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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 mars 2010
Un chef d'oeuvre !! J'aime beaucoup les grands films de Jean-Jacques Annaud, et celui-là est un de ses meilleurs !! Une superbe photographie, beaucoup d'esthétisme (des plans d'une très grande classe et vraiment très beaux), un film à voir, et surtout à revoir !!!
J'ai vu ce film lorsque j'étais encore petite et les images du début sont restées graver dans ma mémoire, une belle réussite cinématographique. L'histoire est attachante ainsi que les personnages même si on aime pas les ours, on ne peux que s'attacher à celui-là.
Un très beau film qui ressemble beaucoup à un documentaire animalier, qui nous parle des animaux, de la nature de la chasse du point de vue des animaux et des humains avec des animaux au top, des scènes d'action supers, des paysages magnifiques, beaucoup de rire et d'émotions une musique sublime de Philippe Sarde, reprise de "June : Barcarolle" de Tchaikovsky et qui survient toujours aux moments les plus beaux. Quelques longueurs, des effets spéciaux horribles (lors des cauchemars de l'ourson par exemple), des animaux un peu trop humains et une histoire un peu trop légère sont les seuls défauts de ce film qui sont à l'origine d'une étoile en moins.
Une énorme réalisation ! C'est un boulot monstre auquel Annaud s'est attaqué. Le résultat est merveilleux ; un film unique pas sa beauté et son originalité qui nous berce doucement au milieu des montagnes. C'est une magnifique fable sauvage bouillonnante, pleine d'émotions.
Voilà un film pas banal ! Quelle prouesse du réalisateur de réussir à transmettre autant d'émotions juste avec des animaux. Un film quasi muet, des acteurs relégués à des rôles secondaires et pourtant la magie est là ! Bravo aux dresseurs. Ce film est un chef d'oeuvre et surtout une leçon de vie. Magique !
Un film magique, avec des paysages splendides, l'histoire peu banale d'un ourson orphelin, qui tente de survivre dans un milieu hostile. Seul Jean-Jacques Annaud était capable de réaliser un film aussi touchant sur les animaux, avec assez peu de dialogues, sans sombrer dans la niaiserie et dans la facilité qui caractérise en général ce genre de cinéma.
Les aventures d'un petit ourson, d'un ours et de chasseurs à la poursuite de l'ours. Un très beau film avec une morale, de superbes images et quelques délires dans les rêves de l'ourson qui offrent un brin d'humour au tout.
Un film et non un documentaire où les rôles principaux sont tenus par des ours et qui laisse la part belle aux images et le silence parle de lui-même. Les émotions sont présentes dans les yeux des animaux même si l'on peut regretter la mise en scène "naturaliste" des différentes actions.
Des chasseurs d’ours, pour leurs peaux, poursuivent sans relâche une proie. Au même moment, un jeune ourson se retrouve orphelin et tente de se faire adopter par ce même gros ours mâle. Jean Jacques Annaud en filmant ces deux ours nous offre un superbe conte animalier ; et il aura d’autres beaux films animaliers à son actif dans sa filmographie. On est en 1988, le numérique n’a pas encore cannibalisé le 7ème art. Tous les plans sont magnifiques et relèvent aussi bien souvent de la prouesse technique lorsqu’il fait cohabiter dans la même scène deux animaux antagonistes ou l’ours et l’homme. Sobre en dialogues, c’est un film qui se regarde. En mode documentaire, Annaud nous raconte une histoire à travers un montage astucieux et en fait une véritable fiction. On se prend d’affection pour ces deux plantigrades bien plus que pour le trio d’humains qui les pourchassent. Dans cette histoire de vengeance, on choisit bien vite son camp. Annaud nous présente des ours partageant de nombreux comportements communs avec notre espèce, ce qui les rend touchants et accessibles. Par contre, sans tomber dans du Disney non plus, le penchant anthropomorphiste du film peut quelquefois être excessif et dérangeant. A voir absolument en famille ; 9 millions de spectateurs avaient été le voir à sa sortie. tout-un-cinema.blogspot.com
Adaptation du roman Le Grizzly de l'écrivain américain James Oliver Curwood, L'Ours est un très beau film réalisé par Jean-Jacques Annaud. L'histoire nous fait suivre le destin d'un ourson orphelin qui va se trouver un compagnon de route avec lequel il va tenter d'échapper à des chasseurs. Ce récit est captivant pendant la petite heure et demie que dure le long-métrage. On suit avec bonheur mais aussi avec craintes le parcours de cette mignonne boule de poile, si fragile et adorable. L'ourson découvre, reproduit, c'est une ode à la liberté de le voir évoluer et de le voir goûter aux joies et aux peines d'être vivant dans un terrain de jeu immense. Car oui, sous son aspect dramatique, l’œuvre est en réalité positive dans son scénario et son message forcément en faveur de la protection des animaux. Tout ceci est raconté à travers une narration quasiment intégralement visuelle, les dialogues étant très peu nombreux dans un souci de naturalisme, ce qui en fait un film particulièrement contemplatif. D'autant plus que le cadre ou se déroule cette aventure est tout simplement grandiose. Les superbes environnements naturels variés entre la verdure et les montagnes impressionnantes offrent des panoramas magnifiques. Les plans sont d'une grande beauté et magnifiées par la réalisation impeccable de Jean-Jacques Annaud faites de mouvements de caméras soignées et précis. Les images sont sublimes et mettent parfaitement en avant la faune et la flore. De plus, le même soin est apporté à l'ambiance sonore unique tout aussi importante que l'esthétique. Cette dernière laisse place aux sons et aux bruits de la nature et de ses occupants pour un résultat au plus proche de la terre mère. C'est incroyable d'entendre les sons émis par le petit ours et ses congénères. On se souviendra pour longtemps de la bouille de Youk ainsi que de la silhouette de Bart qui semblent être dirigés comme s'ils étaient des acteurs tant leur performance est époustouflante. Côté humain on retiendra la prestation de Tchéky Karyo. La b.o. est elle assurée par Philippe Sarde qui nous gratifie de compositions qui se confondent par moments avec les bruits de la nature pour un résultat d'une belle douceur en totale symbiose avec les images. Reste une fin à la hauteur des attentes venant mettre un terme à L'Ours, qui sans conteste est un film à voir pour toutes les belles choses qu'il met en avant.
Suivre les aventures d'un ourson dans la montagne, avec tellement peu de répliques que le script doit tenir sur une page, je ne pensais pas que c'était possible. Jean-Jacques Annaud réussit là un tour de force. Sans paroles on comprend presque ce que les animaux nous disent, on ressent leurs émotions. On perçoit aussi la fragilité de la vie sauvage et la puissance d'un ours adulte. Tel un documentaire scénarisé, on est stupéfait par ce que les "acteurs" font. Ça tient en miracle ! Comme une immersion au cœur de la nature, L'Ours nous invite à la contemplation.
Le film suit l’histoire d’un ourson, devenu orphelin, qui cherche du réconfort auprès d’un ours adulte. Ce dernier commence par le repousser, jusqu’à ce que tous les deux se retrouvent confrontés au danger des hommes. Les images sont magnifiques, c’est incroyable d’avoir réussi à obtenir de telles images avec des animaux sauvages. Le petit ourson est tellement mignon, l’histoire avec l’ours adulte est très touchante. Il y a du suspens jusqu’à la fin. L’histoire avec les hommes se termine un peu vite mais ce n’est pas ce qu’on retient. On garde surtout en tête des images fortes des animaux.