Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Télérama
par François Gorin
Limosin donne assez de chair à ce regard bridé, assez de champ aux entrechats de ses cobayes amoureux pour que son machin moderne et verni frisant le manifeste affecté passe sans coup férir dans le camp des films qui comptent, qui conversent avec leur temps, qui ne s'oublient pas du jour au lendemain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Il faut beaucoup d'audace pour mettre ainsi en crise les préjugés de l'innocence, la vénération confite de l'état d'enfance – en sortant le jour de Noël en plus ! Il faut un grand talent, pour le faire avec autant de légèreté et d'élégance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Mais surtout, avouons-le, on succombe au charme des deux amants au désir comme la mer toujours renouvelé, le bel Espagnol Eduardo Noriega, à l'oeil et au sourire de velours, et la sublime Anna Mouglalis.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Comme un vin de soif, Novo est un film léger, gouleyant, rafraîchissant. Jean-Pierre Limosin y filme le désir et les beaux corps d'Anna Mouglalis et Eduardo Noriega, sans culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Plus rien jamais ne sera décisif, sinon ce risque permanent pour le film de remplacer de l'oubli par de l'oubli, de se gaufrer dans cet abysse qui, en même temps, l'enivre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Eduardo Noriega et Anna Mouglalis, excellents, donnent vie et chair à l'un des couples les plus excitants que le cinéma nous ait donnés, et font résonner les accords du titre de Marianne Faithfull, "Sex with strangers".
Première
par Christophe Narbonne
Libertin et libertaire, le film de Limosin baigne dans un esprit très Nouvelle Vague, qui se retrouve jusque dans le jeu désincarné d'Eduardo Noriega.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Il en résulte un fulgurant feuilletage audiovisuel, auquel l'interprétation d'Eduardo Noriega prête une dimension enfantine aussi touchante qu'inattendue.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Tiraillé entre une mise en scène très design qui cherche le style pour le style (plans de géomètre, effets modernistes lorgnant sur De Palma) et un propos finalement assez vain, Novo est à l'image de son héros, récitant visiblement un texte qu'il ne comprend pas lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça ressemble à un film de la vieille Nouvelle Vague, mais avec moins de candeur et de sincérité. A voir, sans plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Zurban
par Charlotte Lipinska
Séquences répétitives ou ruptures de rythme sur fond de techno, on est sur un jeu de l'oie émotionnel où les personnages ont parfois besoin de reculer pour mieux avancer. Mais si l'on y participe avec plaisir, le procédé finit par lasser faute d'enjeu.
Télérama
Limosin donne assez de chair à ce regard bridé, assez de champ aux entrechats de ses cobayes amoureux pour que son machin moderne et verni frisant le manifeste affecté passe sans coup férir dans le camp des films qui comptent, qui conversent avec leur temps, qui ne s'oublient pas du jour au lendemain.
Le Monde
Il faut beaucoup d'audace pour mettre ainsi en crise les préjugés de l'innocence, la vénération confite de l'état d'enfance – en sortant le jour de Noël en plus ! Il faut un grand talent, pour le faire avec autant de légèreté et d'élégance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Mais surtout, avouons-le, on succombe au charme des deux amants au désir comme la mer toujours renouvelé, le bel Espagnol Eduardo Noriega, à l'oeil et au sourire de velours, et la sublime Anna Mouglalis.
Les Inrockuptibles
Comme un vin de soif, Novo est un film léger, gouleyant, rafraîchissant. Jean-Pierre Limosin y filme le désir et les beaux corps d'Anna Mouglalis et Eduardo Noriega, sans culpabilité.
Libération
Plus rien jamais ne sera décisif, sinon ce risque permanent pour le film de remplacer de l'oubli par de l'oubli, de se gaufrer dans cet abysse qui, en même temps, l'enivre.
MCinéma.com
Eduardo Noriega et Anna Mouglalis, excellents, donnent vie et chair à l'un des couples les plus excitants que le cinéma nous ait donnés, et font résonner les accords du titre de Marianne Faithfull, "Sex with strangers".
Première
Libertin et libertaire, le film de Limosin baigne dans un esprit très Nouvelle Vague, qui se retrouve jusque dans le jeu désincarné d'Eduardo Noriega.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Il en résulte un fulgurant feuilletage audiovisuel, auquel l'interprétation d'Eduardo Noriega prête une dimension enfantine aussi touchante qu'inattendue.
Chronic'art.com
Tiraillé entre une mise en scène très design qui cherche le style pour le style (plans de géomètre, effets modernistes lorgnant sur De Palma) et un propos finalement assez vain, Novo est à l'image de son héros, récitant visiblement un texte qu'il ne comprend pas lui-même.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ça ressemble à un film de la vieille Nouvelle Vague, mais avec moins de candeur et de sincérité. A voir, sans plus.
Zurban
Séquences répétitives ou ruptures de rythme sur fond de techno, on est sur un jeu de l'oie émotionnel où les personnages ont parfois besoin de reculer pour mieux avancer. Mais si l'on y participe avec plaisir, le procédé finit par lasser faute d'enjeu.