Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
Le dernier film enchanteur de Werner Schroeter, Deux, nous reconduit dans ce royaume d'avant la séparation, ce territoire magique où les héros de la poésie allemande, dérobés par les dieux à la prison humaine, ont joué.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Travestissons le monde pour mieux en jouir, telle pourrait être la leçon du film -si l'on devait à tout prix en trouver une. C'est en tout cas une injonction séduisante, difficile d'y résister.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Isabelle Huppert et Bulle Ogier, magnifiques, conspirent avec un cinéaste inspiré pour dresser, dans un cérémonial barbare et poétique, le portrait d'une femme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Nicklaus
Chant d'amour pour Isabelle Huppert, Deux est une oeuvre baroque et , surtout, libre : l'inclassable Werner Schroeter y suit ses idées fixes, entre opéra et caniveau, trivial et sacré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine De Baecque
D'un plan à l'autre, d'un personnage vers l'autre, d'un horizon à l'autre (Marseille, Lisbonne, Paris), tout est conduit par des regards, ceux des actrices, assez créateurs pour engendrer des plans, des histoires, des souvenirs et l'impression d'être soudain en présence d'un vrai cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Obejctif-Cinema.com
par Gilles Lyon-Caen
Affirmant sa défiance envers toute stabilité du plan ou du récit, feignant parfois son ralentissement comme il feint la compassion ou l'empathie pour ses personnages, Deux se déploie dans l'anecdotique (il ne se raconte pas), l'anodin bruyant (on peut que ne l'écouter), et érige le détail, l'insert en principe de collage graphique, photographique et musical.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
On n'oubliera pas les bizarres poupons accrochés aux arbres ; ni Isabelle Huppert, qui joue deux jumelles, parfaitement assortie avec Bulle Ogier qui est sa mère. Sans parler d'Arielle Dombasle chantant J'aime les militaires affalée sur un piano.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Au final, il est difficile de dire si on aime le film ou pas. Les réactions sont par moments épidermiques. Un film à expérimenter.
Novaplanet.com
par Alex Masson
On pourra y être allergique, mais impossible de nier la flamboyance baroque du cinéma de Schroeter.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
On peut admirer. Ou rester hermétique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
On peut aussi pas mal rire à ce délire volontairement grandiloquent et qui n'est sûrement pas aussi sérieux que l'air solennel qu'il se donne, même si voir Isabelle Huppert, entre deux dérapages, incarner une petite écolière met plutôt mal à l'aise ! Cela prouve, certes, que cette actrice géniale n'a peur de rien. Faut-il pour autant suivre le réalisateur, qui tente ainsi de faire passer le ridicule pour une vertu ? Euh, là, ce sera sans nous...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Première
par Olivier De Bruyn
Quelques saynètes interpellent forcément la rétine (...) mais ce spectacle pseudo-décadent risque d'insupporter les plus patients.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Le dernier film enchanteur de Werner Schroeter, Deux, nous reconduit dans ce royaume d'avant la séparation, ce territoire magique où les héros de la poésie allemande, dérobés par les dieux à la prison humaine, ont joué.
Chronic'art.com
Travestissons le monde pour mieux en jouir, telle pourrait être la leçon du film -si l'on devait à tout prix en trouver une. C'est en tout cas une injonction séduisante, difficile d'y résister.
Le Monde
Isabelle Huppert et Bulle Ogier, magnifiques, conspirent avec un cinéaste inspiré pour dresser, dans un cérémonial barbare et poétique, le portrait d'une femme.
Les Inrockuptibles
Chant d'amour pour Isabelle Huppert, Deux est une oeuvre baroque et , surtout, libre : l'inclassable Werner Schroeter y suit ses idées fixes, entre opéra et caniveau, trivial et sacré.
Libération
D'un plan à l'autre, d'un personnage vers l'autre, d'un horizon à l'autre (Marseille, Lisbonne, Paris), tout est conduit par des regards, ceux des actrices, assez créateurs pour engendrer des plans, des histoires, des souvenirs et l'impression d'être soudain en présence d'un vrai cinéaste.
Obejctif-Cinema.com
Affirmant sa défiance envers toute stabilité du plan ou du récit, feignant parfois son ralentissement comme il feint la compassion ou l'empathie pour ses personnages, Deux se déploie dans l'anecdotique (il ne se raconte pas), l'anodin bruyant (on peut que ne l'écouter), et érige le détail, l'insert en principe de collage graphique, photographique et musical.
L'Humanité
On n'oubliera pas les bizarres poupons accrochés aux arbres ; ni Isabelle Huppert, qui joue deux jumelles, parfaitement assortie avec Bulle Ogier qui est sa mère. Sans parler d'Arielle Dombasle chantant J'aime les militaires affalée sur un piano.
MCinéma.com
Au final, il est difficile de dire si on aime le film ou pas. Les réactions sont par moments épidermiques. Un film à expérimenter.
Novaplanet.com
On pourra y être allergique, mais impossible de nier la flamboyance baroque du cinéma de Schroeter.
TéléCinéObs
On peut admirer. Ou rester hermétique.
Aden
On peut aussi pas mal rire à ce délire volontairement grandiloquent et qui n'est sûrement pas aussi sérieux que l'air solennel qu'il se donne, même si voir Isabelle Huppert, entre deux dérapages, incarner une petite écolière met plutôt mal à l'aise ! Cela prouve, certes, que cette actrice géniale n'a peur de rien. Faut-il pour autant suivre le réalisateur, qui tente ainsi de faire passer le ridicule pour une vertu ? Euh, là, ce sera sans nous...
Première
Quelques saynètes interpellent forcément la rétine (...) mais ce spectacle pseudo-décadent risque d'insupporter les plus patients.
Studio Magazine
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