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    Rocky IV
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    3,3
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    441 critiques spectateurs

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    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    bon film avec un évènement qui va marquer et toucher Rocky . un combat intense et puissant ave. l'excellent Dolph Lundgren qui est impressionnant dans son combat . Sinon histoire toujours un peu triste et un peu d'humour qui son présent se quil fait un peu de bien
    Loulou1999
    Loulou1999

    5 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2016
    Moi qui m'attendait à un film moyen,j'ai été surpris avec ce rocky. Même si on à un scénario en deçà des autres films,avec un Stallone spoiler: qui voit son pote apollo creed mourir à cause d'un russe et qui décide de le venger
    c'est peu original.Ce qui est décevant surtout,c'est que l'on ne met pas assez en avant Rocky comme dans les autres opus,là il n'y a que de l'entrainement et le match final.Malgré tout,j'ai passé un bon moment grâce aux combats toujours bien filmés et grâce à ces musiques épiques qui donne la pèche et ce charme à ce film. Donc film sympathique.
    CH1218
    CH1218

    200 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2018
    Filmé et monté comme un vidéo-clip, soutenu par une bande son appropriée, « Rocky IV » est atomisé par des clichés formatés par son patriotisme écoeurant de guerre froide typique de l’ère reaganienne. La rivalité entre le "gentil" Rocky Balboa et le "méchant" Yvan Drago, interprété par le colossal (physiquement, j’entends) Dolph Lundgren, n’évoque finalement que l’opposition du capitaliste américain à celui du bloc communisme soviétique d’alors. Encore heureux que le film, réalisé une fois encore par Sly lui-même, est divertissant et que ses combats impressionnent.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    692 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2022
    Ce quatrième opus n'innove pas et se contente simplement de réutiliser les filons usés de la saga. Le potentiel de sympathie pour Rocky est toujours à son comble, grâce à la prestation spontanée de Stallone, qui offre par ailleurs quelques rares idées de mise en scène intéressantes. Mais Rocky IV ennui plus qu'il ne diverti.

    https://www.cineserie.com/news/cinema/rocky-iv-sylvester-stallone-revient-sur-laccident-qui-lui-a-fait-froler-la-mort-4697736/
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 avril 2016
    spoiler: DRAGO (le cri de rocky sur la montagne) tout est là la motivation de rocky....mais ça ne fait pas tout pour faire un bon film,pauli devient attachant et ça femme primordiale pour son équilibre.La mort de appollo creed est super bien vu et prendre dolph lundgen en boxeur la classe (une armoire à glace ce mec j'aimerais pas le rencontré énervé!) J'adore l'entrainement des deux protagonistes vraiment génial et le combat final est le meilleur de la saga.Un peu moralisateur mais finalement il clame la paix le rocky et franchement quand on sait que en vrai que lundgren à mis une telle patate à stallone et là mis ko pendant plus de 4 jours à l'hopital on ne peut être que admiratif même si c'est pas prévu. Un final magnifique et une BO qui date encore aujourd'hui du très bon spectacle à voir et à revoir!
    cylon86
    cylon86

    2 513 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2016
    Abandonnant la simplicité et la sincérité qui avait fait le succès des deux premiers opus de la saga "Rocky", ce quatrième film ne fait pas dans la dentelle. Apollo Creed et Rocky trouvent en Ivan Drago, un boxeur soviétique, un adversaire redoutable qui tuera le premier au cours d'un match et qui ne demande qu'à en faire autant avec un Rocky plus que jamais décidé à venger son ami. Nous sommes dans les années 80 alors bien évidemment c'est l'occasion d'opposer les américains aux russes dans la conception de l'homme, du sportif et dans sa conception de l'entraînement (robotique pour Drago, très proche de la nature pour Rocky). Forcément c'est très manichéen, aussi bien dans son propos finissant par prôner la tolérance de manière naïve que dans la mise en scène, avec ses effets de montage et sa lumière qui luit sur le corps en sueur des acteurs. Les combat sont spectaculaires et le film a quelques notions intéressantes mais il manque cruellement de consistance, le scénario se résumant en bien peu de choses. Un Rocky brut de décoffrage mais dénué de charme et dénué d'âme malgré ce que Stallone veut bien nous faire croire.
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    116 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2016
    Après avoir crée le personnage de Rambo, Sly revient à son perso fétiche, celui auquel il doit sa gloire et parvient encore à surprendre et à faire évoluer son héros. Je note 4/5 comme pour L'OEil du Tigre, mais le film reste très légèrement inférieur, et pourtant il contient encore de bons éléments que j'aime, comme la démonstration toute puissante du sport-spectacle à l'américaine avec la séquence d'exhibition à Las Vegas où Apollo se trémousse au son du Living in America de James Brown : tout un symbole qui tranche résolument avec la rigueur et la froideur russe et technologique des machines de l'entrainement d'Ivan Drago, séquences bien rythmées aussi par le montage rapide des images entre le gymnase ultra sophistiqué du Russe et les techniques pures et saines de Rocky dans la neige. Pour ces séquences portées par les morceaux musclés où Vince Di Cola a remplacé Bill Conti, Sly réutilise l'alternance des images comme il l'avait fait dans L'OEil du Tigre sur la déchéance de Rocky face à l'irrésistible ascension de Clubber Lang. Cet opus est sans doute le plus manichéen de tous les Rocky, mais plus que la concrétisation d'un duel entre 2 nations, Sly a opté pour celui de 2 citoyens, et surtout celui de 2 méthodes. Etayant son propos sur cette base qui renforce la dimension humaine du récit et des personnages, il évite l'écueil sournois d'une vision démagogue ainsi que le démontre la brillante façon dont il exploite tour à tour le comportement des Russes et des Américains qui se jaugent mutuellement, jonglant avec les oppositions (le combat US version Vegas contre le combat soviet façon militarisée). Dolph Lundgren allait ensuite exploiter sa célébrité toute neuve acquise grâce à ce film où la technique filmique très personnelle de Stallone dans le combat final donne à l'ensemble un impact extraordinaire.
    Jllkjkhnjhjg M.
    Jllkjkhnjhjg M.

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2016
    Ce film est incontestablement le meilleur Rocky !!! Des entrainement dans des conditions extrême avec beaucoup d'émotion est un combat mortel avec un géant Russe qui tue a chaque combat. La fin est positive et donne beaucoup de frisson... Les scène du début son rigolote (ex : l'anniversaire de Paulie)
    Bref un très bon film !!!
    ferdinand75
    ferdinand75

    549 abonnés 3 869 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2016
    Cet Opus , introduit un champion Russe "Drago" qui vient challenger Rocky. Ce dernier doit de nouveau reprendre un entrainement forcené dans des conditions extrêmes: neige, glasse, poids lourds.. Toujours la volonté de vaincre et le "fighting spirit". Mais rien de vraiment nouveau dans le scénario, on est dans le concept de franchise. Efficace pour retrouver l'ambiance des premiers Rocky.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 mars 2016
    Rocky est l'un des personnages les plus emblématiques et les plus sympathiques du cinéma et j'ai de la sympathie pour chacun de ses films, mais là force est de constater que ce quatrième opus marqué par le contexte de fin de Guerre Froide frise parfois le ridicule. Par parce qu'il fait office de propagande filmique à la gloire des USA, ce que j'ai pu lire à droite à gauche et qui est complètement faux même si je comprends qu'il fasse cet effet. Plutôt parce que le mot d'ordre de ce "Rocky IV" est la surenchère: surenchère de clichés sur l'opposition USA/Russie avec le robot dopé aux hormones de bœuf qui sert d'antagoniste, avec la grandiloquence des spectacles qui précèdent chacun des matchs de boxe (au moins les USA ne sont pas moins ridicules que la Russie, je dirais même le contraire) ou encore avec cette hérésie de robot tellement débile et inutile qu'il en perturbe même Apollo Creed. D'ailleurs et à mon grand désarroi même la mort de Creed manque d'impact tant elle est boursoufflée de ralentis et d'effets sonores. Et que dire de cet espèce d'über-flashback en milieu de film ? Le film reste tout à fait regardable pour qui apprécie la saga, le montage alternant l'entraînement de Rocky et celui de Drago est assez puissant, les personnages sont toujours aussi attachants, la confrontation finale ne manque pas de force et j'irais même jusqu'à dire que le film est sauvé par sa leçon de morale sous la forme du discours de Rocky en fin de film, certes tout à fait candide et naïf mais c'est l'esprit du personnage, et ce qui le rend si agréable. Un film qui ne fait pas forcément honneur à la saga "Rocky" donc, mais pas au point de lui faire honte non plus.
    bladgik
    bladgik

    91 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2016
    En dessous du 3e épisode qui reste le meilleur.
    Le combat de fin par contre c'est le meilleur de la saga. Côté film il n'y a pas l'émotion des autres. Une B.O sympa . Un méchant tres tres impressionnant . Un message américain contre russe un peu trop simpliste mais bon ça reste un bon divertissement
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    176 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Quatrième épisode de la saga de l étalon italien, Sylvester Stallone, au sommet de sa popularité, rentre à fond dans la guerre froide afin de promouvoir le gentil américain face au méchant russe .
    Le côté social des scénarios précédent est oublié au profit de l action .
    En 1986, le clip vidéo est en plein essor et ce film s inspire fortement de cette tendance . La bande son est l une des plus réussies de la saga et même de l histoire du cinéma avec un James Brown splendide .

    La mise en scène se limite à établir des séquences comme des extraits à part entière , sorte de succession de vidéo clips .
    On passe un bon moment , avec ce film représentant bien son époque , qui restera avec un scénario moins travaillé que les précédents (Notamment le 1 et 2) mais qui possède une bande son du groupe survivor sublime !
    Wolverine1992
    Wolverine1992

    115 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Le plus violent de la saga. Stallone se bat tout seul contre un peuple russe qui le hait. L'entrainement en Russie et le combat final sont grandioses.
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    En 1985, Ronald Reagan est au pouvoir depuis 4 ans et a réactivé la Guerre froide notamment en soutenant les moudjahidines face à l'armée soviétique en Afghanistan. Les Jeux olympiques servent régulièrement en parallèle à une confrontation symbolique entre les deux blocs. De son côté, Sylvester Stallone a enfin réussit à trouver une autre icône de la culture populaire avec Rambo. Ce personnage, ambigu dans le premier film, réapparait dans un second volet, où il symbolise les États-Unis prenant leur revanche sur l'U.R.S.S., qui rencontre un énorme succès (le plus gros de la carrière de Stallone à l'époque au niveau mondial et toujours à l'heure actuelle le plus gros aux Etats-Unis).
    Stallone décide alors de transposer à nouveau la Guerre froide à travers les prochaines aventures de son autre personnage fétiche : Rocky. Le troisième volet était déjà assez simpliste et avait rencontré un gros succès. Stallone réapplique donc cette formule en l'adaptant à l'affrontement entre les deux blocs idéologiques. Clubber Lang (rôle qui permit à Mister T. d'être engagé dans L'Agence tous risques) était une bête fauve créée par la misère; cette fois, le méchant sera encore plus impressionnant et sera le produit d'un lavage de cerveau idéologique : Ivan Drago, interprété par Dolph Lundgren (dont c'est le premier rôle important après un petit rôle dans Dangereusement vôtre). Les personnages sont désormais plus des symboles que des êtres humains. Les scènes dramatiques sont à nouveau réduites au maximum et le film ressemble d'ailleurs presqu'à un gigantesque clip sportif, où les chansons remplacent les dialogues. Il est d'ailleurs intéressant de constater l'évolution physique de Stallone qui s'affine et se muscle au fur et à mesure des films : le changement était déjà impressionnant dans Rocky III (où le poids annoncé pour le match final ne ferait pas combattre, dans la réalité, le personnage dans la catégorie des poids lourds mais dans dans celle des poids lourds-légers) et l'est encore plus ici (l'acteur-réalisateur était d'ailleurs à cette époque, avec Arnold Schwarzenegger, le symbole du muscle au cinéma).
    Malgré un aspect très caricatural bien qu'inspiré par la réalité (l'Union soviétique est montrée dopant ses athlètes, ce qui hélas était loin d'être faux), Stallone laisse émerger quelques timides nuances sur l'arrogance américaine en montrant Apollo Creed provoquer Drago en conférence de presse pour offrir du spectacle mais également par haine idéologique et en faisant précéder le match Creed/Drago d'un gigantesque show qui tient plus de la foire que du sport. De plus, Stallone termine le film sur un discours visant au rapprochement des peuples et non à leur affrontement (étonnant après un film où les soviétiques sont dépeints comme de froides machines voulant montrer leur supériorité sur les U.S.A.).
    Bien qu'il ne semble pas s'être épuisé à écrire son scénario (on est loin de l'intelligence du film original), Stallone utilise son sens du rythme en tant que réalisateur pour faire de son film un divertissement plaisant. En effet, Rocky IV est un film assez bête mais fun par son aspect clipesque cité ci-dessus spoiler: (la séquence de la voiture qui devient une compilation visuelle de toute la série)
    et par sa mise en scène des matchs de boxe plus irréalistes que jamais mais possédant un côté combats de gladiateurs agréable. Toutefois, il aurait pu éviter facilement certaines incohérences comme celles concernant l'âge de son fils (un problème récurrent dans la saga). Effectivement, la première séquence inédite (vu que comme à chaque fois, le début reprend la fin de l'épisode précédent) est sensé se dérouler juste après le combat à huis-clos entre Rocky et Apollo qui conclu Rocky III. Dans celle-ci, apparait Rocky Jr. qui a incroyablement grandi par rapport à l'épisode précédent. A partir de l'arrivée de Drago en Amérique, les séquences sont sensées se dérouler en 1985 soit 4 ans après mais le fils de Rocky n'a pas grandi (cependant, cette fois, l'âge de l'acteur est cohérent avec les 9 ans du personnage). Prendre deux acteurs différents aurait été une solution évidente mais la crédibilité ne semble plus réellement préoccuper Stallone.
    Concernant le côté vidéoclip du film, celui-ci est d'ailleurs accentué par un changement de taille dans l'aspect technique : le changement de compositeur. Pour l'unique fois de la saga (Creed, étant un spin-off non écrit et non-réalisé par Stallone, est un cas à part), Bill Conti ne signe pas la musique et est remplacé par Vince DiCola. Sa composition, basée sur des synthétiseurs et non plus sur un orchestre symphonique, est extrêmement différente et ne reprend pas les thèmes originaux (à l'exception de quelques très rapides notes à la fin) : elle apporte un aspect plus violent et moins subtil à l'image du film. Même si elle reste très marquée par les années 80 et même si elle est loin d'égaler la beauté des thèmes de Bill Conti, cette composition est généralement assez appréciée par les fans pour son aspect fun : on peut même se demander si ce n'est pas le succès discographique d'Eye of the tiger qui a poussé Stallone à choisir une bande originale plus commerciale.
    Cette vision mercantile est d'un point de vue économique une très grande réussite puisque Rocky IV demeure le plus gros succès de la saga et le plus gros succès mondial (mais pas aux États-Unis) de la carrière de Stallone jusqu'à Expendables 2 : Unité spéciale qui le battra de peu (score à relativiser malgré tout à cause de l'inflation). Cela s'explique car Rocky IV est un film certes bête mais très plaisant et qui permet d'oublier tous ses problèmes.
    Valentin L.
    Valentin L.

    43 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2015
    Quatrième volet de la saga des Rocky ! Celui ci est doté d'une BO de qualité, et du meilleur démarrage de la saga, à mes yeux. En effet, les 40 premières minutes sont excellentes: Un bon rythme, de l'humour, un nouveau défi, la nouvelle complicité entre Creed et Rocky mais également et surtout: spoiler: Un des événements les plus important de la saga: La mort d'Apollo Creed.


    Cette suite, bien que classique, opposera l'URSS à l'Amérique dans un match explosif ! Ambiance guerre froide garantie (contexte de l'époque oblige).
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