivons le quotidien d'une famille dont les parents mènent des actions clandestines contre le gouvernement. Cette double vie pèse sur chacun. Le plus grand des fils du couple, à l'orée de l'âge adulte, supporte de plus en plus mal cette vie faite de déménagements réguliers, de faux papiers, de mensonges incessants, etc. River Phoenix, dans le rôle de l'ado, est excellent comme souvent. Son jeu traduit avec justesse le conflit interne qui le traverse, entre le désir d'avoir une vie normale comme tout le monde, et la loyauté qu'il doit - ou pense devoir - à ses parents et à leur lutte sans fin contre les autorités. Plusieurs scènes sont émouvantes, comme les retrouvailles entre la femme et son père qu'elle n'avait pas vu depuis 14 ans. La fin est évidemment émouvante. Au final, c'est un constat sans concession sur ce type de vie, qui a certes plus de sens qu'une existence fait de routine et d'indifférence au reste du monde, mais dont les objectifs réels demeurent très flous et les sacrifices demandés immenses.
    Redzing
    Redzing

    1 146 abonnés 4 496 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2021
    Adolescent intelligent et musicien hors pair, Danny atteint l’âge où il doit postuler dans une université. Mais gros problème : Danny est l’enfant d’un couple d’activistes, qui depuis 15 ans vivent clandestinement de ville en ville, pour échapper aux autorités qui les recherchent après une bavure lors d’un attentat. Sidney Lumet passe complètement sous silence la traque policière, et s’intéresse peu aux conditions de fuite de ces gens. Ce qui l’intéresse, c’est le fonctionnement de cet étrange noyau familial. Un couple qui n’est en phase ni avec le système actuel, ni avec les révolutionnaires de pacotilles qui subsistent çà et là. Un père qui dénonce l’autorité et l’injustice, mais se conduit en tyran avec ses enfants qui paient des erreurs que leurs parents ont commises. Et surtout un fils au futur a priori bridé, dont le talent et les émotions ne demandent pourtant qu’à exploser, mais qui se voit contraint à mentir en permanence, se cachant derrière un masque de politesse et de discrétion. Un scénario adroit et un protagoniste touchant, interprété par un River Phoenix sensible, sont les principaux attraits de « Running Empty ». A côté, la mise en scène de Sidney Lumet est professionnelle mais sans éclat, ce qui est un peu dommage vu le potentiel du réalisateur et la qualité du sujet. Un beau drame néanmoins, qui prouve accessoirement que River Phoenix est décidément parti trop tôt.
    Dom p.
    Dom p.

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Ce film sur l’émancipation d’un jeune homme attaché à sa famille mais qui souhaite construire sa vie est juste magnifique. Le film est porté par le jeune River Phœnix dune beauté a couper le souffle, magnétique. Une grande perte.
    pierrre s.
    pierrre s.

    440 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2020
    A bout de course, n'est certainement pas le film le plus connu de Sidney Lumet, alors qu'il fait parti de ses meilleurs. L'histoire de cette famille si particulière nous touche, et les acteurs sont très bons.
    Didier M.
    Didier M.

    8 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2020
    Le témoignage d'une époque aujourd'hui révolue. Des valeurs humaines, la rencontre de deux couches sociales, un scénario surprenant pour quelqu'un qui découvre ce film et des acteurs sublimes.
    Magnifique film.
    Manu0423
    Manu0423

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Soyons honnête, À bout de course n’est pas du grand Sidney Lumet. Le scénario n’est pas des plus mémorables, la mise en scène n’est pas des plus incroyables et l’ambiance du film n’est pas des plus transcendantes.

    Oui mais... River Phoenix

    Car oui, cette critique est un hommage à son talent brut, sauvage et incontestable, qui fascine le spectateur pendant 1 h 55. C’est simple : River porte à lui tout seul (ou presque) le film de Sidney Lumet. Il éclipse les (plutôt bonnes) performances de Christine Lahti et Judd Hirsch, ses parents dans le film. Sa présence devant la caméra est époustouflante. La façon dont il a de se mouvoir dans l’espace est sensationnelle. Son regard nous captive et crée de l’empathie chez le spectateur. Il se dégage de sa prestation une tendresse, mais aussi une fureur de vivre (qui nous rappelle un certain James Dean, dont le parallèle est frappant).

    Mais le plus surprenant dans la performance de River Phoenix, ce qu’il ne joue pas dans ce film. Il vit. Comme si le rôle lui était destiné. Ce jeune Danny, tributaire des actes de ses parents et qui doit toujours se réinventer psychologiquement à chaque fois que sa famille change de foyer : oui ce rôle lui colle parfaitement à la peau quand on se penche un peu sur l’enfance du petit River et de sa famille Phoenix.

    Mais régulièrement avec ses adolescents bouleversés mentalement pendant leur enfance, une force de caractère se dégage. Et le jeune Danny ne déroge pas à la règle. Au-delà d’un caractère, un talent d’artiste (pianiste) vient accompagner le rôle de River dans le film. Il n’en fallait pas moins pour mettre en lumière le jeune blond au regard profond, qui fait craquer la jolie Martha Plimpton, et pas qu’elle, avec sa splendide chevelure.

    Le talent de River Phoenix suffit-il pour que le film rentre dans la catégorie des “Très Bon Film” ? Un grand oui et pour deux raisons. Cela reste tout d’abord une œuvre d’une grande qualité avec des dialogues d’une incroyable simplicité, mais d’une efficacité redoutable. Et puis deuxièmement et principalement, le tragique destin de River Phoenix qui va indirectement toucher les sentiments du spectateur. Le regret d’avoir vu partir cette pépite du cinéma américain beaucoup trop tôt, dont l’avenir dans le 7e art s’annonçait radieux.

    Car oui, 20 ans après sa mort, River Phoenix figure avec James Dean parmi ces stars mortes trop jeune, mais qui resteront à jamais dans l’histoire du cinéma.

    River Phoenix ou la quintessence du Bad Boy des années 90.
    Vincent D
    Vincent D

    4 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2019
    mouais...
    je n'ai pas trop compris l'intérêt de ce film pourtant encensé.
    A priori le sujet était prometteur et riche en potentialité puisqu'il traite d'une famille d'activistes de gauche avec des enfants qui poursuivis par le FBI doivent vivre cachés et déménager continuellement sans pouvoir se fixer.
    Mais j'ai trouvé le sujet totalement édulcoré .
    l' adolescent est décrit comme tellement parfait et idéal qu'aucune problématique ne se dégage du film.
    -Dés qu'il rentre au collège il est remarqué en tant que virtuose du piano par un gentil professeur qui le prend sous sa coupe ( n'ayant pas de domicile fixe car en fuite et donc à fortiori pas de piano chez lui on se demande comme il a pu devenir un virtuose mais il est vrai que sans cette caractéristique majeure il serait resté seul comme un con et il n y aurait pas eu d'histoire et donc pas de film au sens hollywoodien du terme)
    -La fille du professeur le voyant jouer au piano tombe amoureux de lui ( le piano ça aide )
    -Passant une audition, il est remarqué pour son exceptionnel talent ( passage obligé pour ce genre de film) et on lui propose d'intégrer une université réputée
    - les parents étant progressistes de gauche (et donc évolués et gentils ) acceptent qu'il intègre l'université malgré la perspective de ne plus pouvoir le voir en raison de la surveillance du FBI dont il fera l'objet.
    En gros dans ce film tout le monde il est gentil et on a le droit à une histoire attendrissante composée d'une idylle amoureuse entre deux jolies têtes blondes et d'une success story en devenir reposant sur la découverte d'un talent exceptionnel.
    Un film agréable à regarder mais très conventionnel et qui n'a d'autre enjeu que celui d'émouvoir avec les recettes habituelles.
    Gerard M
    Gerard M

    11 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 février 2018
    30 ans d'avance ! quelle merveille que ce film oublié , méconnu , de Lumet . Combien de prix ne décrocherait il pas s'il sortait aujourd'hui ? Tout y est sublime , avec un charme qui fait même penser au cinéma indépendant . Une immense leçon de cinéma sensible avec un sujet , un scénario et une mise en scène d'une modernité et d'une intelligence rare . L'émotion à l'état pur .
    Davynch Lid
    Davynch Lid

    1 abonné 84 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2017
    Des films oubliés, des œuvres méconnues, il en existe une pelletée. Pour la plupart, on comprend pourquoi ces longs métrages pourrissent dans les oubliettes du 7ème art, et pour d'autre, on est simplement abasourdis par leur manque de reconnaissance. A bout de course (Running on empty en VO), réalisé en 1988 par le grand Sidney Lumet, est un bijou qu'il faut absolument réhabiliter.Je savais déjà que Sidney Lumet était sans nul doute un des plus grands réalisateurs de tous les temps (sans exagérer, c'est la pure vérité), mais je n'avais encore jamais vu chez lui une telle tendresse, une telle facilité à faire naître de profondes émotions. A bout de course, c'est également la présence magnétique de l'acteur River Phoenix, véritable icône du ciné indé, mort d'un arrêt cardiaque en 1993. Dans ce film, Phoenix (frère de Joaquin) apporte par son jeu tout en retenue la complexité psychologique de son personnage. Pas besoin d'en faire trop, River est adepte du less is more. Comment vivre sa vie de jeune adulte lorsque l'on doit fuir constamment? Comment se construire sa véritable personnalité lorsque l'on doit changer d'identité tous les 6 mois? Doit on payer toute sa vie les actes passés de sa famille? Autant de questions passionnantes auxquelles A bout de course répond avec une déconcertante lucidité.Lumet, aidé par le superbe scénario de Naomi Foner Gyllenhaal (mère de Jake Gyllenhaal!), évite tous les pièges du film d'ado à tendances mélodramatiques. A aucun moment A bout de course ne tombe dans la mièvrerie, bien au contraire...Les parents du héros, d'anciens poseurs de bombes, élèvent leurs deux fils dans un amour total et exclusif. Ils n'ont que leurs enfants dans le monde qu'ils se sont offerts malgré eux. La cellule familiale sans cesse pourchassée par les fédéraux ne trouve son équilibre que dans l'amour. Les scènes du quotidien sont superbement filmées et il n'en faut pas beaucoup pour comprendre à quel point chacun a besoin de l'autre pour continuer d'avancer. Le fait de devoir vivre dans le mensonge est une malédiction qui ronge tous les protagonistes. Les parents font faces à des dilemmes moraux d'une rare intensité psychologique, dilemmes qui offrent par conséquent de grands moments de cinéma. Voir ses enfants grandir, sentir qu'ils nous échappent, avoir la force de les laisser vivre leur vie, loin de nous... Lumet nous immerge dans le quotidien des Pope, nous fait ressentir leur peurs, leurs angoisses et nous touche en plein cœur.Maintenant, replongez vous dans votre adolescence. Repensez à ces moments où le temps semblait flotter, où le temps vous appartenait. Rappelez vous...Vous rentrez de l'école et vous vous précipitez dans votre chambre. Vous prenez votre baladeur cassette et vous appuyez sur play. Vous vous allongez et vous écoutez la chanson qui a marquée cette période de votre vie. Vous vous laissez aller à des rêveries, vous pensez à votre avenir avec difficulté, le visage de la personne dont vous étiez amoureux en ce temps là passe et repasse dans votre esprit. Regarder A bout de course fait resurgir ces sentiments que l'on a pour la plupart enfoui au plus profond de notre mémoire. A bout de course fait parti de ces longs métrages mélancoliques qui réveillent en nous de superbes émotions. Précipitez vous sans attendre sur ce film.Des films oubliés, des œuvres méconnues, il en existe une pelletée. Pour la plupart, on comprend pourquoi ces longs métrages pourrissent dans les oubliettes du 7ème art, et pour d'autre, on est simplement abasourdis par leur manque de reconnaissance. A bout de course (Running on empty en VO), réalisé en 1988 par le grand Sidney Lumet, est un bijou qu'il faut absolument réhabiliter. Je savais déjà que Sidney Lumet était sans nul doute un des plus grands réalisateurs de tous les temps (sans exagérer, c'est la pure vérité), mais je n'avais encore jamais vu chez lui une telle tendresse, une telle facilité à faire naître de profondes émotions. A bout de course, c'est également la présence magnétique de l'acteur River Phoenix, véritable icône du ciné indé, mort d'un arrêt cardiaque en 1993. Dans ce film, Phoenix (frère de Joaquin) apporte par son jeu tout en retenue la complexité psychologique de son personnage. Pas besoin d'en faire trop, River est adepte du less is more. Comment vivre sa vie de jeune adulte lorsque l'on doit fuir constamment? Comment se construire sa véritable personnalité lorsque l'on doit changer d'identité tous les 6 mois? Doit on payer toute sa vie les actes passés de sa famille? Autant de questions passionnantes auxquelles A bout de course répond avec une déconcertante lucidité. Lumet, aidé par le superbe scénario de Naomi Foner Gyllenhaal (mère de Jake Gyllenhaal!), évite tous les pièges du film d'ado à tendances mélodramatiques. A aucun moment A bout de course ne tombe dans la mièvrerie, bien au contraire...Les parents du héros, d'anciens poseurs de bombes, élèvent leurs deux fils dans un amour total et exclusif. Ils n'ont que leurs enfants dans le monde qu'ils se sont offerts malgré eux. La cellule familiale sans cesse pourchassée par les fédéraux ne trouve son équilibre que dans l'amour. Les scènes du quotidien sont superbement filmées et il n'en faut pas beaucoup pour comprendre à quel point chacun a besoin de l'autre pour continuer d'avancer. Le fait de devoir vivre dans le mensonge est une malédiction qui ronge tous les protagonistes. Les parents font faces à des dilemmes moraux d'une rare intensité psychologique, dilemmes qui offrent par conséquent de grands moments de cinéma. Voir ses enfants grandir, sentir qu'ils nous échappent, avoir la force de les laisser vivre leur vie, loin de nous... Lumet nous immerge dans le quotidien des Pope, nous fait ressentir leur peurs, leurs angoisses et nous touche en plein cœur.Maintenant, replongez vous dans votre adolescence. Repensez à ces moments où le temps semblait flotter, où le temps vous appartenait. Rappelez vous...Vous rentrez de l'école et vous vous précipitez dans votre chambre. Vous prenez votre baladeur cassette et vous appuyez sur play. Vous vous allongez et vous écoutez la chanson qui a marquée cette période de votre vie. Vous vous laissez aller à des rêveries, vous pensez à votre avenir avec difficulté, le visage de la personne dont vous étiez amoureux en ce temps là passe et repasse dans votre esprit. Regarder A bout de course fait resurgir ces sentiments que l'on a pour la plupart enfoui au plus profond de notre mémoire. A bout de course fait parti de ces longs métrages mélancoliques qui réveillent en nous de superbes émotions. Précipitez vous sans attendre sur ce film.
    Olivier Husson
    Olivier Husson

    5 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2017
    Film très bien joué, script travaillé et justesse, du beau cinéma classique; pas assez trash et le sujet de l'attentat est peu traité, pas le sujet en fait, plus sur les liens familiaux
    7eme critique
    7eme critique

    540 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    "A bout de course" n'est pas le film le plus marquant du cinéaste Sidney Lumet, et ce malgré les grandes qualités dont il dispose.
    Ce long-métrage est un drame relativement soft sur une famille en cavale. Le film est très proprement écrit et réalisé, de façon à nous faire ressentir tous les sentiments qui découleront de cette situation particulière, et notamment concernant le jeune homme (interprété par le regretté River Phoenix) dont le passé de ses parents et tous ces déménagements incessants ne lui permettront ni de se construire ni de s'épanouir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 février 2016
    Encore une réussite pour Lumet. A bout de course (et pas A bout de souffle du "faquin" Godard) est un film sobre, simple mais extrêmement touchant, qui offre son lot d'émotions et de personnages très attachants et bien écrits. L'interprétation est plutôt bonne, même si on retient en particulier la performance magnifique, toute en retenue, du regretté River Phœnix. La réalisation quand à elle est asses simple (en même temps c'est Lumet : sa réalisation est très bateau, mais il sait raconter des histoires et dans plusieurs cas, cette réalisation est en parfaite adéquation avec le propos (12 hommes en colère, Un après-midi de chien en particulier)) mais laisse bien place à l'intrigue.
    Très beau film, lent mais jamais ennuyeux, et très émouvant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juin 2015
    un bon film sous thème du rapport de l'homme avec l'institution, le film vaut principalement par les relations familiales et enfin la liberté de fonder son propre parti- théme Nietzschéen- a noter le jeu naturel de River phoenix
    christophe117
    christophe117

    8 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 avril 2015
    Paradoxe absolu : des parents pacifistes et anti-impérialistes font sauter une fabrique de napalm et blessent par accident le gardien. Fuyant leur responsabilité ils obligent leurs enfants à subir des déménagements tous les 6 mois pour échapper aux implacables agents du FBI. Pourtant le film ne se concentre pas sur ces parents qui refusent de porter l'héritage de leurs parents (méchants capitalistes) mais imposent sans pitié le leur à leurs enfants. Une scène magnifique dans le film développe bien ce paradoxe, mais pour le reste le film se centre sur un beau pianiste qui vit une histoire d'amour entre ados insignifiante.
    A l'image de cette histoire d'amour anodine, le film reste beaucoup trop sage dans le drame, si bien que je ne l'ai pas trop vu, jusqu'à l'abrupte fin.
    Je reste enfin dubitatif sur cette traque de plus de 10 ans pour un blessé dans une explosion... Je doute que le FBI poursuivent si longtemps compte tenu du coût et du dommage et s'ils le font, je doute qu'une famille qui inscrit ses enfants dans les écoles publiques puisse lui échapper si longtemps...
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