Derniers Avis : Rocky IV - Page 3

Si il meurt, il meurt.

Mon Rocky préféré, cliché à mort, sur un fond de guerre froide pour bien évidemment finir sur une note ou l'URSS change la gomme des américains.
91 minutes où le scénario écrit par un gamin de 12 ans laisse place à 1 heure d'entrainement/combats avec il faut le souligner, une bande originale superbe, de Vince DiCola et Survivor pour ne citer qu'eux.

Stallone est au sommet, Dolph Lundgren arbore un physique interdit par le clergé. Un cocktail explosif qui donne envie de se foutre des stéroïdes en pagaille.
Sly est, et restera le maitre incontesté du cinéma d'action.

1986, Sylvester Stallone vient d'avoir 40 ans et il est au top de sa forme physique. Son personnage de « Rocky » est crédible et le monde entier attend son prochain combat avec une réelle impatience. En vieux renard rusé, Stallone utilise le contexte géopolitique de l'époque pour opposer le grand Apollo Creed (qui s'ennuie à la retraite) à Ivan Drago, un puissant boxeur venu de Sibérie. Le combat, qui ne devait être qu'une simple démonstration, tourne à la boucherie... et c'est là que « l'étalon Italien » revient évidemment sur le devant de la scène. La revanche sera forcément sanglante... mais elle devra, cette fois, se dérouler en Russie. Le scénario recycle habilement les meilleures scènes des premiers épisodes pour que les fans se sentent comme à la maison. Les sentiments humains se mêlent adroitement à la sueur, au rythme des scènes d’entraînement, dans la neige, sur fond de musique rock tonitruante (toujours le groupe Survivor, parfait). Ainsi, l'amitié, l'amour mais aussi la persévérance, le courage, la loyauté et bien sûr la vengeance sont les moteurs qui mènent irrémédiablement notre héros vers son destin, de l'autre côté du rideau de fer. Il en résulte un des opus les plus efficace (peut-être même le meilleur ?) de cette saga, éminemment populaire et qui accompagne nos vies depuis maintenant tant d'années. Excellent !

Je le trouve un peu moins bien réussi que le 3 mais il reste bien sympathique. Ce face à face guerre froide URSS/USA (avec pour chaque camp un patriotisme exacerbé) et le premier rôle sérieux de Dolph Lundgren … sacré nostalgie !

Rocky IV critique: 🤌🏾



Un plaisir coupable On va pas se le cacher !


Aujourd’hui on s’attaque à: "Rocky IV", film sorti en 1985.

Cette suite fut pondant longtemps le mois apprécié de la saga avec le 5.
Pourtant, plus le temps passe, plus il est aimé bien qu’il reste dans les moins bon. En gros c’est un peu comme la Prélogie "Star Wars"….

"Rocky IV" est un quatrième volet de "Rocky" moins passionnant que les précédents même si il reste bien divertissant Disons que cette affrontement manichéen entre les gentils États Unis (Représenter par Rocky) et les méchants Russes (Représenter par Drago) nous gonfle un peu . Il faut dire que le film a été tourner en pleine guerre froide au moment où les relations entre la Russie et les États Unis était assez tendu. Sans oublier que le film est très classique dans son déroulement. On voit Rocky s'entraîner puis vient le combat final. Rien de bien nouveau quoi.
Et ne problème étant qu’il y a certes des nouvelles techniques utilisées pour son combat, jamais vue avant, mais c’est trop poussé puis ça enchaîne les musiques bien que excellentes, sans lignes de Dialogues.
Malgré tout le changement de décor en Russie est sympathique et dépaysant. Un réal taff sur les costumes puis ça fait plaisir de voir Rocky encore une fois combattre avec le maillot que porté son ami Apollo Creed.
"Rocky IV" aura le plus gros succès de la saga. Il Remporta 300,4 millions de $ au box office, et est mine de rien souvent le plus cité avec le 1 quand on parle de la saga, mais c’est pour des mauvaises raisons.
En effet, le Boxeur Russe là, Ivan Drago, est comme j’ai dis tout à l’heure, absolument pas agréable. On n’a pas d’attache pour lui et c’est normal le dirait vous… mais non !
Apollo Crees, même si c’était l’adversaire de Rocky on pouvait pas réellement le considérer comme son ennemi étant donné qu’il était gentil. Même si Rocky la mis parterre, il son resté ami, allant à c’que Apollo devienne le coach de son ancien Rival.
Même dans le 3, quand nous détestions Clubber Lang jouait par Mister T, On détesté ce personnage, c’est car c’était un énorme connard puis pas du tout attachant. C’est exactement le cas de Drago justement… mais Lang on aimait le détesté. Dans la Tier List de Rocky par exemple, j’le met dans les "A "!
Que Drago on voit qu’il est comme Maul dans "Star Wars", il n’a aucune personnalité. Mais Maul on l’apprécie car il est badasse. Drago, apart quelques filles qui peuvent dire Qu’il est Beau Gosse, n’a aucune personnalité apart Tuer.
Surtout que comme il tue Apollo Creed, l’attachement du personnage est moins présente. Contrairement à Dark Maul donc, ou lui même si il tue meilleur Personnage de l’épisode I "la Menace Fantôme", il est encore plus appréciable.
Vous comprenez, Ivan Drago est totalement raté. Il a deux ou trois phrases dans le film. ("Tu vas Perdre" , et "Je vais te Massacrer !")
Mais bon… apart ce personnage, y’a également le Robot là.. très très peu convaincant dans l’histoire et on comprend pas vraiment qu’est-ce qu’il fout là….
Mais j’ai pas envie de materniser la dessus.
Je préfère parler des personnages, qui ont comme d’habitude, une énorme évolution très positif.
Déjà le plus important c’est Apollo Creed, qui meurt en plein combat.
Et j’avoue que Rocky IV est celui où j’ai beaucoup pleuré. Sa mort est vraiment impactante, et sert aussi l’évolution de Rocky Balboa. Qui change radicalement après la scène de l’enterrement, bien plus convaincu et sûr de lui.
Mais c’est Adrian, elle qui avait merveilleusement bien changé dans le troisième opus, qui n’était absolument plus une nunuche qui sert simplement la motivation de Rocky…
Dans ce film, elle redevient pas comme ça mais n’est plus du tout comme dans l’opus précédent. Elle croit plus en Rocky. Pensant qu’il ne peut pas gagner. Et c’est très surprenant de voir ça à un tel personnage qui avait autrefois énormément d’estime et de confiance à son Mari, le meilleur Boxeur des Poids Lourd et du Cinéma.
Cela prouve bien que la mort d’Apollo change tout.
Le perso de Paulie n’a pas de superbe intérêt encore une fois… apart se plaindre, il est pas non-plus inutile dans le scénario mais bon… c’est lourd de tout le temps le voir…. Même si en une fois on le déteste pas mais simplement un peu Relou…
Le Casting tiens avec donc Stallone, ou il est également le réalisateur, et le scénariste du film.
Il démontre comme dans "Rambo" que c’est pas un film que sur la Boxe.
Le Méchant est joué par Dolph Lundgren dont je connais pas d’autres films à son actif.
Son épouse incarnée par Brigitte Nielsen est froide comme un glaçon. Caricaturés à l’excès, ses compatriotes soviétiques frisent le ridicule.
Talia Shire, Burt Young et Carl Weathers restes Magistrales !
Mais celui qui l’a vraiment surpris dans ce filme… c’est attention… (Le Robot ! Nn je déconne…😂)
C’est l’acteur Carl Weathers décédé en 2016 par maladie à 78 ans, qui a un rôle superbe rôle dans ce long-métrage.
Il joue le rôle de l’entraîneur de Apollo, et maintenant qu’il est mort Apollo, il aide Rocky.
Donc en résumant, la Bande-son est toujours très épique mais largement moi bonne que les Volet précédentes.
La Mise en scène est vachement sympa. La réalisation est soigné comme d’habitude.
Le déroulement de L’intrigue est quasi Moisi au premier abord, mais c’est en réalité plutôt bon.
Les dialogues sont bon dans l’ensemble mais seulement en version original car en VF c’est juste des gros beauf !
Je vais mais s’il te plaît là pour cette critique, pour résumer c’est un film que je conseille dans l’histoire de la saga mais j’avoue que c’est pas non plus le meilleur…
Je préfère la première partie du film.
Bref
6/10

Rocky IV reste un bon divertissement grâce à ses combats toujours aussi impressionnants et la motivation dont fait preuve Rocky, le tout est en plus porté par une BO exceptionnelle. La saga continue en plus d'apporter un vent de fraîcheur sur les motivations de Rocky puisque cette fois-ci, il est complètement porté par son désir de vengeance pour Appollo Creed. Cependant, ce qui rend le film largement moins bon que les 2 premiers, c'est qu'il ne mise pas assez sur ses personnages : on ne ressent aucune émotion pour eux, un peu comme dans Rocky 3, le rythme est tellement effréné qu'on a pas le temps de développer les personnages. Et en plus de ça, le film prend un sacré coup de vieux un peu ringard quand on se rend compte à quel point c'était un film de propagande pro USA durant la guerre froide. En soit, le mythe américain a toujours plus ou moins fait partie de la saga Rocky, mais ici c'est vraiment exagéré et ça en devient ridicule tant le film a envie d'humilier l'URSS à chaque seconde. Bref, ça reste un bon divertissement mais très loin d'être un très grand film comme l'ont été les 2 premiers selon moi.

Rocky IV, film réalisé vers la fin de la guerre froide et en pleine expansion de la technologie.

Premièrement, le frère de Adriane sert toujours à rien, il n'est ni un ami ni un coach et il n'est pas sympathique. Il est présent pour être le point humour des films mais cela ne prend pas du tout.

spoiler: Le combat entre Drago et Creed est extrêmement choquant, effectivement voir Creed se faire massacrer par le Russe est dur, ce qui devient encore plus difficile quand il finit par mourir. Probablement à des moments les plus importants de la saga, chargé en émotion forte.


Le passage mélancolique avec la musique et les flash-back tombent à pique pour conclure les émotions de tristesse, colère et peur qui nous parcourent et qui parcourent Rocky spoiler: suite à la mort de son ami.


spoiler: La comparaison entre de Drago et de Rocky est bien faite, les plans dans la neige sont super beaux lors de l'entraînement.

spoiler: Par contre tout est un peu cliché, notamment sur l'URSS et le méchant Drago réduit presque en tant que robot Russe.
Même si cela paraît logique que Rocky fasse ce combat face à Drago cela est très mal expliqué voir pas expliqué du tout.

Le combat est assez mal fait sauf le dernier round.

Le top des rocky,le montage l'histoire les acteurs au top. Avec la participation de James Brown, en pleine guerre froide .

Rocky IV prend ses spectateurs pour des pigeons. Entre les clichés, le recyclage ou encore les incohérences, ce quatrième opus éprouve grand mal à sa montrer digne de cette saga.

Rocky IV tente toujours tant bien que mal de s'inscrire dans une réalité forte pour donner du volume à ce qu'il raconte. Chose faite ici avec l'évocation de la guerre froide. A savoir la confrontation technologique et sportive entre les Etats Unis et l'URSS. Même si ce n'est pas d'une originalité transcendante, on aurait pu sauver les meubles si on n'était pas partis dans tous les sens.

Ivan Drago se présente comme un condensé de clichés à gerber : brute soviétique qui ne pense qu'à tuer et balance quelques palabres en rapport. Rien d'intéressant et renforce le côté manichéen de ce film tout aussi à gerber. Soit d'un côté les bons américains représentés par un Rocky au grand cœur et de l'autre, l'URSS représenté comme une nation de brutes sanguinaires. Bref.

Côté réalisation, ce quatrième volet s'éloigne aussi de ce qu'était Rocky au départ. D'une réa sobre et sans fioritures, Rocky IV bascule dans les strass, paillettes et musiques dance de son temps. Exit l'authenticité des rues sales de Philadelphie et de son étalon italien et bonjour à une grosse prod' américaine qui en fait des caisses pour rien.

Le foutage de g***** atteint son apogée lors de l'entrainement des deux boxeurs. Ce film ose vraiment nous faire croire qu'un entrainement dans la forêt avec des moyens eco+ permettent une meilleure forme physique que la technologie de pointe et le dopage ?

En somme, ce film n'a même pas d'intérêt. La saga tourne en rond, cet opus n'est qu'un plat remake de son prédécesseur remixé à la sauce guerre froide. On sait dès le départ que dans cette guerre idéologique, un film américain ne peut que casser son adversaire. La suite s'en trouve déjà toute tracée, il est évident que Rocky remportera encore une fois le combat final.

Dans la lignée du précédent opus. Un bon divertissement. Par contre, le discours de fin est ridicule.

L'idée d'opposer Russie et États-Unis, le film étant sorti trois ans avant la chute du mur de Berlin, est excellente. Mention spéciale pour Paulie qui parle du mur en conférence de presse. Bien vu ! La prestation de James Brown chantant Living In America, avec Apollo Creed qui lui tourne autour, est un grand moment. Le titre Burning Heart de Survivor retranscrit en musique les émotions du héros. Les scènes d'entraînement opposant deux méthodes radicalement différentes, montrent tout le travail avant de monter sur le ring. Le combat est d'une intensité rare, avec en toile de fond le changement entre deux peuples. Revu 35 ans après la sortie de Rocky IV, on sent quand même que les années ont passé, dans la qualité des images comme dans le son, dans l'opposition de deux nations aussi, la guerre froide étant révolue depuis bien longtemps, la métaphore du combat de deux boxers résonne moins avec l'actualité, heureusement. À revoir malgré quelques longueurs dans la première partie, à moins d'attendre la version Director's Cut que Sylvester Stallone est en train de préparer.

Aaaaah Rocky IV, souvent le volet qui sort dans l'épisode préféré des spectateurs. J'ai eu la chance de le voir au cinéma à l'époque de sa sortie. C'était incroyable, ces chansons, cette musique, ce Dolph Lundgren incarnant un Ivan Drago qu'on aime et qu'on déteste en même temps. Le film est d'ailleurs un succès en partie grâce à lui. Blockbuster de propagande sortie en pleine guerre froide, comme tous les autres Rocky il reste emprunt de sa période de sortie et fait office de marqueur de l'histoire et du temps. Un classique indétronable.

Le meilleur de la saga et certainement le plus kitsch aussi.
Mais rien que l'entraînement et le combat final sont ouf.

Sylvester Stallone nous emmène dans ce quatrième opus de la saga "Rocky", une nouvelle fois réalisé par ses soins et sorti en 1985, sur le terrain de la Guerre Froide, et le résultat en est plutôt moyen. Après avoir aborder les combats personnels dans les trois premiers opus, comme la célébrité, le reconnaissance etc., il attaque ici quelque chose de plus grand en faisant, grâce au protagoniste et à son antagoniste, toute une analogie à la Guerre Froide. Bon à la limite pourquoi pas mais ce n'est en tout cas pas très finement amené. Surtout en ce qui concerne le parallèle entre les deux combats (le premier et le dernier), l'un très vivant, lumineux et joyeux (censé représenté l'Amérique) et puis à la fin, froid, terne et sombre (censé représenté la Russie). Bien-sûr, sans surprise, ce sont les États-Unis qui gagnent mais ils sont en plus présentés comme étant humble puisque Rocky fait un petit discours pour apaiser les tensions entre les deux puissances mondiales. Tout ça est donc assez grossier et balourd. Et puis en dehors de ça, bon bin pas trop de surprises, le schéma narratif reste le même de film en film, Rocky trouve un adversaire plus fort que lui, il se fait massacrer dans un premier match, s'entraine dur puis en sort vainqueur au second. L'intrigue est tellement téléphonée qu'elle ne passionne plus. Et puis bon, le film sent bien les années 80, tout est ultra-kitch, surtout en ce qui concerne la réalisation, l'histoire étant entre-coupée de véritables clips. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons la même équipe et avec cette fois Dolph Lundgren dans le grand méchant, qui fait bien le méchant pour le coup (on ne peut pas vraiment le juger sur ses lignes de dialogue...). "Rocky IV" n'est donc pas franchement le meilleur de la franchise mais il garde au moins ce côté divertissant.

Rocky contre les soviets!! Voici ce que propose ce film clipesque à la croisé des chemins entre film de propagande, le film de super héros et la comédie involontaire. En tout cas c’est totalement du plaisir coupable pour moi. Car oui c’est d’une bêtise sans nom, vu la sincérité de Sly je me demande s’il ne pensait vraiment vouloir mettre fin à la guerre froide avec son film (avec les américains qui gagnent bien entendu). Tous les curseurs sont tellement poussés à fond que je ne peux m’empêcher de rire et de m’amuser. Voir au moment de l’entraînement Rocky couper du bois et soulever des cailloux dans la neige pendant que le russe se dope aux stéroïdes m’amuse toujours autant à la énième vision. Car oui c’est un film que je prenais au premier degrés quand j’étais gamin, qui m’a exaspéré ensuite et que maintenant je m’amuse à revoir (car tout le monde peut changer !!!) pour tous ses défauts mais aussi pour ses bons moments comme le génialissime Living In America de James Brown qui vaut pour lui seul de voir le film.

Stallone poursuit la caricature de son personnage de "Rocky" pour la conduire à son paroxysme dans ce 4ème volet presque nanaresque. L'humble boxeur se voit ainsi transformé en fier représentant des USA, s'entraînant au grand air à l'ancienne, et devant affronter un infâme communiste dopés aux stéroïdes et aux machines high-tech. Et c'est sans compter sur une réalisation en forme de clip ou de nombreux clichés sur l'URSS.
Je passe rapidement sur l 'invraisemblance pugilistique qui parsème chaque Rocky , à savoir : comment un être humain normalement constitué ( c 'est à dire pas un androide ) peut encaisser de tels coups d' une façon répétitive sans
s' écrouler ?
Les bras m' en tombent à chaque fois !
"Rocky IV" conserve tout de même un intérêt historique, puisqu'il constitue finalement une bonne représentation de l'état d'esprit reaganien.