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1ppy
12 abonnés
143 critiques
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2,5
Publiée le 18 août 2008
C'est injuste de juger des films des années 80 en 2008: il n'y a qu'aux vins que l'on peut exiger de savoir viellir, et encore!
Presque 25 ans plus tard, il ne reste plus que des paires de seins qui se trémoussent à Saint Trop au milieu d'une histoire de Lolita capricieuse (Vanesa Paradis reprendra très bien ce flambeau 10 ans plus tard) : interdit aux moins de 12 ans mais surtout déconseillé aux moins de 35 ans qui ne sauront pas replacé ce film dans son contexte c'est aà dire leur (notre) jeunesse.
Un de mes films préférés...!!!un peu cliché certes mais une subtile etude des moeurs!et pour ceux qui n'aiment pas,nul ne les force a le regarder!une atmosphère électrisante règne tout au long du film;tous les acteurs sont excellents et moi rien ne pourra me faire oublier le jeu d'une valéry kaprisky des plus talentueuses!
Valérie Kaprisky est toute nue, et elle est jolie...Barbara Nielsen est toute nue, et elle est jolie...à part ça ? Les états d'âme de bourgeois friqués bobos au possible, un bellâtre se refuse à une petite peste qui rumine sa vengeance.... Mais que sont donc allé faire les talentueux Caroline Cellier et Bernard Giraudeau dans cette galère ? Scénario frisant le ridicule , fin grotesque, y a rien à sauver dans ce nanard !!! Au secours !
Film typique des années 80, film de mœurs assez terne. Ça fait penser à un roman de Françoise Sagan : on batifole dans un marivaudage bourgeois friqués dans la contrée de Saint-Tropez. Seule la classe des acteurs soutient l’intérêt. Puis on dérive vers la tragédie, tout aussi anecdotique que les états d’âme des personnages. Ma seule raison de revoir ce film fade, revoir Caroline Cellier récemment disparue. Objectif atteint sans grand plaisir.
Marivaudage estival sensuel et venimeux sur la Côte d'Azur, très marqué années 80, qui vaut beaucoup pour son excellent trio Giraudeaux/Kaprisky/Cellier.
Aussi glauque qu'une méduse. D'emblée, le générique en allemand interprété par Nina Hagen, ça surprend ! L'exposition de seins sur la plage fait très années 1980, ce qui ne se voit plus 40 ans plus tard, on se demande bien pourquoi. Sur le fond, L'Année Des Méduses fait penser aussi à 37.2° Le Matin, ou encore, sorti bien plus tard, à Un Moment D'Égarement. Chantages, menaces, manipulations, provocations, insinuations, rapports malsains, relations déviantes entre générations, un florilège de ce dont les humains sont capables quand ils vivent en société soi-disant civilisée. Les acteurs sont tous bons, ce qui donne envie d'aller au bout malgré le malaise palpable dès le départ. À voir presque comme un documentaire d'une époque qui paraît bien lointaine au spectateur de 2021.
J'ai aimé ce film plutôt léger avec des acteurs plein de charme. Kaprisky, Girodeau, et les autres, pour un scénrio qui se tient. Je le revois toutjours avec plaisir...
Que de souvenirs ! Dans ma très jeune adolescence, lorsque j’ai vu ce film pour la première fois, la seule chose qui m’avais réellement intéréssé c’est de voir des nichons toutes les 5s (même si dans les années 80 on avait droit aux nichons absolument partout !!!). Revu ce soir. C’est curieux, ça ressemble à un nanard et c’est limite malsain parfois mais j’ai passé plutôt un bon moment ... la complexité de Chris et cette histoire loufoque de triangle amoureux ouvert est finalement assez sympa à suivre. A voir.
Le deuxième long-métrage de Christopher Frank, sorti en 1984, se laisse regarder avec un certain plaisir. Est-ce dû au charme sensuel des différentes actrices, au cadre estival de Saint-Tropez, à l’intrigue amoureuse sous forme de manipulation malsaine ? Certainement un peu de tout ça. Ainsi, ce film permet à la sulfureuse Valérie Kaprisky de tenter de séduire Bernard Giraudeau, ce dernier étant plus attiré par la ravissante Caroline Cellier (qui obtient d’ailleurs le César de la meilleure actrice dans un second rôle en 1985). Bref, le scénario reste bien succinct et la réalisation assez fade mais l’ensemble se laisse regarder comme on lit un roman d'été.
Séduction, Chassé-croisé amoureux et perfidie sont les ressorts d’un drame qui vaut par le jeu des acteurs et sa peinture sociale. La réalisation est honnête, le casting adapté, et le scénario bien construit, hormis les quelques séquences en voix off qui auraient gagné à être supprimées. On regrette de ne pas savoir pourquoi les deux héros sont devenus ce qu’ils sont, et, plus grave, la futilité de tout ce qui est montré empêche d’y porter un trop grand intérêt. Les marivaudages cruels des oisifs ne peuvent marquer la mémoire ; beaucoup de bruit pour rien.
L'année des méduses dégage beaucoup de sensualité grâce à ses actrices et il est difficile de rester de marbre face à la merveilleuse nudité de Valérie Kaprisky malheureusement le film semble presque aussi artificiel que la superficialité de ses personnages. L'intrigue est assez mince et la psychologie des différents protagonistes peu poussée de plus ce qui aurait pu donner lieu à un film très tendu manque d'intensité et d'électricité dans l'air. L'année des méduses est filmé assez paresseusement peut-être est-ce du au soleil au encore tous ses seins à l'air qui ont trop distrait le réalisateur ; en tout cas le résultat est que c'est gentiment ennuyeux et se regarde d'un œil. Rien d'inoubliable (à part bien sur Kaprisky et Caroline Cellier) spoiler: même la scène de l'attaque des méduses manque de percutant .
Je lis les critiques et j'ai peur, ceux qui trouvent qu'il y a trop de nudité dans ce film ne doivent pas avoir eu 20 ou 30 ans dans les années 70, car à l'époque, les seins nus sur la plage et pas seulement à Sain Tropez, étaient presque la norme mais peut être préfèrent ils le burkini, pauvre France en pleine régression !