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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un film sans subtilité, sans scénario, qui ne séduira que les amateurs de films bourrins et virils, toutefois un peu au-dessus d'un Jean-Claude Van Damme.
Pitch Black était une très bonne série B, carré et inventive et surtout imprévisible. Cette suite en est l'exacte opposée : prévisible, pas assez maîtrisée et bourrin. Des images de synthèses d'une incroyable laideur, des dialogues navrants grognés par des acteurs monolithiques, des effets gratuits à volonté et un univers trop lisse à l'image d'un scénario ultra linéaire. David Twohy à voulu ce film ambitieux et démesuré mais ne livre qu'une bouillie visuelle à 100M de dollars totalement ridicule.
Après la très bonne série B horrifique qu'était "Pitch black", on attendait Twohy au tournant avec cette fausse suite devenue un blockbuster. Passer d'un budget de 20 millions de dollars pour le premier à 100 millions pour celui-ci peut sembler excessif, mais cela a surtout eu des conséquences sur le plan artistique. Ainsi, le film d'horreur est devenu un film de science-fiction et le cinéaste a du livrer un PG 13 peu convaincant pour les amateurs de cinéma violent. Son Riddick a beau être présenté comme un être violent et incontrôlable, on a bien du mal à le croire au vu du film. On se retrouve donc devant une grosse série B boursouflée, dont l'histoire est peu intéressante. Noyé sous les décors grandioses, mais synthétiques, le cinéaste oublie de créer une atmosphère. Ce n'est que lorsqu'il abandonne ses "héros" sur la planète Crématoria qu'il retrouve un peu de son âme car le décor est plus sobre et étouffe moins les personnages. Riddick est donc un film chiant, malgré toutes les scènes d'action et ayant le cul entre deux chaises (Trop série B par rapport aux moyens utilisés et pas assez grandiose dans ses intentions pour être un grand blockbuster).
Pas de dialogue, pas de scénario... En gros, tout est nul sauf peut-être un combat (et encore) je n'ai même pas tenu jusqu'à la fin du film. Ne dépensez pas votre argent.
Qu'est-ce qu'un a bien pu faire aux Américains pour qu'ils nous en veillent à ce point ??? C’est parce qu’on est pas allé en Irak se faire péter la tronche avec eux ou quoi donc ??? Après « Le Roi Arthur » et « Hellboy – le Hulk peint en rouge », voilà qi’ils nous balancent « les chroniques de Riddick ». C’est une sorte de Péplum intergalactique qui oppose le gentil Riddick (une espèce d’haltèrophile aux yeux de merlan frit joué par Vin Diesel - Wine Fuel en Anglais et Pinard Gas-Oil chez nous - à combattre les très très méchants « Necrommongers » (des ex-gentils humains devenus des vilains en armures noires). Riddick (ule), grâce à ses yeux de vieux labrador touché par la cataracte, voit même la nuit (woouahhh, trop classssse), mais les très mèchants, eux, ils ont des « traqueurs » (des gros bonshommes avec la tête dans un aquarium) et qui voient les corps en infra-rouge (woouahhh, trop coooool). Mais des vilains chasseurs de primes attrape le gentil Riddick et l’emmêne sur une planète qui fout les jetons car il y fait hyper trop chaud (même qu’elle s’appelle : Crématoria, la planète). Et là, le super héros retrouve Jacques (une ancienne meuf à lui qui porte un prénom de mec parce que c’est un film de science fiction, et que Roger, ça fait décoller les fusées à chaque fois qu’on l’appelle). Comme ils étaient amis, quand ils se retrouvent, ils se battent, mais après ils sont de nouveaux potes (trop fort). Bref, si vos yeux ont survécu aux 3 premiers quarts d’heure où la majorité des scènes sont tournées façon jeu vidéo avec stromboscope, vous devrez encore subir 1h15 de supplice avant que ça s’arrête. Heureusement qu’il y a les effets spéciaux et les images virtuelles, parce que sinon, avec le scénario digne d’un épisode de « amours, gloire et beauté » ça ne tiendrait pas une demi-heure. Je ne sais pas si ils vont jouer la pièce tirée du film au théatre… Je n’pense pas .
On va vite donner les points positifs, parce qu'ils sont pas nombreux : Vin Diesel joue bien, les vaisseaux Necro-Mongers sont sympas. C'est tout !
Tout le reste est nul, sans âme et incohérent. Je ne comprends pas l'enthousiasme de beaucoup pour les effets spéciaux ; ils sont très basiques, fond bleu, on se croirait dans un jeu vidéo intergalactique..
Bref, un film vite écrit, vite tourné, vite consommé... Rien à voir avec StarWars, qui a quand même marqué l'époque...
Un film ennuyeux à mourir qui repose sur un cocktail d'effets spéciaux qui arrivent à vous faire mal aux yeux, un scénario basique et sans surprises, des personnages caricaturaux et sans charisme, bref un film de série B dénué d'intérêt.
A coté Van Helsing c'est un chef d'oeuvre du 7eme art....
Deux mots : Vin Diesel. Une chose est sûre, je peux pas blairer cet acteur. Comparer ce film à Star Wars, la folle idée !! Je ne suis pas spécialement fan de Star-Wars, mais bon quand même, l'un a marqué une génération, l'autre a marqué au mieux mon porte-monnaie. Quant au film, les décors sont d'une beauté... métallique, le scénario est, oh, potable dirons-nous : on est pas plus intrigué par l'avenir de notre héros que par le comérage de quartier mais bon, ça se tient. Mais le must reste quand même Vin Diesel, avec ses beaux yeux brillants ! Wahouuu ! Non pas brillant par le talent malheureusement... (Déjà qu'il est aussi expressif qu'un caniche au naturel, là c'est vraiment atterrant). Mais bon, rassurez-vous, ses gros muscles sont là, et il est hyper-stéroïdés dans ce film, viril, fier, mâle, une vraie bête ! Et lorsqu'il dit à la fille que ça faisait longtemps qu'il a pas "flairer" une génisse pareille (ou quelque chose dans le genre), c'est le pied intégral !! (Fais nous monter au ciel Vinnnn !) Par contre, charisme : zéro. Sinon, le film est pas mal bourré d'incohérences, j'avais deviné la fin un bail avant qu'elle arrive, les scènes d'action sont correctes, bien que pas très réalistes. Alors pourquoi une étoile ? Parce qu'il y a des répliques énormes, marrantes par leur nullité, et que j'ai franchement ri pendant ce film (ça mériterait limite deux étoiles ! Mais ce serait surnoter le chef d'oeuvre). En plus, ils ont essayé de créer un univers et tout ça, un "background", pour moi la sauce a pas pris, mais l'intention y est ! Réservé aux fans de Vin Disel ou à l'action multivitaminée, ou à ceux qui veulent laisser reposer leur cerveau pendant deux heures mais pas franchement aux amateurs de (bonne) SF
David Lynch avait cree le space-opera, eh bien David Thowy cree le space-opera-d'operette!Bouse totale, Thowy lance des effets speciaux parci par-la et presente Riddick comme un ange venu du ciel, se detachant de l'esprit de Pitch Black!Sans parler de la prestation de Vin Diesel, de plus en plus narcissique!Un conseil: regarder Pitch Black, mais pas cette merde!
bof bof bof, décidément je trouve ce film tres moyen..Vin Diesel à peut etre du charisme mais ici son jeux est bien trop fade et son personnage bien trop prétencieux...les effets speciaux sont tout de même correct même si il faut avouer que ces derniers font parfois un peu image de synthèse bon marché.
Cela dit j'aime pitch black et je le trouve supérieur
Eh allez, c'est parti à coups de millions de dollars dans des effets spéciaux qui sont (il faut l'avouer) bien réussis mais le film en lui-même est une catastrophe ! Gagné par le sommeil, je n'ai pas pu aller jusqu'au générique tout comme mon voisin de droite et... celui de gauche. Aucune crédibilité dans les dialogues qui sont même moins bien réussis que ceux de XXX ! A éviter !
Des effets spéciaux vraiment tres bien faits, mais le reste est risible. Le scénario est à pleurer, les dialogues sont navrants, et l'histoire.... résumé : Un gros méchant va détruire l'univers, riddick l'en empeche et il se chie un peu sur le chemin histoire de faire durer le suspense. Après savoir pourquoi le méchant est méchant et comment il a fait pour réussir à mettre sur pied une armée aussi colossal, ça dépassait les compétences du scénariste. Mais visuellement il est tres joli, c'est la justification de l'étoile.
Voilà cinq ans que Riddick, dans un excellent petit film ténébreux de SF ("Pitch Black"), a sauvé sa peau de criminel et celle de quelques personnes en échappant à des bébêtes un peu dangereuses sur les bords. Toujours recherché à travers la Galaxie et donc de mauvaise fréquentation pour ses compagnons de route, il sest terré seul. Voilà donc cinq ans quil se les gèle sur une Planète de glace (la scène dintro est sympa). Il a un contrat sur la tête, tout ce quil veut cest quon lui fiche la paix. Raté puisquon le ramène à la civilisation sur Helion Prime. De race furianne, lui seul semble en mesure de lutter contre les Necromongers, des destructeurs de Mondes de passage dans lquartier. La conversion ou la mort, cest le choix que ceux-ci laissent aux humains des Planètes quils éliminent. Bien entendu on va lui demander de choisir aussi, mais on ne la lui fait pas, cest quil nest pas né de la dernière antéverse le Riddick. Cest là quon apprend que ces gros vilains de Necromongers obéissent strictement à la devise "Ce que tu as tué tappartient". Bizarre, on sent déjà que ça va resservir plus tard dans le film ce machin-là. Bon, mais entre-temps cest pas tout dça, faut meubler avec de belles aventures testostéronées. Une petite visite dans la prison souterraine de Crematoria paraît tout indiquée. Ca permettra de délivrer une vieille connaissance du premier film devenue grande et daccomplir quelques acrobaties impressionnantes. Ces "Chroniques de Riddick" jouent la carte de linversion de la spécificité de "Pitch Black" : une partie du film consiste en effet à ne pas sexposer à la lumière du Soleil. Beaucoup de blabla et un peu de bruit pour pas grand-chose. Pour peu quon ne rentre pas pleinement dans lintrigue, on sennuie malheureusement souvent (et dire que je me suis coltiné la directors cut !). Sauvons le casting féminin (Thandie Newton est bien, Judi Dench sera toujours bien), les effets spéciaux ainsi que lOST signée Graeme Revell.