Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaroscope
par Emanuèle Frois
Delbaran, oeuvre poétique et politique, montre que l'amour n'a pas de frontière.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Son art enregistre ainsi une pulsation secrète du monde sans perdre de vue sa simple puissance documentaire. Delbaran, le lieu du film, devient, par la grâce de la mise en scène, une entité autonome, vivante, organique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
Delbaran est sans doute son film le plus émouvant. Par l'assurance du trait, Jalili donne enfin confiance à son style, accordant à son ressentiment une place moins importante qu'à l'invention proprement dite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Le film de Jalili est une leçon de montage, mais le cinéaste ne s'arrête pas à ce simple dispositif esthétique, pour éblouissant qu'il soit. Du rythme répétitif de la mise en scène naît tout un arc-en-ciel de sentiments allant de l'émotion dépouillée (Kaïm racontant son histoire au médecin qui l'ausculte) au gag pur.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
(...) on mesure parfois les conséquences d'une situation dramatique de façon inattendue. (...) Pour le cinéaste, la description impressionniste de ce lieudit, Delbaran, entre les montagnes sauvages et la civilisation, aboutit à un symbolisme dont la portée politique est étroitement mêlée à une aventure humaine.
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Delbaran ne ressemble à rien d'autre, puisant presque à contrecoeur l'émotion dans sa rugosité, ses saccades, dans les rares interstices de sa dynamique effrénée.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Un peu comme le Aniki de Kitano -film excellent en soi mais revu à la baisse au regard de l'ensemble des films du cinéaste dont il se contente de suivre sagement le mouvement-, Delbaran n'apporte aucun éclairage nouveau au cinéma de Jalili, pourtant toujours aussi beau.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Maureen Loiret
Delbaran est un film d'une grande densité, un film plein de silence, de courage et d'amour, de drôlerie là où on s'y attend le moins. A ceux qui pourraient encore en douter, il dit l'étonnante réserve d'humanité qui habite en chaque homme et qui jaillit aux moments les plus cruciaux de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Echos
par Annie Coppermann
Un beau film, en tout cas.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Delbaran n'est pas le film austère et formaliste qu'on pourrait pressentir. Il a même un air de famille avec certaines comédies décalées de Tati ou de Iosseliani (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Admirablement construit dans les détails, de plus en plus poignant, DELBARAN met juste un peu trop de temps à s'installer pour que le spectateur se sente d'emblée à l'aise avec son univers. Mais il ne faut pas oublier que ce film a les inconvénients de la clandestinité.
TéléCinéObs
par Grégoire Leménager
Un microcosme dépeint avec une admirable justesse de ton et d'image. Parfois cocasse, toujours nuancé, le réalisme pudique qui fait la saveur du cinéma iranien trouve ici une de ses plus belles expressions.
Télérama
par Jean-Claude Loison
Abolfazl Jalili filme l'errance d'un enfant afghan réfugié en Iran. Avec une liberté saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par N. T. B.
Le film a été tourné avant les "événements" mais l'histoire donne une triste actualité au drame. L'interprétation est toujours juste, nimbant d'émotion ou d'humour un récit parfois énigmatique.
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Jalili plombe sa fiction d'un message explicite et lourdement amené, qui n'a d'autre effet que d'éloigner promptement le spectateur de son "sujet". Delbaran déçoit donc, mais, en ces temps de guerre, il n'en reste pas moins un film à voir, pour aborder le conflit américano-afghan sous un angle rare et précieux.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Première
par Christophe Narbonne
Le problème des films iraniens, c'est qu'il se ressemble tous (...). L'intérêt de celui-ci réside dans son évocation de l'exode afghan en Iran, triste réalité qui déborde le cadre de la simple fiction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
Delbaran, oeuvre poétique et politique, montre que l'amour n'a pas de frontière.
Le Monde
Son art enregistre ainsi une pulsation secrète du monde sans perdre de vue sa simple puissance documentaire. Delbaran, le lieu du film, devient, par la grâce de la mise en scène, une entité autonome, vivante, organique.
Libération
Delbaran est sans doute son film le plus émouvant. Par l'assurance du trait, Jalili donne enfin confiance à son style, accordant à son ressentiment une place moins importante qu'à l'invention proprement dite.
Urbuz
Le film de Jalili est une leçon de montage, mais le cinéaste ne s'arrête pas à ce simple dispositif esthétique, pour éblouissant qu'il soit. Du rythme répétitif de la mise en scène naît tout un arc-en-ciel de sentiments allant de l'émotion dépouillée (Kaïm racontant son histoire au médecin qui l'ausculte) au gag pur.
Aden
(...) on mesure parfois les conséquences d'une situation dramatique de façon inattendue. (...) Pour le cinéaste, la description impressionniste de ce lieudit, Delbaran, entre les montagnes sauvages et la civilisation, aboutit à un symbolisme dont la portée politique est étroitement mêlée à une aventure humaine.
Cahiers du Cinéma
Delbaran ne ressemble à rien d'autre, puisant presque à contrecoeur l'émotion dans sa rugosité, ses saccades, dans les rares interstices de sa dynamique effrénée.
Chronic'art.com
Un peu comme le Aniki de Kitano -film excellent en soi mais revu à la baisse au regard de l'ensemble des films du cinéaste dont il se contente de suivre sagement le mouvement-, Delbaran n'apporte aucun éclairage nouveau au cinéma de Jalili, pourtant toujours aussi beau.
Cine Libre
Delbaran est un film d'une grande densité, un film plein de silence, de courage et d'amour, de drôlerie là où on s'y attend le moins. A ceux qui pourraient encore en douter, il dit l'étonnante réserve d'humanité qui habite en chaque homme et qui jaillit aux moments les plus cruciaux de la vie.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
Un beau film, en tout cas.
Les Inrockuptibles
Delbaran n'est pas le film austère et formaliste qu'on pourrait pressentir. Il a même un air de famille avec certaines comédies décalées de Tati ou de Iosseliani (...).
MCinéma.com
Admirablement construit dans les détails, de plus en plus poignant, DELBARAN met juste un peu trop de temps à s'installer pour que le spectateur se sente d'emblée à l'aise avec son univers. Mais il ne faut pas oublier que ce film a les inconvénients de la clandestinité.
TéléCinéObs
Un microcosme dépeint avec une admirable justesse de ton et d'image. Parfois cocasse, toujours nuancé, le réalisme pudique qui fait la saveur du cinéma iranien trouve ici une de ses plus belles expressions.
Télérama
Abolfazl Jalili filme l'errance d'un enfant afghan réfugié en Iran. Avec une liberté saisissante.
Zurban
Le film a été tourné avant les "événements" mais l'histoire donne une triste actualité au drame. L'interprétation est toujours juste, nimbant d'émotion ou d'humour un récit parfois énigmatique.
Fluctuat.net
Jalili plombe sa fiction d'un message explicite et lourdement amené, qui n'a d'autre effet que d'éloigner promptement le spectateur de son "sujet". Delbaran déçoit donc, mais, en ces temps de guerre, il n'en reste pas moins un film à voir, pour aborder le conflit américano-afghan sous un angle rare et précieux.
Première
Le problème des films iraniens, c'est qu'il se ressemble tous (...). L'intérêt de celui-ci réside dans son évocation de l'exode afghan en Iran, triste réalité qui déborde le cadre de la simple fiction.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com