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I'm A Rocket Man
287 abonnés
3 114 critiques
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5,0
Publiée le 7 août 2015
Enfin on retrouve notre Rocky !! Après un troisième volet un peu décevant je trouve (car plus dans le spectaculaire et moins dramatique) , ce quatrième opus est un régal pour les yeux !! L'histoire est très prenante (Ivan Drago y contribue pour beaucoup !), l'émotion est au rendez vous, les combats sont exceptionnels et le contexte politique (très particulier mais il faut se replonger 30 ans en arrière!) rajoute une petite touche palpitante au film !! Une vraie réussite !! Rocky est décidément une oeuvre culte et le restera à jamais !!!
Déjà le quatrième opus de la mythique saga de Stallone et toujours aucun essoufflement ! Rocky IV reprend la durée et le schéma de son prédécesseur avec un combat au milieu et à la fin contre un adversaire phare. Le scénario prend une tournure de propagande dans le contexte des dernières années de la guerre froide avec les affrontements contre le charismatique et impitoyable Ivan Drago, qui marque ici son premier grand rôle au cinéma parallèlement au dernier James Bond de Roger Moore Dangereusement vôtre, avant ses apparitions remarquées dans l'adaptation des Maîtres de l'Univers et Dans les griffes du dragon rouge aux côtés de Brandon Lee.
Toujours aux côtés de Rocky, Apollo a du mal à accepter son vieillissement et cherche à remonter sur le ring face à Drago qui fait de plus en plus la une des infos. Prévenu par Rocky et sa femme, le personnage est plus provocateur que jamais et veut absolument en mettre plein la vue pour prouver que son pays est meilleur que l'autre côté du rideau de fer. spoiler: Comme on pouvait s'y attendre, il se fait ratatiner sur le ring, et meurt par la violence des coups à la stupeur générale. Ça arrive un peu trop vite, plus de violence et de fureur aurait sans doute été plus crédible, mais le choc est bien là : une légende vient de s'éteindre.
On comprend donc que Rocky n'a d'autre choix que de remonter sur le ring spoiler: afin de venger son vieil ami, et il décide que le match se disputera sur le sol russe afin de les battre à son tour sur leur propre terrain. On retrouve l'entraînement habituel, cette fois-ci sous la neige et avec des activités extérieures comme la coupe du bois. Le combat final fait rage jusqu'au dernier round spoiler: où Rocky terrasse son adversaire après avoir reçu encore plus de coups que d'habitude (pour moins de blessures !). On remarque que c'est le dopage qui rend Drago aussi puissant, mais aucun retour n'est fait pendant le film, un peu dommage.
Le combat Est Ouest prend fin alors que Rocky annonce publiquement que si son combat l'a fait passer de la vengeance personnelle à la simple confrontation d'un pays à un autre par le sport, alors il peut en être de même pour des milliers de personnes : il devient alors une icône pacificatrice du souhait de la fin de la guerre froide. A noter qu'il choisit de faire jouer le match un jour de Noël, là où la chute de l'Union Soviétique a été depuis retenue au 25 décembre 1991 ! Coïncidence ou pas, Rocky IV s'impose comme un des meilleurs films de la saga avec un scénario qui n'en finit pas de surprendre par l'engouement de ses combats !
l'adversaire de Rocky, Russe, est présenté comme un tricheur (il se dope) et un tueur sur le ring. par contre le boxeur Américain est courageux et intelligent. l'Amérique glorieuse se venge de l'URSS vicieuse. un cliché très maladroit, surtout en cette période de détente Est-Ouest. un 4eme épisode à oublier bien vite.
On est très très loin du niveau des deux premiers Rocky. Le scénario est pas terrible du tout hein, il se résume à ceci: spoiler: Apollo Creed provoque en combat le russe Ivan Draco (Dolph Lungren). Lors de ce combat, Apollo décède sous les coups de Draco: rocky, après cela, jura de venger Apollo et provoque Draco en combat dans son propre pays. Rocky va alors s'entraîner en sibérie pour le combat final! Et puis les clichés sur les russes sont nombreux: Les américains qui sont les gentils de l'histoire et les russes qui eux sont dopés. Mais en soit, on ne s'ennuie pas pendant ce film porté par une très bonne BO même si je regrette que le thème principal de Rocky '' Gonna Fly Now" soit quasi absent du film. Le combat de fin est très bon! Les acteurs sont bons même si leur jeu d'acteur à régresse. Mais soyons honnête, Rocky 4 est un bon gros nanar même si il est très agréable à regarder.
Même sur le ring, il fallait que Stallone affronte les Soviets... Tout à l'outrance des années Reagan (fric et paillettes), Balboa renfile les gants pour glorifier l'Amérique et sa toute puissance. Alors bien sûr, les personnages sont là, l'empathie qui va avec aussi, la BO est soignée et le visuel tape très fort mais... là on verse clairement dans l'exagération, l'invraisemblable à presque tous les niveaux coté boxe. Mais bon, à Stallone on pardonne tout, surtout quand le final ramène un peu d'humanité et de sérieux dans ce carnaval pétaradant et chargé de testostérone. Les seconds rôles font leur office, le spectacle est rythmé, on en prend plein la vue: que demander de plus?
Rocky IV est sûrement le plus mauvais de la saga. On atteint dans ce film un niveau de niaiserie rarement égalé au cinéma. On a le méchant communiste soviétique contre le gentil capitaliste américain. Appolo Creed va affronter le méchant communiste, mais comme il est très très méchant, ce communiste là, et ben il va tuer le gentil Creed ( qui au passage va bien l'humilier en lui faisant comprendre qu'ici c'est les USA, le pays de la liberté, et que lui, le ruskov n'est rien d'autre qu'un monstre ). Cette scène que beaucoup ont trouvé émouvante n'a servi à mon ressenti qu'à montrer que le russe est méchant. Rocky va donc aller se venger, dans un combat dont tout le monde connaît l'issu, et avant il s'est entraîné dans la neige en soulevant des buches ( bah oui Rocky c'est Super capitaliste en fait ) pendant que le méchant et fainéant ruskov fainéant va s'entraîner lui avec des machines ( c'est bien connu les russes sont plus dopés que les américains ). Et donc après s'être mangé une bonne cinquantaine de beignes par un type de deux têtes plus grand que lui, Rocky va finalement mettre KO le vilain défenseur du marteau et de la faucille. Après cela il va adresser au peuple russe ( qui s'est rangé en cours de route de son côté, car il est cool l'américain ) un des discours les plus stupides de naïveté de l'histoire du cinéma : vous avez vu : tout le monde peut changer et devenir un bon citoyen américain. Morale à retenir, les enfants : restez fidèles à l'oncle Sam et vous vaincrez toujours les méchants communistes. Je mets une étoile pour la BO, et notamment "We live in America" et "Burning heart", sinon ce film ne vaut pas un clou, au mieux il vous fera rire si vous le prenez au second degrés tellement il est nul.
Moins bon que les trois autres opus, mais tout de même solide, Rocky IV reprend le même genre de recettes spoiler: (mort de personnage secondaire, adversaire qui semble invincible, course à la motivation etc...) mais en changeant des composantes un nouveau film en ressort pour un résultat plus que bon, avec l'ajout des tensions de la guerre froide qui apporte vraiment un élément nouveau, en plus du fait spoiler: du combat qui se déroule en Russie communiste.
Mouais, je savais que ce film offrait une vision très patriotique dans la confrontation USA-URSS, mais je ne pensais pas que ça accumulait autant de cliché. Bon, on reconnaîtra le fait que le film dénonce également le dopage dans le sport et se positionne comme un message de tolérance. Cependant, à part ces quelques messages, l’histoire n’a pas grand intérêt. On reprend la même recette que l’opus précédent, on modifie deux trois trucs, on ajoute une pointe dramatique et puis Rocky s’entraîne pour « le plus grand combat de tous les temps » puis le combat a lieu. Le résultat est couru d’avance et même si le suspense est peut-être mieux géré que dans le film précédent, y’a pas de grande surprise. Stallone reste fidèle à lui-même, tout comme le reste du casting ; quant aux acteurs « russes »…ben ils suivent les clichés qu’on leur a attribués. Techniquement, la musique est nettement un cran en-dessous (le thème culte remplacé par une musique très discrète et qui ne réussit pas à nous donner l’énergie et la confiance qu’on avait jusqu’à présent), la mise en scène des combats reste dynamique même si ça abuse un peu trop des fondus. Et si les décors de la mère Russie sont aussi en plein dans le cliché (et surtout pas en Russie) mais magnifique. Bref, peut-être le film de trop de cette franchise.
En plus d’être un talentueux acteur, Sylvester Stallone est capable de proposer des films équilibrés et dynamiques. En retrouvant l’attachant Rocky Balboa, Adrian, Paulie, Apollo Creed et les autres, « Rocky IV » nous donne l’impression de nous retrouver en famille. Film après film, l’ensemble des protagonistes évoluent du fait d’évènements marquants. En plus d’être le plus trépidant de la série, le film parvient à nous convaincre, malgré une redondance dans le schéma narratif : l’apparition d’un nouveau combattant, puis une remise en question après une défaite, suivie d’un entrainement intensif sur la musique « Eyes of the Tiger » et enfin la victoire tant attendue. Il serait regrettable de ne pas mentionner le taciturne Ivan Drago, nouvel adversaire de Balboa. L’acteur Dolp Lundgren, véritable Stakhanov sous stéroïdes, crève l’écran et permet de créer une véritable tension lors du combat final. Enfin, Stallone est parvenu à éviter toute propagande dans son film dont le scénario oppose URSS et USA, qui plus est en période de Guerre Froide. Ce recul et le message de paix final sont tout à l’honneur du réalisateur.
Rocky 4 est la référence de tout les films de vengeance sur le ring! de kick boxer à best of the best, en passant par Bloodsport! Le scenario est simple les enjeux sont limpides Lundgren est enorme ! un grand film de mon enfance
ça y est, "Rocky" est enfin un nanar !! Dans la lignée anti-communiste de "Rambo 2" et "Rambo 3" le quatrième opus de "Rocky" balance sans vergogne sa propagande pro amérique en caricaturant à mort les méchants russes communistes donneurs de leçons qui ne sourient jamais, parlent peu et surveillent tout et tout le monde et qui s'entrainent à l'aide de la technologie et de la dope. Et ce n'est pas le discours de fin de Stallone qui fera penser le contraire tant il est maladroit et ironique. Le scénario tient ici sur une page et la mécanique de la saga commence sèrieusement à paraître artificiel et prétexte à n'importe quoi. En plus de ça, la narration est condensé et ne se concentre plus sur les relations entre les personnages mais sur l'efficacité. Sans parler du montage, très découpé façon publicité ou clip qui donne un ryhtme artificiel et une sensation de voir une pub géante qui affiche sans complexe son adhésion aux idées conservatrices de Ronald Reagan. ça pourrait être bien si ça en serait drôle comme "Rambo 2 et 3". Reste un combat final qui ressemble plus à une boucherie qu'autre chose tant la surenchère est de mise, mais les chansons sont excellentes.
Avant même le générique, le ton de Rocky IV est lancé avec l’affrontement de deux gants, l’un symbolisant les USA et l’autre l’URSS. Véritable œuvre de propagande pour l’Amérique Reaganienne comme rare un film peut l’être ce quatrième opus de la saga « Rocky » reprend là où le termine le troisième avec la fin de l’affrontement entre Balboa et Mister T puis « l’amical » entre lui et Creed. Puis ce dernier se fait massacrer (dans tous les sens du terme) par un nouveau et imposant boxeur soviétique, Rocky décide alors d’aller le venger sur les terres russes.
Effectivement, ici on est loin de la profondeur des débuts et du prolo des bas quartiers accédant au rêve américain, tout est fait pour mettre en valeur le blason américain face aux soviétiques. Que ce soit à travers les fortes allusions de dopages généralisés et d’états aux USA, de l’écriture des personnages russes, de la haine que l’on nous fait ressentir pour le boxeur venu du froid ou encore avec cette fin totalement surréaliste dans la façon dont Rocky retourne l’union soviétique, que ce soit le public ou les dirigeants grâce à son discours.
Néanmoins et passer ce point-là qui aujourd’hui fait plus sourire qu’autres choses, ce quatrième opus laisse tout de même quelques regrets comme l’abandon total de ce qui faisait le charme des deux premiers opus à savoir la profondeur que l’on pouvait y trouver. Mais aussi des personnages que l’on avait pris l’habitude de suivre au fil de la saga qui deviennent inutile (comme Adrian) ou limite énervant (Paulie).
Mais… le personnage que Stallone s’est confectionné au fur et à mesure des années est toujours attachant, toute la partie en Russie est vraiment sympa avec le montage assez clipesque montrant la préparation des deux boxeurs et enfin le combat final aussi surnaturel qu’il peut l’être est vraiment prenant.
Toujours plus haut , toujours plus fort, le 4e opus des Rocky frappe fort avec l'impressionnant Dolph Lungren haut en couleur. D'une réalisation impeccable, entrainante, la bande son est encore un chef d’œuvre à elle seule. Rocky 4 est à mon sens le dernier de la saga, respirant encore l’atmosphère des premiers Rocky, juste avant de s’éloigner petit à petit du cœur de cette nébuleuse avec Rocky 5.Un chef d’œuvre incontournable (le dernier).
Ce quatrième épisode de la série des Rocky emmène le champion jusqu’en URSS, où il doit affronter la star locale. On n'a pas affaire au volet le plus marquant d'une série qui semble s’essouffler et qui se montre assez caricaturale dans le traitement du contexte des combats, mais l'on retrouve avec plaisir le casting habituel, ainsi quelques passages sympas dont l'inévitable face-à-face final.
Rocky poursuit son épopée contre le russe Ivan Drago et c'est un peut trop laçant, autant des les précédents films l'histoire continue sans trop se répéter mais la c'est moyen. D'autant plus que le russe ne dit que trois mots dans le film et que le dernier combat est trop long et donc trop irréaliste. Malgré sa il y a un petit côté politique avec ces relations Est - Ouest de la guerre froide qui vient rajouter un peut de tension. Cela reste tout de même un bon divertissement mais ce n'est le meilleur volet de la saga.