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Le film s'affirme alors comme un digne successeur des films d'Elvis ou du Purple Rain de Prince (...), sauf que le film est nourri de chair, qu'il échappe au statut de squelettique prétexte, et que les personnages existent, et que la success-story demeure modeste, à la taille humaine.
Curtis Hanson a réussi sans le crier sur les toits la première comédie musicale rap, en plus de filmer le premier génie populaire du siècle en construction. Pas mal pour un projet marketing destiné aux kids hystériques de la planète entière.
Vous l'aurez compris, ce n'est pas dans l'originalité du récit qu'il faut trouver les qualités de 8 MILE mais plutôt dans son illustration des racines du hip-hop. Né dans un monde ouvrier, pauvre et démuni, cette poésie des rues, ce combat de rimes est très bien mis en images par un Curtis Hanson (L.A. CONFIDENTIAL) qui s'approche d'un réalisme presque documentaire tout en laissant une belle part à la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Car c'est peu dire qu'Eminem crève l'écran. Personne ne restera insensible. Dès qu'il est à l'image, il y a magnétisme. Sa gueule d'ange buté et encapuchonné, sa démarche chaloupée, son air absorbé suffisent à créer une tension. Ayant pigé que la sobriété était une arme redoutable, il s'impose juste en fixant le monde alentour avec des yeux implacables de mélancolie. Des yeux de voyant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Malgré la présence d'une vedette comme Kim Basinger (qui joue la mère d'Eminem), ce film retrace sobrement, assez honnêtement, sans excès hollywoodien, la jeunesse difficile du chanteur. Cela n'en reste pas moins un édifiant récit d'ascension sociale parmi tant d'autres.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Kim Basinger enfin, avec son impeccable chevelure blonde et sa silhouette sculpturale, ruine le réalisme social de l'ensemble et devient une excellente incarnation de la contradiction interne d'un film qui hésite constamment entre récit honnête et film publicitaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Impossible, aussi, de ne pas trouver un réel charisme à Eminem, aussi poignant en gamin perdu que flamboyant en rappeur inspiré. Impossible aussi, hélas, d'adhérer totalement à un film aussi bien-pensant dans son aspect finalement... socialement correct ! Mais cette noire comédie musicale rap vaut mieux qu'un simple produit pour ados.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Même encadré par un sentiment de déjà vu, 8 mile est un film honnête. Autant que la performance d'Eminem, mention très bien en Rocky Balboa, la rage aux mots plus qu'aux poings.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Coincé entre une vraie fausse bio filmée de la vie du rappeur blanc, et une entreprise générique sur la nature du rap, 8 Mile apparaît comme un film paradoxalement sobre et neutre : sans discours conséquent sur la musique qui l'anime, sans culte de la réussite. Au final, une simple chronique urbaine sur une jeunesse de banlieue.
Les Inrockuptibles
Le film s'affirme alors comme un digne successeur des films d'Elvis ou du Purple Rain de Prince (...), sauf que le film est nourri de chair, qu'il échappe au statut de squelettique prétexte, et que les personnages existent, et que la success-story demeure modeste, à la taille humaine.
Aden
Et on se prend petit à petit à oublier Eminem, pour s'attacher à Jimmy Smith Jr, ce double qu'il interprète (très bien, d'ailleurs).
Cahiers du Cinéma
Curtis Hanson a réussi sans le crier sur les toits la première comédie musicale rap, en plus de filmer le premier génie populaire du siècle en construction. Pas mal pour un projet marketing destiné aux kids hystériques de la planète entière.
Cinopsis.com
Vous l'aurez compris, ce n'est pas dans l'originalité du récit qu'il faut trouver les qualités de 8 MILE mais plutôt dans son illustration des racines du hip-hop. Né dans un monde ouvrier, pauvre et démuni, cette poésie des rues, ce combat de rimes est très bien mis en images par un Curtis Hanson (L.A. CONFIDENTIAL) qui s'approche d'un réalisme presque documentaire tout en laissant une belle part à la fiction.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Signé Curtis Hanson, un film coup de poing (...).
Le Parisien
Une plongée à la fois fascinante et roublarde dans l'univers d'Eminem.
Libération
Curtis Hanson réussit une bio très juste du rappeur Eminem, lui-même saisissant dans le rôle principal.
MCinéma.com
Au bout du compte, 8 MILE est conforme à son histoire : un bon film de blancs sur un bon rappeur blanc.
Première
Littéralement - et c'est logique - habité, Eminem offre une performance intense qui sert de clé de voûte au film.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
8 mile possède l'étoffe d'un pur évènement culturel.
Télérama
Car c'est peu dire qu'Eminem crève l'écran. Personne ne restera insensible. Dès qu'il est à l'image, il y a magnétisme. Sa gueule d'ange buté et encapuchonné, sa démarche chaloupée, son air absorbé suffisent à créer une tension. Ayant pigé que la sobriété était une arme redoutable, il s'impose juste en fixant le monde alentour avec des yeux implacables de mélancolie. Des yeux de voyant.
Chronic'art.com
Parfois un peu trop sage à force de pondération, 8 mile demeure toutefois une belle tentative de "reconstitution".
L'Humanité
Malgré la présence d'une vedette comme Kim Basinger (qui joue la mère d'Eminem), ce film retrace sobrement, assez honnêtement, sans excès hollywoodien, la jeunesse difficile du chanteur. Cela n'en reste pas moins un édifiant récit d'ascension sociale parmi tant d'autres.
Le Monde
Kim Basinger enfin, avec son impeccable chevelure blonde et sa silhouette sculpturale, ruine le réalisme social de l'ensemble et devient une excellente incarnation de la contradiction interne d'un film qui hésite constamment entre récit honnête et film publicitaire.
Les Echos
Impossible, aussi, de ne pas trouver un réel charisme à Eminem, aussi poignant en gamin perdu que flamboyant en rappeur inspiré. Impossible aussi, hélas, d'adhérer totalement à un film aussi bien-pensant dans son aspect finalement... socialement correct ! Mais cette noire comédie musicale rap vaut mieux qu'un simple produit pour ados.
Novaplanet.com
Même encadré par un sentiment de déjà vu, 8 mile est un film honnête. Autant que la performance d'Eminem, mention très bien en Rocky Balboa, la rage aux mots plus qu'aux poings.
Obejctif-Cinema.com
Coincé entre une vraie fausse bio filmée de la vie du rappeur blanc, et une entreprise générique sur la nature du rap, 8 Mile apparaît comme un film paradoxalement sobre et neutre : sans discours conséquent sur la musique qui l'anime, sans culte de la réussite. Au final, une simple chronique urbaine sur une jeunesse de banlieue.