Note moyenne
3,5
15 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Aden
Le film flotte, comme son personnage, et ne prend rien de haut. Il met à jour cette sensation que d'ordinaire on dissimule : la confusion.
Le Figaro
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Le Figaroscope
Sophie Marceau dit tout cela avec justesse et sensibilité, sans jamais forcer le trait ou charger les personnages.
Le Parisien
Son film sur les histoires d'amour qui finissent mal est sincère, touchant, crédible (...), et une mise en scène justement récompensée au récent Festival de Montréal.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
(...) Judith Godrèche, vive, directe, vivante, sosie ou presque de la réalisatrice et, c'est un retour que l'on apprécie (...), Niels Arestrup, massif, troublant, d'une intense présence. Ce coup d'essai en forme d'exutoire personnel s'avère tout à fait honorable.
MCinéma.com
Rigoureuse, méticuleuse, la réalisatrice montre un formidable sens du cadrage et nous offre de très belles idées de mise en scène, dont il vaut mieux vous réserver la surprise. Elle fait aussi preuve d'une grande pudeur, que ce soit dans les scènes dures et à 100 à l'heure de la première moitié du film, au coeur du tourbillon familial, ou dans la deuxième partie, plus apaisée, avec des respirations qui en disent long.
Première
L'interprétation est plutôt sensible. Et le film honnête.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Mais l'actrice ne se débrouille pas si mal en tant que cinéaste. Sur un thème vraisemblablement assez autobiographique, elle sait tenir ses distances et fait de Judith Godrèche une alter ego plutôt bien filmée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
Plus à l'aise dans la première partie, d'un réalisme dérangeant, que dans la seconde, plus contemplative donc plus casse-gueule, Sophie Marceau filme ses personnages au plus près. Elle les aime, tous les deux (...), et accouche d'un film maladroit, courageux et généreux. Un film qui lui ressemble.
Chronic'art.com
Mais les acrobaties de la caméra ne parviennent toutefois pas à masquer la platitude de ce journal intime à peine déguisé censé faire appel à l'émotion, la vraie...
Le Monde
Le récit elliptique est à la limite de l'incompréhension. La mise en scène nerveuse, caméra à l'épaule, gangrenée par l'usage abusif des travellings, achève de nous tournebouler la tête. Si la vie de couple est un enfer, ce film sait au moins en restituer la sensation.
Libération
C'est tout ça, du moins au niveau des intentions, car le résultat n'excède guère la dramatique télé allemande pour la ménagère de moins de 50 ans qui attend l'heure de voir les gosses revenir de l'école.