Derniers Avis : No Pain No Gain - Page 5

No Pain No Gain est un film qui est bien et qui est tiré d'une histoire vraie qui est tenu par 3 acteurs qui sont bien , le scénario est en adéquation parfaite avec l'histoire vraie , c'est un film qui se regarde et qui est bien

Très bon film sans prise de tête et avec un The Rock très en forme ! On ne s'ennuie pas en le regardant.

Voila une bonne surprise. Je m'attendais à quelque chose qui bastonne et qui détend mais c'est bien plus, c'est très drôle, bourré de critique sur la société américaine et d'humour noir. On dirait du Tarentino

Film sympa, du gros bras sans cervelle, the ROCK toujours en place pour un rôle de bourrin attardé qui lui colle à la peau. J'ai passé un bon moment.

"Pain and Gain" (n'allez pas chercher à savoir pourquoi on a modifié le titre) est une réelle surprise. Déjà parce qu'il s'agit d'un film de Michael Bay, et que quand on a un trio Wahlberg-The Rock-Mackie, on ne s'attend pas vraiment à une "comédie" touchante.
L'histoire de ces trois hommes un peu stupides et fondus de musculation, qui décident de tenter d'escroquer un riche qui vient de débarquer dans leur salle de gym, est tout bonnement hallucinante, à tel point que l'on se sent obliger de vous rappeler que vous "regardez toujours une histoire vraie". Parce que cela aurait pu se passer de facon classique, les trois grands gaillards décident de le torturer pour qu'il accepte de signer un papier de cession d'une partie de sa fortune, mais celui-ci ne se laisse pas faire.
Cela donne lieu à certaines scènes très drôles, où ces bodybuilders au grand coeur sont obligés de se réconforter pour continuer à se persuader qu'ils ne sont pas des criminels. La réalisation est particulièrement maîtrisée et le duo Marky Mark-Johnson fonctionne très bien. On ne s'attend vraiment pas à un tel résultat de la part du réalisateur de la saga "Transformers" ou "Bad Boys" mais comme quoi il n'y a pas qu'un grand bourrin chez Michael Bay et qu'il peut nous fournir un film touchant et efficace qui rend honneur à cette histoire.

Film extrêmement particulier, on est partagé entre le rire et la consternation. Cette histoire est vraiment folle, et on est obligé de se demander si tout ça est vrai, mais visiblement oui, c'est ça le pire. Michael Bay, le roi du blockbuster, nous sert là, une comédie noire dramatique assez divertissante, portée par un duo inattendue à un tel niveau Wahlberg et Johnson. Jusqu'où la bêtise humaine et l'attrait de l'argent peut faire aller les gens. Pour tout ça, regardez le, c'est vraiment perturbant. En revanche, niveau mise en scène et réalisation, on retrouve trop la patte blockbuster avec de la musique à fond, des plans bling bling qui sont un peu à regretter, même si le film doit nous montrer le rêve américain.

Une histoire vraie caustique sur le rêve américain dans les 90s arrosé à l'humour noir et à l'absurde. De la part de Michael Bay, c'est pas mal.

Si il vous fallait la preuve que Michael Bay est un super réalisateur, la voilà! Mélangez Boogie Nights et The Wolf of Wall Street, le tout a la sauce Michael Bay et vous obtenez Pain and Gain. Je ne pense même pas le surestimer. On peut ne pas aimer évidemment mais pour moi c'est clairement un chef d'oeuvre le film est ultra réfléchit et intelligent, les acteurs sont au top, le scénario très dense ne se perd jamais d'autant que c'est une histoire vrai et j'en passe. Parfait? Non. Génial? Fou? Puissant? Brillant? Oui clairement. Un véritable poing en pleine figure. Un chef d'oeuvre.

Produit improbable et trash, avec un Michael Bay en grande forme pour exalter la connerie moderne pur jus.

Comédie de Michael Bay qui réalise ici une mise en scène dynamique. Par contre, le scénario débridé a par moments, tendance à s'égarer quelque peu. Cette histoire loufoque comporte beaucoup d'action, de l'humour (souvent au premier degré) et des dialogues à double connotation assez réussis. La plus belle réussite de cette comédie est sa très belle affiche, avec Mark Wahlberg qui se révèle comme toujours hyper efficace. Il est bien secondé par le costaud de service Dwayne Johnson. A souligner également les bonnes performances de Tony Shalhoub dans le rôle délicat du malheureux Victor Kershaw, et d'Ed Harris que l'on voit malheureusement trop peu.

Dans le genre film qui tourne au cauchemar, il n'y à pas mieux, un peu de mal à rentrer dans le scénario dans les 30 premières minutes,puis on s'habitue peu à peu à leur décadence morbide et irréversible qui vas les mener à l'ultime fin !
Tiré d'un fait réel des années 90 , il est plutôt pas mal ...

Le film nous parle d un groupe de bodybuilder qui décide du jour au lendemain de kidnapper des riches et leur prendre leur richesse quitte à user de violence ou de meurtre. Glauque comme histoire me direz vous, et bien pas pour Michael Bay qui décide d en faire une comédie ! La famille des victimes appréciera...
Et oui, j ai bien dit Michael Bay à la baguette ! Celui ci abandonne ses jouets Transformers pour faire un film qui n est pas un blockbuster. Cependant, il garde son sens du rythme effréné qui nous fatigue énormément et qui ne nous fait pas passer un bon moment.
Le film est donc mauvais, on en ressort sur les nerfs et parfois choqué de parodier cette triste histoire.

Bien que tiré d’un fait divers, le film n’est pas trop réaliste, ce qui aide à supporter certaines scènes ; il raconte les tribulations de 3 « pieds nickelés » (dont le chef est Mark Wahlberg) qui décident de séquestrer un riche (joué par l’acteur de la série « Monk ») et de lui extorquer ses biens. Cela dure 130 mn et le rythme ne faiblit pas avec des moments très drôles..

No Pain, no Gain a été une vraie surprise pour moi. Je m'attendais à une grosse daube signée Michael Bay, l'ambassadeur de la beaufitude au cinéma. Et, dans ce film, on a l'impression que Michael Bay se moque justement de personnages idiots ayant trop visionné ce genre de film.
Une des forces du film est le casting, reprenant justement des acteurs ayant souvent joué dans des blockbusters idiots américain, mais non moins talentueux pour jouer des rôles d'attardés. Le personnage principal est incarné par Mark Wahlberg, acteur franchement bon (comme il le prouve à nouveau dans ce film), mais souvent associé à de mauvais films d'action. Anthony Mackie se débrouille pas mal du tout non plus. Mais la vraie révélation du film, c'est Dwayne Johnson, dans un personnage encore plus débile qu'il n'est musclé (c'est dire !). L'ancien catcheur excelle dans ce rôle, et prouve qu'il peut être un très bon acteur de comédie. Les autres rôles sont interprétés par de très bons acteurs (notamment Ed Harris et Tony Shalhoub).
Ce film se paye avec brio la tête de ces trois imbéciles complets. Et c'est tellement jouissif de ce moquer d'abrutis.
On peut tout de même reprocher à ce film d'être un peu trop long, même si cette longueur s'explique par des péripéties de plus en plus folles et absurdes des trois personnages principaux.
Une vraie surprise que Michael Bay se moque, via ce film, de la beaufitude. En tout cas, c'est réussi.

Ah, Michael Bay... J'ai beau avoir renoncé à retrouver un jour un spectacle digne de « Rock » de la part du bonhomme, le sujet de ce « No Pain, No Gain » me laissait espérer un divertissement potable, et c'est plus ou moins ce à quoi j'ai eu droit. Car franchement, ce film, il a quand même des qualités : il est dynamique, plutôt bien monté et offre quand même quelques vrais bons moments, se faisant un minimum critique du rêve américain lorsque ce dernier est fantasmé par des crétins le poussant jusque dans des extrémités aussi sordides. Alors c'est sûr : cela manque parfois sensiblement de subtilité dans le discours et les dialogues, sans parler d'un travail sur l'image parfois excessif et même assez inutile. De plus, même si Bay a sans doute voulu rester fidèle aux individus dont l'œuvre est inspirée, sans doute aurait-il fallu faire un effort pour rendre ces « héros » un tant soit peu sympathiques, ou du moins intéressants, car de ce côté-là, on est plus que limite... Très imparfait donc, inutilement long, mais pour une fois que le réalisateur s'éloigne de ces horribles « Transformers » pour nous offrir un spectacle potable et un minimum critique de la société américaine, après tout : pourquoi pas.