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    Signes
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 527 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juin 2020
    La plupart des personnes qui commentent ce film vont raconter leur déception. Ce n'est pas grave votre opinion sur un film devrait toujours inclure vos émotions avant et après l'avoir vu. Shyamalan nous offre un thriller chaleureux, drôle, chargé d'émotions et plein de suspense. J'ai déjà vu le film plusieurs fois et je ne me suis jamais ennuyé. Shyamalan utilise la technique pour culminer son histoire plutôt que le dialogue. Sa formule magistrale et préférée est l'utilisation de flashbacks. Ce qui donne au public une chance de rattraper ce qu'il aurait pu manquer. Il met l'accent sur ses points en reproduisant des scènes et en les rejouant pour le grand effet. Que vous croyiez le résultat ou non, vous ne pouvez pas nier son aptitude à raconter des histoires. Ce long métrage nerveux et paranoïaque avec une fin palpitante est formidable. Mais quand le film est fini dites vos prières et mettez-vous au lit...
    Anthony V.
    Anthony V.

    13 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mai 2020
    Très bon film sur les extra-terrestres. Le film n'avance pas vite mais pour un vieux film comme celui-là le scénario est super, il y a un certain suspens qui nous garde jusqu'au bout. L'atmosphère est bien transmise en tout cas.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    179 abonnés 2 265 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2020
    Ce qui frappe de prime abord, dans ce film, c'est l'atmosphère qui s'en dégage. En effet, avec un budget assez réduit (effets spéciaux minimalistes, décors limités et nombre d'acteurs restreint), on arrive à entrer dans cette histoire pour le moins surprenante. On est un peu frustré que l'action se limite à la maison et à ses alentours mais c'est l'effet recherché alors on se fait une raison. Les effets sonores (son multicanal) et visuels (mouvements de caméra) sont remarquablement utilisés puisqu'on sursaute à plusieurs moments du film. Les dialogues sont plein d'humour et on ne voit pas le temps passer. Côté distribution, rien à redire et les enfants sont parfaits. Cependant, la fin du film est un peu décevante spoiler: car on aimerait en apprendre davantage sur les extra-terrestres, leurs motivations et leur mode de fonctionnement.
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2020
    Film pas mal mais pas exceptionnel. Malgré un bon casting, le film pâtit d'une réalisation inachevée. Dommage, il y avait mieux à faire.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2020
    Signes a un drôle d'effet sur moi, dans le sens où je n'arrive pas à déceler sa véritable nature. Sommes-nous en présence d'un film idiot écrit et réalisé par un petit espoir prétentieux trop ambitieux pour ce qu'il avait à proposer dans la durée d'une carrière, où s'agit-il d'une satire intelligente et discrète portée sur une Amérique profonde et pudibonde nourrie à la malbouffe et shootée aux émissions de télévision variées?

    Il est dur de trouver la limite entre ces deux extrêmes. L'hypothèse de la satire, si l'on doit séparer le traitement en deux, tient du contexte social, professionnel, environnemental et culturel des personnages : nos deux héros, Gibson prêtre et Phoenix ancien joueur de baseball trop virulent, représentent une Amérique rurale perdue dans ses champs qui vit tellement repliée dans sa carapace qu'elle rejette tout contact extérieur, particulièrement en ville (Gibson avec la pharmacienne, Phoenix avec un ancien collège de baseball).

    La rencontre avec le militaire en dit long : aussi halluciné que le professeur de lettres de The Faculty quand il sera passé du côté des aliens, cet officier si décoré qu'on le croirait issu d'un manuel de propagande de l'armée tient un discours autrement plus hallucinant qu'il profère tous les clichés possibles lorsqu'on se représente l'Amérique fière et victorieuse, étendard des opportunités d'avenir et dernière défense de la veuve et de l'orphelin.

    Son regard perdu, surjoué, très intense puisque ses yeux ne font que s’écarquiller place le spectateur dans une posture étrange, située entre le rire moqueur et l'embarras de son mauvais jeu d'acteur : serait-ce volontaire de la part de Shyamalan, lui qui fut si longtemps si sérieux dans ses deux premiers films à performance (de réalisation, d'écriture et d'acting), qu'il se serve de l'excès, du trop plein pour dénoncer une culture basée sur l'apparence, la manipulation, l'embrigadement?

    Serait-il ainsi possible que les chapeaux en aluminium, pour le fou rire irrépressible qu'ils provoquent, s'érigent à l'écran en guise de dénonciation d'une Amérique qui croit tout ce qu'elle entend, voit (du moins croit voir), au point de faire référence à La Guerre des mondes, oeuvre à l'origine d'une manipulation générale connue de tout un chacun? Serait-il même possible que le statut de ce prêtre dégoûté de Dieu en veuille directement au manque de communication de cette Amérique du peuple pour laquelle il faut soigner les apparences, et ne surtout pas parler de ce qui ne va pas avec ses proches?

    Ce rêve d'une famille modèle échoue cependant dès les cinq premières minutes de leur introduction : présentés comme des attardés, des hommes seuls à l'attitude peu constructive, les deux protagonistes semblent même guidés dans la vie par le comportement responsable (mais perché) de leurs enfants : découverte des signes par le fils, qui découvrira ensuite le langage alien à l'aide d'un baby-phone (c'est une astuce), théories au sujet des aliens proposées, une nouvelle fois, par le fils, et initiation à la télévision, dont le traitement ridicule dans l'intrigue prête plus à rire qu'à réfléchir.

    C'est donc dans la forme que Shyamalan pêche; pas niveau esthétique, c'est globalement irréprochable : ses plans, tous très bien choisis, témoignent de la personnalité unique de ses cadrages, très proches des acteurs en laissant une place importante aux décors ainsi qu'à leur signification symbolique. La photographie y ajoute une âme des années 90, donnant à l'oeuvre cette personnalité un peu vieillotte pleine de charme et de sympathie.

    Non, le problème vient de la représentation de ses idées par son écriture bordélique : là où la satire semblait totale, la propension de Shyamalan à toujours trop en dire pour mettre en avant ses qualités réflexives et philosophiques placent l'oeuvre dans une branlette intellectuelle stérile (comme les termes l'indiquent, c'est souvent la finalité de la démarche) dont ne ressort en conclusion qu'une vision étriquée et ridicule des conséquences du deuil et de la recherche d'un but perpétuelle à la vie de l'homme, que "l'auteur" résume bêtement en deux catégories de gens (c'est si simpliste qu'on croirait la citation parodique), non pas ceux qui creusent et vous savez qui, mais bien ceux qui croient au miracle et les autres aux coïncidences.

    L'on aurait pu le considérer comme entièrement parodique et fin s'il n'avait pas tenté d'ajouter à sa prétendue critique sociale et culturelle un versant insupportable de réflexion métaphysique mal menée, à peine organisée, qui ne fait qu'effleurer à la surface de la surface la large et passionnante thématique d'un religieux qui rencontre une présence de vie extérieure à la Terre : le simple fait de l'avoir placé en phase de doute plutôt qu'au sommet de sa foi fait office de façon de simplifier le chemin narratif et réflexif d'un film qui n'avait finalement rien d'autre à proposer à son spectateur qu'un traitement comique du mythe de l'alien, saupoudré d'une introduction majestueuse, presque christique, de l'égocentrique Shyamalan, obligé de jouer dans son film et d'y trouver un rôle principal (qu'il tentera de justifier comme il le peut).

    Croire que Signes s'interroge sur l'humanité, la religion, la présence d'une vie au delà de notre planète, c'est jouer le jeu de Shyamalan, entrer dans ses pistes brouillées, qui enjolivent souvent le fond de ses films par des propositions de thématiques profondes mais jamais approfondies : le véritable sujet de son long-métrage concerne en fait la famille, la place d'un père dont la femme, décédée, a été remplacée à la maison par un frère un peu marginal, asocial (rien de bien illogique à cela, il est interprété par Joaquin Phoenix) mais gentil dans le fond.

    Il s'agit d'une quête de rédemption basée sur une invasion alien à petite échelle censée propulser la destinée des personnages vers la meilleure fin possible, quitte à bâcler le dernier acte en dévoilant un alien mal filmé, aux CGI minables, à l'éclairage minimal pour cacher la mauvaise finition des textures, le tout afin de renvoyer à ce que disait Phoenix un peu avant : il est impossible que le personnage de Gibson ne croit en rien, qu'il ne redevienne pas religieux. Cette rencontre ne pouvant être qu'un signe, Shyamalan enferme son personnage principal, que Gibson interprète en deux phases, soit inintéressé soit en surjeu complet, dans le stéréotype attendu du religieux fier de son parcours, et qui a enfin trouvé la rédemption tant recherchée.

    La bêtise finale du raisonnement du réalisateur inscrit, après mure réflexion, son film dans les deux cases : Signes est à la fois une critique acerbe et cynique d'une Amérique profonde perdue et marginale, dans laquelle clichés et jugements règnent, ainsi qu'un bon gros nanar hilarant à la stupidité qui tâche (les deux frères, devenus pères par la force des choses, gâchent des repas puis se forcent à se serrer dans les bras, larmes à l'oeil, oublient l'inhalateur pour l'asthme du gosse, préfèrent se crêper le chignon que s'occuper de leurs deux enfants), au jeu d'acteur parfois excessif et au ton beaucoup trop sérieux pour ne pas se dire, au bout d'un moment, que Shyamalan pensait une nouvelle fois réinventer la soupe après les succès consécutifs de Sixième Sens et Incassable.

    Il est dommage que son talent n'ait finalement tenu que sur deux ou trois films, et pas de la façon escomptée, sur sa carrière entière.
    Jérémy J.
    Jérémy J.

    14 abonnés 724 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    Ca m'a bien embêté de ne pas aimer ce film moi qui adore ce réalisateur. Heureusement que les acteurs, très bon par railleurs, rattrape le film. Le film est lent, très lent, il se passe très peu de chose et quand il se passe des choses il n y a rien d'angoissant ni même d'intéressant. Le film nous montre pendant une heure des gens qui courent, qui s'enferment et qui craquent... Rien de plus, rien de moins. Et ensuite le film est résolu en 10 minutes et de manière très particulière. Les visions du mari envers sa femme qui lui parle sont très bizarres. Franchement je ne suis pas rentré une seule seconde dans ce film. Bref, tournez vous plutôt vers sixième sens ou incassable.
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    19 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    Tous ceux qui suivent la carrière de M. Night Shyamalan le savent : sa carrière a connu un revirement de situation envers le grand public et la critique après les succès du « Sixième sens » et d’ « Incassable ». Beaucoup s’accordent ainsi à établir « Signes » comme film déterminant dans ce début de la fin pour le réalisateur avant que « The visit » et « Split » le ramènent sur le premier plan. Mais pourquoi ce film en particulier ?
    Graham Hess est un ancien pasteur qui a perdu la foi à la suite du décès de sa femme. Mais tandis qu’il s’occupe de sa ferme en compagnie de ses enfants et son frère, il découvre dans son champ des agroglyphes. Serait-ce le signe d’une présence extraterrestre ?
    Avec « Signes », Shyamalan a voulu reprendre à son compte les crop circles que l’on trouve dans les champs pour s’attaquer à une famille américaine en plein deuil. Une mélancolie ambiante pèse tout au long du récit car c’est la perte qui amène l’avancée des personnages. Les enfants ont perdu une mère, le héros sa femme ainsi que sa foi tandis que son frère subsiste dans une gloire sportive passée. Cette nostalgie et ce besoin d’avancer étaient déjà primordiaux dans « Le sixième sens », obligeant Malcolm Crowe à accepter sa propre mort afin que sa femme puisse tourner la page. On ressent également cette confrontation d’une imagerie fantastique face à une réalité plus désenchantée, comme dans « Incassable ». Difficile donc de ne pas déceler en « Signes » des thématiques qui nourrissent la filmographie de Shyamalan, dans ce qui rend ses films doucement tragiques.
    Néanmoins, on oublie souvent qu’une noirceur sourde plane également dans ses œuvres, donnant un sens désespéré aux actes de ses héros. Cela se ressent dans les retournements de situation du « Sixième sens » (avoir suivi un personnage mort depuis le début), « Incassable » (Elijah responsable d’atrocités pour trouver un super-héros, le condamnant à être un méchant), « Le Village » (voir critique) ou même « Phénomènes » (rien n’expliquera véritablement la cause de ces suicides). On pourrait même faire un rapprochement plus forcé entre ce dernier film (encore moins aimé) et « Signes », de par leur climat de paranoïa ambiante ne pouvant totalement se justifier. Car si beaucoup se sont moqués de la faiblesse des extraterrestres à l’eau, combien se sont demandé si leurs attentions étaient réellement hostiles ?
    Ceux qui ont vu le « Chroma » sur le film le savent sans doute mais une théorie renverse la critique d’un prosélytisme religieux pour mieux retourner une Amérique face à ses faiblesses. Nous sommes en 2002, Bush part dans une guerre revancharde suite aux chutes des World Trade Center et tout le monde a définitivement peur d’attaques terroristes devenues plus communes mais surtout plus médiatisées. Le film profitera d’ailleurs de la prolifération plus aisée d’images vidéo amateures pour tirer une scène efficace révélant le look des extraterrestres (critiqué d’ailleurs pour son aspect commun, choix pourtant délibéré de Shyamalan voulant reprendre les témoignages de personnes ayant vu certains « visiteurs »). Si la foi religieuse est bien restaurée, c’est au détriment d’immigrés victimes de leurs apparences et auquel on ne réagit que par la violence, violence exacerbée par des médias belliqueux jouant de la peur des gens pour l’inconnu pour maintenir leur attention.
    Beaucoup plus subtil qu’il n’y paraît, « Signes » profite de la revalorisation de M. Night Shyamalan pour connaître une nouvelle vie. Traitement justifié au vu de la réflexion religieuse bien plus élaborée qu’il n’y paraît tout en faisant du cinéma de son réalisateur un reflet de ses terreurs internes post-11 septembre.
    Maverick74
    Maverick74

    2 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 septembre 2019
    Il m'a fallu plusiseurs visionnages de ce film de Shyamalan pour le passer de "top" à génial" !! Malgré sa lenteur, le réalisateur arrive a nous faire peur sans (quasiment) jamais nous montrer un E.T. Ce huit clos d'une famille endeuillée par la mort récente de la mère, dans une ville moyenne des Etats-unis, nous amène à nous questionner et à faire face à nos peurs du mystère, de l'inconnu qui vient chez nous et de la surprise. On y voit une famille ordinaire dans une ville ordinaire des USA, qui a récement tragiquement perdue la mère de cette meme famille. Mel Gibson, le père, qui etait pasteur à décidé de mettre un terme a son activité religieuse suite au décès de sa femme pour cultiver ses champs. Un matin, il se reveil et retrouve son champ affublé de Crop circle. S'en suit des apparitions d'E.T, les protagonistes commencent à avoir peur de ces envahisseurs,] spoiler: et jusqu'à la scène finale, le réalisateur s'applique à simplement suggérer que ces E.T sont venus pour tuer les terriens et prendre possesion de la Terre. Hors, c'est là le constat que tout le monde fait (moi compris), ILS sont venus pour nous envahir. Mais alors pourquoi des etres, qui semble-t-il soit doué d'intelligence et de technologie et qui craignent l'eau, viennent envahir un planete pleine d'eau ?? Dans la scène de fin, on voit l'E.T tenir le fils de Mel Gibson en pleine crise d'asthme, et lui "souffler" un gaz vert dans le nez. Aussitot, l'E.T se fait frapper à coups de batte par Joaquin Phoenix, pour defendre le petit, et c'est à ce moment là que ce joue le dénouement de de l'intrigue..... L'E.T ne se defend pas et ce fait eclater par Phoenix. Et bien en fait, ILS ne sont pas venu nous envahir, mais nous aider à résoudre les problèmes de notre planète. Le gaz du martien n'etait en fait pas nocif, mais bien bon pour arreter la crise d'asthme du petit. Bref, on est tout au long plongé dans le film en croyant avoir à faire à des exterminateurs, qui sont en fait des bienfaiteurs. Et voilà le genie de Shyamalan !!! Nous laisser croire des choses et au final en démontrer tout l'inverse
    Ce film est pour moi aussi bon que "Sixème sens", sauf que la fin plus subtile et plus difficile à comprendre.
    Rebiahi Kev
    Rebiahi Kev

    5 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 septembre 2019
    Et là on rentre dans le sujet de pacific rime à indépendance days, les crops circles sont fait pas les paysans car ils ont plus de bétail; tu prends un cours de géométrie et s'est fait...essayé pour voir, s'est efficace un compas et à 360 °
    Si ils existeraient, ils seraient venu depuis longtemps, il y a pas de preuve et de photos qui le prouve...
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 avril 2019
    Crise de foi. Un ancien pasteur vit un peu loin de tout avec ses mômes et son frangin. Une nuit, les champs voisins sont le théâtre d’étranges phénomènes. Le maïs est plié par endroits et ça crée des formes chelou. Bientôt, on apprend qu’une invasion extraterrestre va probablement se produire. Alors que faut-il croire ? Comment serait-ce possible ? Qu’est ce qui est réel et qu’est ce qui appartient au fantasme ? Et Dieu dans tout ça, bordel ? Dans un film fantastique piégé, Shyamalan nous repose les questions qui le tracassent depuis le début. Mais jusqu’à présent, il finissait toujours par nous dire que ce qu’on avait cru était faux. Ici c’est parfaitement l’inverse. Il est amusant de voir à l’heure des fake news que les personnages acceptent une réalité à partir du moment où elle apparaît à la télé. Et face à ce danger, ceux qui sont seuls et ceux qui croient avoir Dieu comme compagnon. Mystique assurément. Bigot ? Du tout ! Shyamalan refuse de hiérarchiser les croyances et compare la pratique religieuse à la croyance si profane en l’existence d’êtres d’autres planètes. Au delà de la déception des fans à la sortie, ce film vaut bien plus aujourd’hui qu’on ne l’aurait pensé alors … à redécouvrir donc.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 décembre 2018
    bon film de shyamalan. un peu lourd au premier visionnage mais toutefois très intéressant avec une b.o du tonnerre et des acteurs très bon. loin d´être mon shyamalan préférée mais un bon film toutefois avec une réa très propre. 3,5/5
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2018
    M. Night Shyalaman ne réussira pas la passe de trois à la suite. Intriguant, le synopsis de « Signes » promet du lourd ce que confirme le début du film et son atmosphère mais on déchante assez vite car au final, tout cela n’est qu’une fumisterie.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    3,5 étoiles - Signes

    Cinématographiquement, c'est top : la mise en scène et les cadrages sont remarquables ; le tout sait magistralement insinuer l'inquiétude. Bravo ! De plus, les acteurs sont très bons. Le scénario est bien pensé. Mais il aurait pu être meilleur : il est trop spiritualiste et les extraterrestres trop ... convenus ; et que dire de la fin (avec cette musique envahissante) ... trop Mel Gibson. Cela dit, c'est un très bon film.
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    17 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    Un film de SF réussi qui fait le choix de suggérer la présence extra-terrestres plutôt que de la dévoiler dès les premiers instants. De ce fait, l’ambiance est pesante, M. Night Shyamalan parvient à faire monter progressivement l’angoisse à travers les réactions de cette famille américaine. Coté casting, on retiendra surtout Mel Gibson, très convaincant en père paranoïaque cherchant à protéger les siens.

    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    Stormtrooper62
    Stormtrooper62

    43 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2018
    Ce n'est pas le meilleur film de Shyamalan,mais il n'est pas mauvais.D'abord ce n'est pas long,environ 1h45,c'est raisonnable.Et puis Mel Gibson est bon,il joue bien,le reste du casting est pas mal non plus,Joaquin Phoenix fait le job sans être transcendant.
    Le scénario a déjà été vu des dizaines de fois,une invasion extraterrestre,donc il y avait intérêt à avoir un rebondissement qui sorte de l'ordinaire.Le rebondissement attendu n'était pas grandiose comparé à celui de " Sixième sens" par exemple,mais il est bien trouvé et assez original.
    Cela dit dans le déroulé des événements,pas de grandes surprises si ce n'est le point faible des extraterrestres qui m'a laissé perplexe sur leur supposée intelligence . "Pourquoi être venu sur Terre si vous avez un point faible pareil ?".
    Hormis quelques hics j'ai passé un bon moment,et au fait la BO est vraiment pas mal.
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