Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(...) entre deux bâillements, Donner-auteur montre via sa fébrilité, une naïveté profondément touchante. Tétanisé par la liberté, son film se réfugie dans quelques fulgurances techniques, comme un recours bienvenu à deux-trois ficelles inusables et apaisantes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Christian Jauberty
Le film recèle de véritables trésors pour les amateurs de nanars innocents dotés d'un sens de l'humour orienté vers le second degré. Les autres risquent d'avoir l'impression de perdre leur temps.
Télérama
par Pierre Murat
C'est censé ravir à la fois les fans de Retour vers le futur (...) et les nostalgiques des romans de Walter Scott. Mais on ne s'intéresse jamais vraiment au sort des personnages imaginés par Michael Crichton : la mise en scène manque de rythme et l'interprétation est fadasse, hormis le duo frère-soeur formé par Lambert Wilson et Anna Friel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le réalisateur, qui fut aux manettes énergiques de L'Arme fatale (...), a-t-il eu une attaque de quelque chose en voyant le film de son Mel Gibson préféré ? Le fait est qu'il a dû s'échapper par l'un des trous noirs spatio-temporels décrits par le film afin de ne pas avoir à signer ce nanar médiéval (...).
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré un budget conséquent, Donner, vieux routier de la profession, s'est contenté de reconstituer la France du XIVe siècle au Canada. Les paysages, l'architecture et les acteurs à l'accent québécois (...) sont les symptômes de cette approximation. L'irruption saugrenue de Lambert Wilson dans cette guignolade est la cerise qui fait déborder le gâteau.
L'Obs
par Bernard Achour
"Prisonniers du temps", c'est "les Visiteurs" à l'envers. En plus sérieux certes; en plus spectaculaire, d'accord ! En plus intelligent ? Pas sûr.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-françois Rauger
Un humour involontaire semble qualifier ce récit aux péripéties peu inattendues et poussives, malgré le riche postulat d'origine.
Libération
par Bayon
Voici un film historique. Digne d'entrer dans les annales de l'imbécilité. (...) La pacotille du décorum pouacreux et des déguisements à capuchons le dispute au fumeux des péripéties -comme une grosse boîte à farces et attrapes détraquée qui dégorgerait des lapins, hallebardes, cartes à jouer et faucons empaillés sans rime ni raison.
MCinéma.com
par Christophe Derrien
Quel gâchis : aucune jubilation devant ce spectacle vain, aucune excitation. La seule émotion ? Le rire, quand les acteurs, anglo-saxons pure souche, se mettent à parler le français moyenâgeux ! Serez vous prisonniers du temps ? A vous de choisir.
Chronic'art.com
(...) entre deux bâillements, Donner-auteur montre via sa fébrilité, une naïveté profondément touchante. Tétanisé par la liberté, son film se réfugie dans quelques fulgurances techniques, comme un recours bienvenu à deux-trois ficelles inusables et apaisantes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Le film recèle de véritables trésors pour les amateurs de nanars innocents dotés d'un sens de l'humour orienté vers le second degré. Les autres risquent d'avoir l'impression de perdre leur temps.
Télérama
C'est censé ravir à la fois les fans de Retour vers le futur (...) et les nostalgiques des romans de Walter Scott. Mais on ne s'intéresse jamais vraiment au sort des personnages imaginés par Michael Crichton : la mise en scène manque de rythme et l'interprétation est fadasse, hormis le duo frère-soeur formé par Lambert Wilson et Anna Friel.
Aden
Le réalisateur, qui fut aux manettes énergiques de L'Arme fatale (...), a-t-il eu une attaque de quelque chose en voyant le film de son Mel Gibson préféré ? Le fait est qu'il a dû s'échapper par l'un des trous noirs spatio-temporels décrits par le film afin de ne pas avoir à signer ce nanar médiéval (...).
L'Humanité
Malgré un budget conséquent, Donner, vieux routier de la profession, s'est contenté de reconstituer la France du XIVe siècle au Canada. Les paysages, l'architecture et les acteurs à l'accent québécois (...) sont les symptômes de cette approximation. L'irruption saugrenue de Lambert Wilson dans cette guignolade est la cerise qui fait déborder le gâteau.
L'Obs
"Prisonniers du temps", c'est "les Visiteurs" à l'envers. En plus sérieux certes; en plus spectaculaire, d'accord ! En plus intelligent ? Pas sûr.
Le Monde
Un humour involontaire semble qualifier ce récit aux péripéties peu inattendues et poussives, malgré le riche postulat d'origine.
Libération
Voici un film historique. Digne d'entrer dans les annales de l'imbécilité. (...) La pacotille du décorum pouacreux et des déguisements à capuchons le dispute au fumeux des péripéties -comme une grosse boîte à farces et attrapes détraquée qui dégorgerait des lapins, hallebardes, cartes à jouer et faucons empaillés sans rime ni raison.
MCinéma.com
Quel gâchis : aucune jubilation devant ce spectacle vain, aucune excitation. La seule émotion ? Le rire, quand les acteurs, anglo-saxons pure souche, se mettent à parler le français moyenâgeux ! Serez vous prisonniers du temps ? A vous de choisir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com