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Un visiteur
5,0
Publiée le 30 juillet 2017
Film que j'ai déjà vu une dizaine de fois et que j'ai toujours autant de plaisir à revoir. L'histoire sur fond de guerre froide est un peu caricaturale certes (le bon américain et le méchant russe...) mais ce duel Stallone/Lungren impressionne. Les séquences de combats et d'entraînement sont époustouflantes renforcées par une BO géniale qui donne au film un dynamisme rare et des allures de clip géant. L'émotion et l'humour sont aussi de la partie. En un mot: culte !
Ce quatrième rocky à était classé dans la catégorie navet pour moi il est largement sous côté même si il est vrai le scénario et assez simpliste pour moi ce 4ème opus reste très bon avec un combat final entre le grisly de Sibérie et l'étalon italien d'anthologie
Trois ans après l'excellent troisième opus, resté mythique pour son indémodable bande son, le plus célèbre boxeur du septième art reprend les gants pour un dernier volet (du moins pendant un bon bout de temps) et certainement le plus fendard tant on prend son pied à le visionner. Nous retrouvons Rocky Balboa bien loin du prolo que nous avions suivi dans le premier opus et les bas quartiers de Philadelphie ont laissé la place à une sorte de mini manoir immonde où il passe son temps à lustrer sa voiture. Mais un événement tragique le fera très vite retourner sur le ring. Réalisé comme un long clip vidéo de 91 minutes avec le nationalisme réactionnaire de l’Amérique reaganienne en fond et la sublime musique du compositeur américain Vince DiCola, "Rocky 4" est l'épisode le plus court de la franchise mais sans temps mort et au combat final d'anthologie entre Sly et Dolph Lundgern, qui est peut-être le mieux chorégraphier de la saga. Ce qui fait qu’il est encore regardable aujourd’hui est qu’il est à la fois le reflet d’une époque, celle de l'ouest contre l'est, et à ce titre, il conserve un charme indéniable qui lui a permis de conserver une aura en somme toute particulière avec ses outrances politiques ou visuelles et qu’il contient une sincérité qui force le respect. Dans ce nouvel enfer, Stallone filme ce quatrième opus comme un clip vidéo avec des entraînements high tech d'un côté avec dopage (contexte de guerre froide oblige), et à l'ancienne de l'autre, à travers de magnifiques décors naturels Sibériens. Ainsi, "Rocky IV" est un film de boxe vraiment plaisant qu, grâce à son manichéisme affiché et son côté pro-américain, à vraiment de la gueule.
Culte Stallone vs dolf Lundgren ! Les Etats Unis contre La Russie. La technologie contre l homme. la puissance opposé à la résistance. le kid de Philadelphie vs le soldat Drago . la dernière de papa Creed sur le ring . "jètte pas l éponge . merci Stallone pour la saga Rocky
le moins que l’on puisse dire, c’est que « Rocky IV » ne fait pas dans la dentelle. Avec son antisoviétisme primaire et ses clichés sur la Russie, il s’agit de l’épisode le moins subtil de la série. Le film montre une vision grossière de la guerre froide (les insultes au ras des pâquerettes venant des américains). Certes, de par sa grande taille, Drago alias Dolph Lundgren a un physique impressionnant pour un boxeur. Mais il ne prononce pas plus de trois phrases durant tout le film.
Un 4e volet un peu bâclé, alors qu il y avait l occasion de faire beaucoup mieux... ça sent le réchauffé et la BO, à part de le superbe Burning Heart, est décevante. Après ça se regarde toujours sans déplaisir :)
La mise en scène des combats de Rocky IV s'avère efficace. Voilà un film qui ne manque pas de puissance mais le scénario est faible. La Russie se veut hostile envers les Américains mais Stallone pousse le bouchon un peu plus loin pour surligner cette puissance qu'est la violence des coups qui ont mis KO Appolo Creed déjà mort, à un point où il laisse passer un message de propagande contre les Russes.
4eme opus de la serie arrive de dolf lungren en russe Une guerre froide retranscrite sur le ring des acteurs nouveaux bien choisit une conclusion dans l espoir et pourquoi pas le changement a voir pour le plaisir de suivre l épopée du boxeur
Limité à un produit purement commercial et pro capitaliste , le film transpire par tout les ports de patriotisme primaire face à l'ennemi soviétique. La subtilité, la fragilité et le coté humble de notre héros boxeur qui faisait l’intérêt de cette saga n’existe plus. A l'image de son ennemi russe, Rocky cogne dur sans réfléchir, dans un simple esprit de vengeance mal exploité. Film trop court ou trop long , dans les deux cas, Rocky 4 est le plus bâclé parmi les quatre premiers longs métrages.
Difficile de juger ce quatrième volet de Rocky, qui reprend les mêmes recettes que les précédents, avec cette fois une dose de patriotisme exacerbé. Mettant aux prises le célèbre boxeur avec un géant soviétique qui a tué son ami Apollo Creed au combat, il ne fallait pas s'attendre à autre chose. Le final est un peu grotesque, mais pour le côté kitsch et divertissant de l'ensemble, ça vaut quand même le détour.
Sylvester Stallone vs Dolph Lundgren ! "Rocky 4" propose une compétition USA vs Russia très prononcée, et dont on peut se moquer éperdument pour peu que l'on suive les aventures de Rocky davantage pour son parcours du combattant, que pour un règlement de compte politique offrant la gloire aux États-Unis, mais bon, ça fait quand même un scénario après tout... Avec cet entraînement à l'ancienne contre cet entraînement technologique 2.0, Rocky se prépare à affronter une véritable machine de guerre russe. On se rappellera tous de la salutation flippante qui amorce le combat Creed/Drago...
Sylverster Stallone revient dans le rôle de Rocky pour une quatrième aventure...Une aventure, qui, à force, s'essouffle. La répétition d'un scenario, bien trop simple, manquant d'ambition et d'émotion se fait ressentir dans les yeux du spectateurs. Malgré cela, Rocky IV reste un bon film...pas le meilleur de la saga certes, mais il dispose de ses qualités. Un jeu d'acteur toujours au top, des combats toujours aussi impressionnant, toujours aussi musclés et frissonnants. Un drame majeur est à l'origine du combat final : spoiler: La mort d'Apollo Creed , et pourtant ce passage est bâclé, il manque de profondeur, d'émotions et est censé sensibilisé le spectateur...Il n'en est rien... Malheureusement. Le film ne se révèle pas aussi féroce que les précédents, l'esprit de compétition n'y est plus et la victoire n'est plus aussi savoureuse. Toutefois, les musiques sont toujours au top, et l'ambiance reste excellente, très prenante.
Mais ou s’arrêtera Rocky? Voila déjà le quatrième film sur ce personnage avec ce Rocky 4 qui même s'il ne parvient pas à faire aussi bien que les deux premiers, est meilleur que son prédécesseur. Le schéma est toujours le même on commence à bien le connaitre. L'histoire nous mène cette fois ci dans un combat politique. En effet Apollo et Rocky vont affronter Drago un boxeur de l'union soviétique. On pouvais craindre un truc américain ultra patriotique et manichéen avec les gentils américains d'un côté et les méchants russes de l'autre mais il n'en est rien. C'est vraiment une bonne surprise de ce côté la même si il y a quand même une petite suspicion de dopage... Mais la seule grande chose à retenir de ce quatrième volet c'estspoiler: la mort d'Apollo ! Mais malgré ce moment tragique j'ai trouvé que le film manquait d'émotions. J'ai bien aimé le combat entre Apollo et Drago même si la scène d'intro avec James Brown est beaucoup trop longue. D'ailleurs c'est un des gros problème de ce film. On sent le manque d'inspiration et du coup chaque scène est étiré mais ça se ressent et ça m'a pas plu notamment quand ils s'entrainent ça devient ennuyant. J'ai quand même bien aimé le passage ou il ressasse ses souvenirs et ou l'on voit toutes les images défilés. Pour ce qui est des personnages, on retrouve les mêmes moins ceux qui sont morts et comme adversaire Drago qui n'a aucune profondeur et ne parle presque pas mais malgré cela il arrive à être plus expressif que Mister T dans le troisième film de la franchise. A noter aussi le fils de Rocky que l'on voit plus. La b.o. quant à elle, change un peu elle sent les années 80 et est très plaisante. Pour conclure, le combat final n'est pas du tout crédible et le résultat est très prévisible mais le happy-end est plutôt sympa avec un message plein d'humanité comme Rocky sait si bien faire. Au final, Rocky 4 se laisse voir mais n'est pas indispensable et n'arrive pas à retrouver le côté dramatique des deux premiers.
Étant donné que Sylvester Stallone paraissait décidé à mettre un terme aux aventures de Rocky après trois films, personne n'envisageait à l'époque la sortie d'un quatrième opus. Et c'est pourtant ce qui fut fait.
Néanmoins, le principal intérêt de ce film n'est pas de se dire : « Tiens, un États-Unien et un Soviétique participent à un match de boxe. » et de se demander qui l'emportera sur l'autre. C'est de voir comment Ivan s'y prendra pour inciter Rocky à l'affronter.
spoiler: Pour les tétraphobes, le fait qu'Apollo meurt au cours de ce film ne doit rien au hasard.