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Michael78420
45 abonnés
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3,5
Publiée le 8 mai 2021
L'idée d'opposer Russie et États-Unis, le film étant sorti trois ans avant la chute du mur de Berlin, est excellente. Mention spéciale pour Paulie qui parle du mur en conférence de presse. Bien vu ! La prestation de James Brown chantant Living In America, avec Apollo Creed qui lui tourne autour, est un grand moment. Le titre Burning Heart de Survivor retranscrit en musique les émotions du héros. Les scènes d'entraînement opposant deux méthodes radicalement différentes, montrent tout le travail avant de monter sur le ring. Le combat est d'une intensité rare, avec en toile de fond le changement entre deux peuples. Revu 35 ans après la sortie de Rocky IV, on sent quand même que les années ont passé, dans la qualité des images comme dans le son, dans l'opposition de deux nations aussi, la guerre froide étant révolue depuis bien longtemps, la métaphore du combat de deux boxers résonne moins avec l'actualité, heureusement. À revoir malgré quelques longueurs dans la première partie, à moins d'attendre la version Director's Cut que Sylvester Stallone est en train de préparer.
Un film que j'ai vu et revu et qui reste pour moi une formidable réussite. Un concentré d'action, des moments émouvants, une bande son du tonnerre, un adversaire inoubliable, l'atmosphère particulière de la Russie, les séquences d'entraînement dans la neige et un combat extraordinaire. Bref 1h30 de bonheur.
Rocky contre les soviets!! Voici ce que propose ce film clipesque à la croisé des chemins entre film de propagande, le film de super héros et la comédie involontaire. En tout cas c’est totalement du plaisir coupable pour moi. Car oui c’est d’une bêtise sans nom, vu la sincérité de Sly je me demande s’il ne pensait vraiment vouloir mettre fin à la guerre froide avec son film (avec les américains qui gagnent bien entendu). Tous les curseurs sont tellement poussés à fond que je ne peux m’empêcher de rire et de m’amuser. Voir au moment de l’entraînement Rocky couper du bois et soulever des cailloux dans la neige pendant que le russe se dope aux stéroïdes m’amuse toujours autant à la énième vision. Car oui c’est un film que je prenais au premier degrés quand j’étais gamin, qui m’a exaspéré ensuite et que maintenant je m’amuse à revoir (car tout le monde peut changer !!!) pour tous ses défauts mais aussi pour ses bons moments comme le génialissime Living In America de James Brown qui vaut pour lui seul de voir le film.
Cet Opus , introduit un champion Russe "Drago" qui vient challenger Rocky. Ce dernier doit de nouveau reprendre un entrainement forcené dans des conditions extrêmes: neige, glasse, poids lourds.. Toujours la volonté de vaincre et le "fighting spirit". Mais rien de vraiment nouveau dans le scénario, on est dans le concept de franchise. Efficace pour retrouver l'ambiance des premiers Rocky.
Mouais, je savais que ce film offrait une vision très patriotique dans la confrontation USA-URSS, mais je ne pensais pas que ça accumulait autant de cliché. Bon, on reconnaîtra le fait que le film dénonce également le dopage dans le sport et se positionne comme un message de tolérance. Cependant, à part ces quelques messages, l’histoire n’a pas grand intérêt. On reprend la même recette que l’opus précédent, on modifie deux trois trucs, on ajoute une pointe dramatique et puis Rocky s’entraîne pour « le plus grand combat de tous les temps » puis le combat a lieu. Le résultat est couru d’avance et même si le suspense est peut-être mieux géré que dans le film précédent, y’a pas de grande surprise. Stallone reste fidèle à lui-même, tout comme le reste du casting ; quant aux acteurs « russes »…ben ils suivent les clichés qu’on leur a attribués. Techniquement, la musique est nettement un cran en-dessous (le thème culte remplacé par une musique très discrète et qui ne réussit pas à nous donner l’énergie et la confiance qu’on avait jusqu’à présent), la mise en scène des combats reste dynamique même si ça abuse un peu trop des fondus. Et si les décors de la mère Russie sont aussi en plein dans le cliché (et surtout pas en Russie) mais magnifique. Bref, peut-être le film de trop de cette franchise.
Limité à un produit purement commercial et pro capitaliste , le film transpire par tout les ports de patriotisme primaire face à l'ennemi soviétique. La subtilité, la fragilité et le coté humble de notre héros boxeur qui faisait l’intérêt de cette saga n’existe plus. A l'image de son ennemi russe, Rocky cogne dur sans réfléchir, dans un simple esprit de vengeance mal exploité. Film trop court ou trop long , dans les deux cas, Rocky 4 est le plus bâclé parmi les quatre premiers longs métrages.
Plus la saga avance, plus les films sont mauvais. Pour ce "Rocky 4", le réalisateur-scénariste-star Stallone s'en tape royalement de conférer à son film la moindre cohérence scénaristique. Le film enchaîne les séquences sans rythme, ni imagination et la réalisation est vraiment très sommaire (fatigué le Stallone??). En plus, dans le contexte de la Guerre froide entre les Etats-Unis et l'URSS, Sly s'embourbe dans une morale à deux balles dont le final ridicule en est l'apogée. Non seulement on s'ennuie royalement, mais le film est révoltant de stupidité. Naze!!
S. Stallone commençait à vouloir se prendre pour le porte-parole du gouvernement Reagan et après avoir gagné la guerre du Viêt-Nâm avec Rambo, il pétait la gueule à un russe invincible dans ce 4ème opus de la saga Rocky. Le scénario est faiblard, tient à peine sur 1h25 vu qu'il empile les séquences musicales très longues (comme celle du concert de J. Brown où le morceau passe en entier) et fait durer ses combats le plus possible, les protagonistes s'échangeant des beignes toutes plus violentes les unes que les autres sans aucun souci de réalisme. Pas d'avancées au niveau des persos, mise en scène limite, propos de propagande risibles, musique d'accompagnement sans saveur bref, l'esprit se dilue et Stallone nous offre un nouveau nanar purement commercial et se perd artistiquement. Pour les nostalgiques béats de l'époque, ça peut encore passer mais pour le cinéphile, impossible. D'autres critiques sur
Sylvester Stallone vs Dolph Lundgren ! "Rocky 4" propose une compétition USA vs Russia très prononcée, et dont on peut se moquer éperdument pour peu que l'on suive les aventures de Rocky davantage pour son parcours du combattant, que pour un règlement de compte politique offrant la gloire aux États-Unis, mais bon, ça fait quand même un scénario après tout... Avec cet entraînement à l'ancienne contre cet entraînement technologique 2.0, Rocky se prépare à affronter une véritable machine de guerre russe. On se rappellera tous de la salutation flippante qui amorce le combat Creed/Drago...
Sylvester Stallone nous emmène dans ce quatrième opus de la saga "Rocky", une nouvelle fois réalisé par ses soins et sorti en 1985, sur le terrain de la Guerre Froide, et le résultat en est plutôt moyen. Après avoir aborder les combats personnels dans les trois premiers opus, comme la célébrité, le reconnaissance etc., il attaque ici quelque chose de plus grand en faisant, grâce au protagoniste et à son antagoniste, toute une analogie à la Guerre Froide. Bon à la limite pourquoi pas mais ce n'est en tout cas pas très finement amené. Surtout en ce qui concerne le parallèle entre les deux combats (le premier et le dernier), l'un très vivant, lumineux et joyeux (censé représenté l'Amérique) et puis à la fin, froid, terne et sombre (censé représenté la Russie). Bien-sûr, sans surprise, ce sont les États-Unis qui gagnent mais ils sont en plus présentés comme étant humble puisque Rocky fait un petit discours pour apaiser les tensions entre les deux puissances mondiales. Tout ça est donc assez grossier et balourd. Et puis en dehors de ça, bon bin pas trop de surprises, le schéma narratif reste le même de film en film, Rocky trouve un adversaire plus fort que lui, il se fait massacrer dans un premier match, s'entraine dur puis en sort vainqueur au second. L'intrigue est tellement téléphonée qu'elle ne passionne plus. Et puis bon, le film sent bien les années 80, tout est ultra-kitch, surtout en ce qui concerne la réalisation, l'histoire étant entre-coupée de véritables clips. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons la même équipe et avec cette fois Dolph Lundgren dans le grand méchant, qui fait bien le méchant pour le coup (on ne peut pas vraiment le juger sur ses lignes de dialogue...). "Rocky IV" n'est donc pas franchement le meilleur de la franchise mais il garde au moins ce côté divertissant.
Après Mr.T., Dolph Lundgren. Ce quatrième pisode sent vraiment bon le vestiaire du Parc Des Princes. Entre un Jaaaaaames Brown chantant son "Living in America" et ses séances d'entrainement en pleine U.R.S.S., ce "Rocky IV" fait pitié.
Difficile de juger ce quatrième volet de Rocky, qui reprend les mêmes recettes que les précédents, avec cette fois une dose de patriotisme exacerbé. Mettant aux prises le célèbre boxeur avec un géant soviétique qui a tué son ami Apollo Creed au combat, il ne fallait pas s'attendre à autre chose. Le final est un peu grotesque, mais pour le côté kitsch et divertissant de l'ensemble, ça vaut quand même le détour.
Grand spéctacle !! Cette suite est bien éfficace, scenario toujours aussi excitant et satisfaisant. Stallone signe ici son meilleut role parmis les differents Rocky
Quatrième opus souffrant du reaganisme, de la propagande anti-URSS et un jeu désastreux de Dolph Lundgren. Je ne connais pas les opinions politiques de Stallone, mais il est sûr que son film est un perçu comme un vulgaire bourrage de crâne et que aujourd'hui il nous fait penser à de nombreux nanars genre “ I love USA”. Ca reste un divertissement, sans plus.
Ce quatrième épisode de la série des Rocky emmène le champion jusqu’en URSS, où il doit affronter la star locale. On n'a pas affaire au volet le plus marquant d'une série qui semble s’essouffler et qui se montre assez caricaturale dans le traitement du contexte des combats, mais l'on retrouve avec plaisir le casting habituel, ainsi quelques passages sympas dont l'inévitable face-à-face final.