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(...) Julio Medem a appris à conjuguer rigueur dramatique et chaleur émotionnelle. Lucía y el sexo, film à la fois alambiqué et peu avare de séquences à fort potentiel érotique, confirme brillamment cette synthèse.
A mi-chemin entre palabres psychanalytiques et zone érogène, roman-photo et romance hardcore, Medem reste en deça de son chef-d'oeuvre, L'écureuil rouge (...) mais signe un film unique, aussi novateur que rétrograde.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
C'est cette liberté du récit, portée par Lucia/Paz Vega, dont l'innocence endeuillée se marie parfaitement à la mystique sexuelle du film, qui séduit tant.
La critique complète est disponible sur le site Première
C'est ainsi, dans l'affirmation audacieuse de ses choix, que le film réussit à intriguer. Mais il échoue à nous embarquer. Trop long et trop confus, il n'offre pas de véritable point d'ancrage.
En Espagne, " Lucia y el sexo " fait un tabac depuis sa sortie en 2001. Qualités et imperfections confondues, il mérite que le public français ait la curiosité de s'y rendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mais même avec une réalisation brillante, des comédiens justes et une forte émotion finale, ce film, comme Les Amants du Cercle polaire est trop lent, trop appuyé. Il nous lasse à force d'avancer selon une stratégie univoque : déplacer les pions sur l'échiquier d'une histoire complexe sans jamais les heurter. Reste évidemment la puissance émotionnelle de la fin, et l'originalité d'un film où le sexe se voit, crûment, tout en restant enserré dans une histoire qui n'est pas pornographique.
Lucía y el sexo c'est l'exemple type d'un imaginaire fertile qui a mué en système, chaque image se voit chargée de signifiant, chaque scène s'accompagne d'un arsenal de symboles. Difficile d'adhérer à cet objet confectionné par le prétentieux démiurge qu'est devenu Julio Medem.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Zurban
(...) Julio Medem a appris à conjuguer rigueur dramatique et chaleur émotionnelle. Lucía y el sexo, film à la fois alambiqué et peu avare de séquences à fort potentiel érotique, confirme brillamment cette synthèse.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Le cinéaste réussit ainsi un film parfois alambiqué, certes, mais libre de tout compromis.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Le film perle (...) porté par l'actrice principale, Paz Vega, sublime (...). Un film inspiré.
Novaplanet.com
A mi-chemin entre palabres psychanalytiques et zone érogène, roman-photo et romance hardcore, Medem reste en deça de son chef-d'oeuvre, L'écureuil rouge (...) mais signe un film unique, aussi novateur que rétrograde.
Première
C'est cette liberté du récit, portée par Lucia/Paz Vega, dont l'innocence endeuillée se marie parfaitement à la mystique sexuelle du film, qui séduit tant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
C'est ainsi, dans l'affirmation audacieuse de ses choix, que le film réussit à intriguer. Mais il échoue à nous embarquer. Trop long et trop confus, il n'offre pas de véritable point d'ancrage.
Cahiers du Cinéma
Pas sûr que Medem invente là quelque chose. Mais quelque chose, certainement, s'y dérègle.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Une oeuvre troublante, torride, très sexe avec une symbolique assez facile (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
En Espagne, " Lucia y el sexo " fait un tabac depuis sa sortie en 2001. Qualités et imperfections confondues, il mérite que le public français ait la curiosité de s'y rendre.
MCinéma.com
Mais même avec une réalisation brillante, des comédiens justes et une forte émotion finale, ce film, comme Les Amants du Cercle polaire est trop lent, trop appuyé. Il nous lasse à force d'avancer selon une stratégie univoque : déplacer les pions sur l'échiquier d'une histoire complexe sans jamais les heurter. Reste évidemment la puissance émotionnelle de la fin, et l'originalité d'un film où le sexe se voit, crûment, tout en restant enserré dans une histoire qui n'est pas pornographique.
Chronic'art.com
Lucía y el sexo c'est l'exemple type d'un imaginaire fertile qui a mué en système, chaque image se voit chargée de signifiant, chaque scène s'accompagne d'un arsenal de symboles. Difficile d'adhérer à cet objet confectionné par le prétentieux démiurge qu'est devenu Julio Medem.
Libération
(...) le dernier opus (de Julio Medem), Lucia y el sexo, vire érotisme chic et trauma choc. (...) On se rince l'oeil, c'est tout.
Télérama
(...) tout est laborieusement mis en oeuvre pour fabriquer de la complexité, mais le regard de Julio Medem demeure trivial, superficiel.