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Napoléon
146 abonnés
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2,5
Publiée le 19 décembre 2014
Un film détenant de bons acteurs, et commençant bien car on remarque rapidement qui est qui et ce qui va se passer, mais malheureusement l'idée de départ se délecte rapidement, ce qui amène le spectateur à s'ennuyer pendant une bonne partie.
Nettement moins bon que "Pitch black", un film de science-fiction qui peine à captiver à cause d'une intrigue trop linéaire et de scènes cousues de fil blanc qui s'enchainent sans idées. A mon avis, tout repose un peu trop sur la plastique de quelques jolies actrices. De la série B vraiment pas tripante...
J'ai un gros problème avec ce film, je ne compte plus combien de fois je l'ai vu et revu !!!! Tant l'univers est original et baroque.... Une réussite esthétique, scénaristique du jamais vu en SF jusqu’à aujourd'hui ! Avec un vin diesel sans foi ni loi servit par un histoire solide et de l'action a l’état brut. Une référence du genre ! Bref un chef d’œuvre !!!
N'attendez pas une suite de Pitch Black car ce n'est pas le cas. De Pitch Black, il ne reste que le nom des deux personnages, ensuite un Vin Diesel comme on a l'habitude de le voir, des effets spéciaux très mauvais pour la plupart, des musiques aussi mauvaises, une histoire remplie d'incohérences, bref à éviter.
J'avais vraiment bien aimé ce 2e opus de la franchise Riddick. Ces chroniques sont un peu comme un space opéra avec un univers vraiment riche. Certes, 20 ans plus tard, certains costumes ou décors semblent un peu kitsch et quelques effets spéciaux ont mal vieilli...mais je lui trouve toujours autant de charme. Un reboot serait intéressant.
Ces chroniques sont aux antipodes du premier opus: "Pitch Black". Lui avait un scénario très construit, avec finalement quelques scènes de baston savamment dosées, et un suspense qui s'épaississait de manière captivante, des dialogues souvent caustiques, et des rebondissement en nombre conséquent et inattendus. Ici c'est tout le contraire. Barbant!
Super film : vu ce soir sur RTL9. Dommage que je l'ai raté sur grand écran au ciné car en vue des images, (les statues immenses aussi), des effets spéciaux & des décors somptueux gris, graniteux et parfois macabres, sans parler des scènes des vaisseaux dans l'espace, tout est parfait pour un film de SF pure. Beaucoup d'actionS. 1h50 qu'on ne voit pas passer. Vraiment à voir!
David Twohy n’avait pas une thune pour faire Pitch Black. Après la réussite du film, on lui octroya un petit pactole pour faire ce dont il avait envie depuis le début : une saga de science-fiction.
Les Chroniques de Riddick est donc le premier film d’une trilogie introduite par Pitch Black, par le jeu vidéo Escape from Butcher Bay et par le court métrage d’animation Dark Fury. Se passant 5 ans après la fin de Pitch Black, Les Chroniques de Riddick profitent dès le départ de la créativité sans faille de David Twohy et de ses décorateurs, qui utilisent le maximum des 100 millions de dollars qui leur ont été impartis. Grâce au Director’s Cut (un des premiers films à s’être vendu en vidéo avec ce label), le film prouve aussi qu’on peut s’adapter à Hollywood sans y vendre son âme. Bien plus ambitieux que le petit film d’horreur qui l’avait précédé, Les Chroniques de Riddick ont gardé le ton très impoli qui avait fait de Pitch Black un tel sleeper hit. Là où on mettait en cause la menstruation d’une jeune adolescente dans le premier opus, on retrouve une mercenaire transpirante qui se frotte sur un Riddick endormi et enchaîné : voilà ce qu’on était venu chercher : de la saleté, du one-liner, de la provocation, une photographie aussi osée que dans Pitch Black et du talent.
Bien évidemment tout ceci est présent, en grande quantité, avec une petite cerise sur le gâteau : il y a deux ou trois apparitions de Judi Dench, qui fait partie d’un casting homogène et franchement excellent. Vin Diesel envoie du one-liner avec sa voix calme et grave, tue avec des armes improbables et drague de la nympho (nous sommes dans de la pure science-fiction et ça fait vraiment plaisir de voir qu’on peut aussi être tendancieux, crade et malpoli dans ce genre-là), Alexa Davalos évite tous les clichés inhérents à son rôle, Nick Chinlund joue la raclure de manière parfaite (on parle quand même de l’immense Billy le Barge dans Les Ailes de l’Enfer), Karl Urban et Colm Feore sont d’excellents méchants et Thandie Newton peut jouer une femme vénale comme personne. Quant aux scènes d’action, elles sont toujours filmées aussi intelligemment, avec des plans sortis de nulle part et toujours surprenants (la décapitation d’un Necromonger) en est une preuve parfaite. Il est alors dommage que le film soit trop long, surtout dans sa première partie et que la fin soit aussi rapide, alors qu’elle est franchement courageuse.
Les Chroniques de Riddick n’est pas un film parfait. En revanche, c’est un film cohérent avec son premier épisode, courageux, malpoli, vil et profondément réjouissant. Là où David Eggby était le véritable héros du premier opus, David Twohy remporte la Palme ici. Bravo et merci.
Après un solide premier volet sous le nom de Pitch Black, David Twohy remet le couvert avec le second volet de ce qui est à ce jour la trilogie de Riddick au cinéma et donc également la trilogie de Vin Diesel. Si ce film de SF action bourré de thunes n'atteint pas la belle surprise qu'était le premier épisode, il parvient cependant à étoffer un univers autour du personnage badass incarné par notre baboulinet favori.
Les chroniques de riddick a avant tout pour ambition de présenter un univers, là où Pitch Black n'était avant tout qu'un concept de survival de SF. Ainsi, une mythologie, pas toujours très poussée ni cohérente vis à vis du premier film, qui s'étend via une galerie de planètes et de cultures. Si l'ambition épique du projet est montrée à l'écran notamment grâce à un budget confortable de 110 millions, budget qu'on voit clairement d'ailleurs, Les chroniques de Riddick pêche cependant sur quelques points qui sont surement dûs à l'aspect plus grand public du film. Déjà, le montage est plus haché ce qui rend la lisibilité et la violence moins lisible et donc plus lisse. Egalement, mis à part les deux personnages du premier volet, la plupart de ceux présentés ici sont assez oubliables tout comme la toile de fond qui n'est finalement pas si importante.
Reste donc Riddick et Kyra, très bien interprétés et qui sont des personnages d'envergure en plus d'évoluer dans un univers superbement vis en valeur que ce soit par la photographie, les effets spéciaux impeccables ou par les scènes dantesques auxquels ils participent. La valeur ajoutée du film étant bien sur la BO exceptionnelle de Graeme Revell avec en point d'orgue le thème culte de Riddick.