AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,0
10699 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Les Chroniques de Riddick ?
5
75 critiques
4
125 critiques
3
81 critiques
2
110 critiques
1
78 critiques
0
35 critiques
Trier par :
Filtrer par :
- Toutes les notes
-
-
-
-
-
-
David Twohy n’avait pas une thune pour faire Pitch Black. Après la réussite du film, on lui octroya un petit pactole pour faire ce dont il avait envie depuis le début : une saga de science-fiction.
Les Chroniques de Riddick est donc le premier film d’une trilogie introduite par Pitch Black, par le jeu vidéo Escape from Butcher Bay et par le court métrage d’animation Dark Fury. Se passant 5 ans après la fin de Pitch Black, Les Chroniques de Riddick profitent dès le départ de la créativité sans faille de David Twohy et de ses décorateurs, qui utilisent le maximum des 100 millions de dollars qui leur ont été impartis. Grâce au Director’s Cut (un des premiers films à s’être vendu en vidéo avec ce label), le film prouve aussi qu’on peut s’adapter à Hollywood sans y vendre son âme. Bien plus ambitieux que le petit film d’horreur qui l’avait précédé, Les Chroniques de Riddick ont gardé le ton très impoli qui avait fait de Pitch Black un tel sleeper hit. Là où on mettait en cause la menstruation d’une jeune adolescente dans le premier opus, on retrouve une mercenaire transpirante qui se frotte sur un Riddick endormi et enchaîné : voilà ce qu’on était venu chercher : de la saleté, du one-liner, de la provocation, une photographie aussi osée que dans Pitch Black et du talent.
Bien évidemment tout ceci est présent, en grande quantité, avec une petite cerise sur le gâteau : il y a deux ou trois apparitions de Judi Dench, qui fait partie d’un casting homogène et franchement excellent. Vin Diesel envoie du one-liner avec sa voix calme et grave, tue avec des armes improbables et drague de la nympho (nous sommes dans de la pure science-fiction et ça fait vraiment plaisir de voir qu’on peut aussi être tendancieux, crade et malpoli dans ce genre-là), Alexa Davalos évite tous les clichés inhérents à son rôle, Nick Chinlund joue la raclure de manière parfaite (on parle quand même de l’immense Billy le Barge dans Les Ailes de l’Enfer), Karl Urban et Colm Feore sont d’excellents méchants et Thandie Newton peut jouer une femme vénale comme personne. Quant aux scènes d’action, elles sont toujours filmées aussi intelligemment, avec des plans sortis de nulle part et toujours surprenants (la décapitation d’un Necromonger) en est une preuve parfaite. Il est alors dommage que le film soit trop long, surtout dans sa première partie et que la fin soit aussi rapide, alors qu’elle est franchement courageuse.
Les Chroniques de Riddick n’est pas un film parfait. En revanche, c’est un film cohérent avec son premier épisode, courageux, malpoli, vil et profondément réjouissant. Là où David Eggby était le véritable héros du premier opus, David Twohy remporte la Palme ici. Bravo et merci.
Les Chroniques de Riddick est donc le premier film d’une trilogie introduite par Pitch Black, par le jeu vidéo Escape from Butcher Bay et par le court métrage d’animation Dark Fury. Se passant 5 ans après la fin de Pitch Black, Les Chroniques de Riddick profitent dès le départ de la créativité sans faille de David Twohy et de ses décorateurs, qui utilisent le maximum des 100 millions de dollars qui leur ont été impartis. Grâce au Director’s Cut (un des premiers films à s’être vendu en vidéo avec ce label), le film prouve aussi qu’on peut s’adapter à Hollywood sans y vendre son âme. Bien plus ambitieux que le petit film d’horreur qui l’avait précédé, Les Chroniques de Riddick ont gardé le ton très impoli qui avait fait de Pitch Black un tel sleeper hit. Là où on mettait en cause la menstruation d’une jeune adolescente dans le premier opus, on retrouve une mercenaire transpirante qui se frotte sur un Riddick endormi et enchaîné : voilà ce qu’on était venu chercher : de la saleté, du one-liner, de la provocation, une photographie aussi osée que dans Pitch Black et du talent.
Bien évidemment tout ceci est présent, en grande quantité, avec une petite cerise sur le gâteau : il y a deux ou trois apparitions de Judi Dench, qui fait partie d’un casting homogène et franchement excellent. Vin Diesel envoie du one-liner avec sa voix calme et grave, tue avec des armes improbables et drague de la nympho (nous sommes dans de la pure science-fiction et ça fait vraiment plaisir de voir qu’on peut aussi être tendancieux, crade et malpoli dans ce genre-là), Alexa Davalos évite tous les clichés inhérents à son rôle, Nick Chinlund joue la raclure de manière parfaite (on parle quand même de l’immense Billy le Barge dans Les Ailes de l’Enfer), Karl Urban et Colm Feore sont d’excellents méchants et Thandie Newton peut jouer une femme vénale comme personne. Quant aux scènes d’action, elles sont toujours filmées aussi intelligemment, avec des plans sortis de nulle part et toujours surprenants (la décapitation d’un Necromonger) en est une preuve parfaite. Il est alors dommage que le film soit trop long, surtout dans sa première partie et que la fin soit aussi rapide, alors qu’elle est franchement courageuse.
Les Chroniques de Riddick n’est pas un film parfait. En revanche, c’est un film cohérent avec son premier épisode, courageux, malpoli, vil et profondément réjouissant. Là où David Eggby était le véritable héros du premier opus, David Twohy remporte la Palme ici. Bravo et merci.
Une suite exemplaire et particulièrement prenante. Très efficace, les Chroniques de Riddick poursuit les aventures du très charismatique héros toujours impeccablement interprété par Vin Diesel, nous proposant une fois de plus des combats à couper le souffle, et toujours en gardant cette même classe qui fait de Riddick, un personnage que l'on admire. L'histoire est redoutablement captivante, mettant en scène une impressionnante armée de Necromongers qui donnera du fil à retordre aux héros nyctalope. Le film nous fait également voyager à travers de nombreuses planètes, le visuel est bluffant et dévoile des plans d'une valeur certaines et les effets spéciaux sont sublimes, un pur régal pour les yeux. L'ambiance est sombre, prenante, la bande son est absolument excellentes, propre à la saga. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde devant ce super film auquel j'ai pris un plaisir immense à le regarder. Le rythme est effréné, tout s'écoule rapidement, mais tout est somptueux dans la réalisation et dans la narration. Un pur bijou de science-fiction, comme je les aime !
Moins bon que le premier mais reste quand même un bon divertissement, l'histoire reste interressante et quelques scènes valent vraiment le détour.
Ce film est très différent du précédent et ce n'est pas le même univers. Vin Diesel est vraiment excellent dans le rôle de Riddick avec sa musculature et son égard envers les autres. Un jolie casting d'acteurs avec Karl Urban et Thandie Newton. Des costumes bien taillés. On est surtout bluffé par la richesse des décors et des effets spéciaux avec toute l'armée et les vaisseaux. Le scénario est un peu mieux travaillé que son prédécesseur. Des scènes d'actions surprenants sauf un part l'effet de ralentissement quand Riddick se sert de ses couteaux qui sert à rien. Un bon enchaînement des scènes de paroles et d'actions. Un excellent film d'action et de science-fiction à voir en soirée.
Suite du très classe "Pitch Black" avec son anti-héros charismatique (Alias "Riddick") qui devait être le début d'une franchise lucrative, "Les Chroniques de Riddick" n'a pas eu le succès escompté. Différent du 1er opus, plus orienté comme une sorte de Space-Opera façon "Star Wars" les critiques se sont scandaleusement acharnés sur le film malgré ses qualités indéniables. Un univers riche et vaste, des personnages excellents, des effets spéciaux très réussis, des scènes d'action époustouflantes, un vrai "Blockbuster" de science-fiction parfaitement calibré et maîtrisé qui vaut largement le détour. Un véritable feu d'artifice "Destroy"qui reste pour ma part supérieur aux (Décevants) épisodes I, II et III de "Star Wars". Voilà, tout est dit !
Le deuxième épisode de Riddick, et quelle suite. Ce deuxième volet abandonne le côté angoissant de Pitch Black, pour se centrer sur un film de Sf et d'action. Le scénario est plus recherché que le premier, on parle de prophétie, moins de dialogue que dans le retrouve Vin Diesel dans le rôle titre. Les effets spéciaux surpassent ceux du premier. Bref une suite qui est supérieur au premier en tout point.
4 ans après Pitch Black, David Twohy et Vin Diesel reviennent avec un nouvel opus : Les Chroniques de Riddick. Doté d'un budget plus confortable que sur le premier opus, cette suite est beaucoup plus épique que son prédécesseur. Cette fois-ci, Riddick doit faire face à une armée destructrice : les Necromongers. Vin Diesel est toujours aussi parfait dans le rôle du Furien Riddick, les effets spéciaux sont bons, bien qu'un peu vieillaux, la réalisation de Twohy est convenable et la musique est très réussie. Une suite plus épique mais toute aussi réussie que Pitch Black. Si vous avez aimé Pitch Black, vous aimerez probablement Les Chroniques de Riddick.
Superbe suite à la hauteur au moins du premier opus. De la science fiction quand c'est bien fait on adore, quand il y a de l'imagination et un petit budget ça devient vraiment génial ! Eh oui Vin Diesel c'est là qu'on le préfère !
Dire que Pitch Black est une série B est une ineptie, Twohy nous a d'abord régalé avec The arrival un bijou passé inaperçu mais qui me poussa à la première heure à voir presque seul dans la salle obscure Pitch Black Chef d’œuvre avec un synopsis d’antihéros contre culture de 100 ans de cinéma américain. Ou l’héroïne se fait empaler dans le first comme dans le second épisode. Twohy ne nous a donc jamais servie de série B seulement des films bourrés d'ingéniosité tant dans la photographie, la lumière, le jeu d'acteur et surtout des scripts de très haut niveau et d'une très grande maitrise scénaristique. Twohy est un génie du cinéma un régale pour le cinéphile averti.
Twohy donne tout le sens de l'écriture au cinéma et nous donne envie de retourner ouvrir un livre.
Twohy donne tout le sens de l'écriture au cinéma et nous donne envie de retourner ouvrir un livre.
Je trouve ce film puissant‚ grandiose (grandiloquent ?). Et j'aime ça. C' est tout à fait adapté au cinéma.
Après un PITCHBLACK qui a su se démarquer malgré ses faibles moyens,le personnage de Riddick méritait bien une suite,et un traitement plus riche.Et David Twohy nous régale,par une réalisation colossale.véritable fresque épique et galactique.Les décors y sont tout simplement éblouissants,originaux et réalistes ;l’action est permanente et joliment mise en scène,mais l’histoire reste toujours faible,où,dans un univers voué à disparaitre par une menace incroyable,seul Riddick compte.en effet,le film tourne parfois trop autour de la psychologie du personnage et en rond,qui reste néanmoins fidèle à ce que l’on avait découvert dans le premier volet.Bien sûr,la version Director’s Cut est fortement conseillée,permettant ainsi de connaitre les origines de Riddick et de comprendre certaines incohérences de la version cinéma.La musique,les acteurs,les effets spéciaux,tout est là pour faire de ce film un petit space-opéra original.En bref :un long-métrage qui mérite bien sa place au panthéon de la science-fiction.
stallonefan62
Second volet se concentrant principalement sur le personnage de Riddick !! 2h d'action non-stop !! Le film est ce qu'il est et ce que l'on veut, un pur divertissement de SF mélangé avec du Space Opéra !! Les scènes d'actions s'enchainent à toute vitesse, pas de temps mort ça bombarde de tous les côtés !! Les FX sont encore qualitatif dans l'ensemble !!
Un film avec de l'ambition tourné par un réalisateur visiblement passionné. Le cinéma de David Twohy est certes, un peu maladroit parfois, mais toujours extrêmement généreux.
this is my movies
Voulant renouveler le genre et offrir une aventure digne du personnage (pour lequel V. Diesel a eu un vrai coup de coeur), D. Twhoy a imaginé un space-opera démesuré, dont certaines clés sont livrées sur différents supports (jeux vidéo,animation). Succédant à "Dark Fury", le film nous relate une énième prophétie dont le héros est Riddick (la seule originalité venant du fait que cette prophétie est récente et non pas millénaire comme dans 95% des cas) et qui doit sauver l'univers. Sauf que contrairement aux autres héros du genre, il est loin d'avoir le profil. Le scénario alterne alors scènes d'action et scènes plus explicatives, nous offrant quelques images vraiment travaillées et jouissives avec une mythologie plus étoffée et vraiment stimulante. Des costumes un peu too much et des scènes d'action hyper mal filmées et montées la plupart du temps noircissent un peu ce tableau, qui avait le mérite de proposer un vrai univers et un vrai ton, rempli de crasse et de personnages borderline et une fin vraiment porteuse d'espoirs. L'échec critique et public du film fait que l'aventure s'arrête là. Et c'est bien dommage. D'autres critiques sur
Une suite qui permet à notre anti héros préféré de démontrer toutes ces compétences de combats et de guerriers cynique et provocateur également.
Le tout avec de nouveaux personnages assez flamboyant et original dans leurs créations.
Le petit plus : cela permet également de découvrir une nouvelle facette de Riddick et une partie de ses origines.
Le tout avec de nouveaux personnages assez flamboyant et original dans leurs créations.
Le petit plus : cela permet également de découvrir une nouvelle facette de Riddick et une partie de ses origines.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse