Mon compte
    L'Homme qui rétrécit
    Note moyenne
    4,1
    1008 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme qui rétrécit ?

    118 critiques spectateurs

    5
    38 critiques
    4
    55 critiques
    3
    21 critiques
    2
    2 critiques
    1
    1 critique
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    guifed
    guifed

    64 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2013
    Chef d'oeuvre du fantastique? Pour l'époque, sans doute. Les tours de passe-passe devaient être considérées comme des prouesses à l'époque. Tout part d'une histoire finalement pas très élaborée: Grant Williams, dans le rôle de Scott Carey, est arrosé par une pluie argentée en pleine mer. Il s'avèrera par la suite que ce fut l'élément déclencheur de la décroissance du héros. Aucun médecin ne pourra expliquer son rétrécissement. Les remèdes s'enchaînent, mais rien n'y fait: Scott rétrécit irrémédiablement. Très vite aussi petit qu'une fourmi, Scott va faire montre d'une ingéniosité remarquable pour survivre face aux nouveaux dangers de son quotidien:araignées, chats etc. C'est cette partie qui apporte quelque chose de plus parfumé à la sauce concoctée par Jack Arnold. Ce dernier parvient ainsi à mêler avec subtilité action, fantastique, et philosophie. L'homme seul face à l'imposante Dame nature, réflexion sur la vie et la mort ponctuée par une superbe fin de film, le tout dans une aventure passionnante et tendue. Bien joué!
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    37 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2013
    L'homme qui rétrécit, film fantastique datant des années 50. On suit les aventures d'un homme qui se voit rétrécir jours après jours suite a une exposition a un nuage radioactif.
    Pour assurer sa survie il va devoir faire face a son propre chat ou encore une araignée.
    Moi j'ai pas aimé plus que ça malgré que beaucoup de gens le considèrent comme un chef-d'oeuvre.
    Je n'arrivais pas a être ému, les dialogues ne m'enchantaient pas non plus et pendant les moments à suspense la bande son me tapait sur les nerfs.
    SATSANGA
    SATSANGA

    8 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2013
    Un pur bijou de la science-fiction des années cinquante ! Le scénario est admirable de créativité pour cette époque et les effets spéciaux bien qu'ils aient vieillis sont très efficaces . Certainement le meilleur film de Jack Arnold qui mérite que l'on s'attarde dessus . A (re)découvrir dès que possible .
    Benito G
    Benito G

    663 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2013
    LE film a quand même pas mal vieillit... Mais même avec cela, la qualité scénaristique et les effets qui vont avec ; en font une merveille pour les yeux! Là ou un remake (donc en couleur) a été réalisé, mais prenant un tournant plutôt raté par rapport à l'original. Un vrai remake pourrait, si celui ci ; se montrait bien réalisé scénaristiquement et visuellement ; s'avéré être un petit bijou. Pour l'époque, le film décampe une histoire qui n'ait pas sans rappeler certaines séries que l'on connait tous... MAis avec sa petite touche de fantastique, d"horreur"... Et il n'y a pas a dire. Pour la date de sortie, le film genre le grand jeu et développe des choses ; que même maintenant ; certains ne sont pas capable de faire.
    Une pure merveille pour les yeux, l’intelligence et l’imaginaire. Un plaisir, une découverte en rares points égalée. Oublions le classicisme et la rigidité de la réalisation et penchons-nous plutôt sur le scénario sans faille, sans artifice, qui prône la sensibilité, la psychologie, la crédibilité. Une écriture irréprochable et propre au réalisateur (que j'ai pu observer en visionnant d'autres de ses œuvres). Ensuite il y a ses effets qui ne sont pas là pour combler les faiblesses du scénario : il sont aussi parfaits et grandioses. Tout est là pour toucher l'intéret de quiconque se plonge dans cet univers, au-delà du visuel, de réflexion. Une œuvre, un conte FANTASTIQUE, réellement effrayant, subjectif, qui posssède une âme, un corps et surtout un cerveau. Finissons par oublier que l’acteur n’est pas un grand et rappelons nous que l’on ne souhaitait ne jamais se réveiller. Comme quoi, il n'y y'a pas besoin d'être une star de renom pour réussi sa prestation dans un film. A l'heure d'aujourd'hui, sans nouveau remake (je ne parle pas du remake qui n'a pas eu grand succès et qui coté qualité, n'est pas au top), le film aurait sans doute passé inaperçu (le public ne cherchant plus le noir et blanc, et le scénario se montrant légèrement vague). Mais pour le coup, l'ensemble est une réussite qui fait froid dans le dos et qui nous montre ; que même à l'époque ; certains possédé déjà un réel talent. Un petit bijou pour les nostalgique, qui pourra en ravire plus d'un. Par contre, la nouvelle génération ; avide de 3D, FX à gogo, star de renom non stop et j'en passe. Pourrons passer leur chemin. "L'homme qui rétrécit est tout autre chose".
    alf38000
    alf38000

    16 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 décembre 2021
    Jack Arnold signe ici avec "l'homme qui rétrécit" incontestablement le meilleur film de toute sa carrière.
    Perfection technique, jeux des acteurs, scénario inventif et magnifiquement ficelé, trucages et effets spéciaux soignés (Clin d'oeil à Tarantula sorti 2 ans plus tôt).
    Mélange subtil de fantastique et de conte philosophique, l'oeuvre tirée d'un roman de Richard Matheson (qui ecrira lui-même le scénario) va bien au-delà du simple divertissement auquel était cantonné le cinema de SF des 50's.
    Ici point de happy end, pas de solution miracle au mal qui ronge le héros, pire, les proches de celui-ci semblent se détacher de lui au fur et à mesure que ce dernier s'éloigne des canons définissant les standards humains, et, c'est donc seul et abandonné à sa nouvelle existence que celui qui était Scott Carey part découvrir un monde toujours changeant et de plus en plus indéfinissable.
    Une oeuvre que chaque cinéphile se doit d'avoir vu au moins une fois dans sa vie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Un film dont les effets spéciaux n' ont pas prix une ride 50 ans après sa sortie .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 novembre 2012
    Je l'ai vu petit, il y a plus de 35 ans et je lui aurai mis 5 étoiles si allociné existait.Bien qu'il se fasse vieux, l'intérêt est la: on arrive très bien à se mettre à la place du "petit homme" et avoir peur des griffes du chat ou de se faire manger par l'araignée ! Maman !!
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Un chef-d’œuvre du cinéma fantastique qui accroche encore le spectateur 55 ans après sa sortie ! Un peu lent à démarrer, il prend un rythme haletant et bluffe par ses effets spéciaux qui ne doivent rien au numérique ! Un scénario bien ficelé, une angoisse communicative devant ce nouvel univers, une compassion qui nous saisit devant des situations quotidiennes…terrifiantes ! Et pas de happy end, pas d’antidote miracle pour film nunuche. Du grand art dans le genre.
    real-disciple
    real-disciple

    81 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2012
    Un classique de la sciene fiction aux trucages excellents, néanmoins le film est plus passionnant dans sa seconde partie c'est à dire au moment où il est très petit et doit utiliser les objets avec intelligence.
    Filmosaure
    Filmosaure

    122 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2012
    L’homme qui rétrécit (The Incredible Shrinking Man) se distingue par des effets spéciaux spectaculaires à l’époque : en 1957, il réussit un tour de force en faisant “rétrécir” un homme à l’écran de manière vraisemblable. Au-delà de cette prouesse technique, le film se révèle un miroir de la société de l’époque et une véritable réflexion philosophique sur la condition de l’Homme.

    SYNOPSIS

    Lors d’une croisière en mer avec sa femme, Scott Carey se retrouve exposé à une sorte de nuage radioactif. Suite à cela, il commence à rétrécir, et ce de plus en plus vite. Toute la science et la médecine du monde semblent impuissantes face à ce phénomène, qui rendra Scott célèbre, alors qu’il devra s’adapter à un monde de géants et à de nouveaux dangers potentiels au sein de son propre foyer.

    ********** ATTENTION SPOILERS – MAIS L’ANALYSE EST COOL

    spoiler: EFFETS SPÉCIAUX ET VRAISEMBLANCES Je t’entends déjà, toi, génération Y blasée par des années de CGI, critiquer les superpositions foireuses et l’attaque du félin géant, mais sache que les effets spéciaux utilisés dans ce film était tout simplement spectaculaires à l’époque. On parle de 1957, les amis (rappelle-toi le Godzilla de 1954). Pour rester réaliste, Jack Arnold utilise énormément de perspective, surtout dans la première partie du film (ce qui lui confère un petit charme “rustique”) : contre-plongées et objets surdimensionnés se donnent la réplique afin de peu à peu faire rétrécir notre héros qui devient bientôt plus petit et léger qu’un enfant de 5 ans. D’autres effets sont bien évidemment utilisés (par exemple, les gouttes d’eau géantes de la cave furent créées en remplissant des préservatifs d’eau et en les lâchant au dessus du sol) dont la superposition d’images, ce qui donne lieu à quelques scènes un peu foireuses (le coup de patte du chat à travers le monsieur ? euh…) que l’on pardonnera, bien sûr. Si de nombreux détails sont pris en compte lors du processus, ce qui est assez bon pour l’époque, la fréquence de sa voix en revanche ne change pas lors de sa métamorphose. A mesure du rétrécissement de ses cordes vocales, la fréquence de sa voix aurait dû devenir de plus en plus élevée jusqu’à être inaudible à l’oreille humaine. Probablement un choix assumé afin de ne pas rendre ce héros trop ridicule ou de rester à son échelle, car au final, nous rétrécissons au même rythme que lui. En revanche, l’araignée de la cave est certifiée 100% arachnide véritable, et ça se voit à sa manière de courir (berk), même si nous avons là une mygale (ou tarentule ? il y a dissention sur la nature de la bête) en lieu et place de “l’araignée domestique” généralement trouvée dans les foyers américains (nos bonnes vieilles tégénaires). UN REFLET DES ANNÉES 50 L’homme qui rétrécit est empreint de peurs collectives, à l’échelle des Etats-Unis, mais également du monde entier, dont certaines se reflètent d’ailleurs souvent dans le cinéma de l’époque. Pour cette dernière, je parle bien évidemment de la terreur du nucléaire, à son paroxysme ou presque à la fin des années 50. De nombreuses oeuvres exploitent ce sentiment (dont Godzilla) à coup de bestioles exposées aux radiations. Nous sommes ici en 1957, et le monde vient d’essuyer le lancement des premiers sous-marins nucléaires (1954), l’implantation de la première centrale (1955) au Royaume-Uni et surtout, la crise du Canal de Suez de 1956, durant laquel l’URSS a menacé d’utiliser l’arme atomique et qui laisse présager des tensions de la suite (Cuba et compagnie au début des années 60). GRAOU Autant dire que cette menace est présente dans tous les esprits, et surtout aux Etats-Unis, en plein maccarthysme et propagande anti-communisme. De surcroît, il est vraisemblable que l’occident commence à se rendre compte des effets de sa pollution, entre autres, par les pesticides. C’est en effet la combinaison de ces pesticides et d’un nuage empreint de radioactivité qui enclenchera le processus de rétrécissement de Scott. Enfin, j’y vois personnellement un reflet des peurs de l’homme face aux débuts de l’émancipation de la femme. Pourtant, les années 50 sont pauvres en féminisme et il faudra attendre les années 60 pour voir un nouveau mouvement de libération. Les hommes pressentent-t-ils ce mouvement ou le film est-il prémonitoire ? A mesure que l’ego de Scott, de même que sa taille, en prend un sacré coup, sa femme en vient à se détacher de lui, à le considérer comme mort, et finalement, de partir de la maison, donc de prendre son envol et son indépendance, en quelque sorte. UN CONTE PHILOSOPHIQUE Enfin, ce qui fait la force de l’oeuvre comparé à de nombreux simples film de science-fiction de l’époque (et d’aujourd’hui…), c’est sa dimension philosophique, clairement assumée lors du dénouement. Cet homme, Scott Carey, est peu à peu dépouillé de son existence en tant qu’homme, puis qu’être humain : sa taille, ses vêtements habituels, sa femme, sa maison. Il est bientôt réduit à l’état d’enfant, puis de petrit animal, puis d’insecte. Mais à mesure de sa déshumanisation, sa volonté ne se fait que plus farouche, ainsi que son instinct de survie. Il préserve au final sa dignité, envers et contre tout, ainsi qu’un mental d’acier, et en vient à mieux comprendre la nature du monde qui l’entoure. C’est au moment de sa rencontre avec les “little people” qu’il entend la phrase qui commencera ce processus de réflexion : “You are only as big as you feel”. C’est ainsi qu’iul comprend qu’il n’y a aucun sens à s’apitoyer sur sa taille, et que la grandeur n’a rien à voir avec la taille physique. A la fin du film, après avoir réalisé qu’il n’y avait ni Bien, ni Mal dans l’univers, juste l’existence (l’araignée qui le pourchasse et passe de l’état de gibier à celui de chasseresse ne fait que poursuivre sa Nature), il se rend également compte que ce n’est qu’en embrassant sa destinée qu’il est libéré. Au sens propre, comme au sens figuré, il s’échappe de sa prison : la prison de la cave car il est assez petit pour passer entre les barreaux, et la prison des conventions de son esprit qui lui affirmait qu’il n’avait pas de place dans ce monde. Cette fin, que l’on retrouve dans certains films de science-fiction des années 50, est un dénouement où la transcendance remplace la destruction. Scott réalise quelle est la place de l’Homme, alors que l’infiniment grand et l’infiniment petit se rejoignent dans un dernier plan où l’on peut observer les étoiles : à l’échelle de l’univers, la taille de l’Homme n’a pas de sens ; c’est simplement l’existence qui compte. Il ne disparait pas (“To God, there is no zero), il se contente de découvrir de nouveaux défis dans l’infiniment petit, et de peut-être devenir l’Homme du futur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 avril 2012
    Vu durant une sortie de classe en primaire... film qui m'a marqué jusqu'à aujourd'hui, vraiment grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2012
    "L'Homme qui rétrécit" est un superbe film américain de 1957 de Jack Arnold avec des truquages époustouflants !
    Jipis
    Jipis

    38 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 janvier 2012
    Sous des traits pathétiques un homme brisé écartelé entre l’infiniment grand et l’infiniment petit tente de comprendre dans une lutte incessante contre des éléments surdimensionnés les lois de l’univers.

    La dramatique expérience de Scott Carey durement touché par une nouvelle condition lui offre l’immense privilège d’activer au maximum les composants d’un esprit méthodique tributaire d’un environnement hostile établissant en parallèle des constats sociologiques, philosophiques et scientifiques suite à la découverte d’un nouveau monde.

    Ciblé par l’expérience initiatique un homme hirsute cogite et s’adapte sur un territoire dont il ne distingue plus les hauteurs.

    L’homme qui rétrécit est un film exceptionnel. On devine dès ses premières images qu’il va tutoyer les anges en acceptant cependant après cette première constatation d’endurer une première vingtaine de minutes un peu mornes ne reflétant nullement un contenu spectaculaire qu’il faut sagement attendre.

    La force de cet opus intelligent se situe au niveau de l’éveil d’un esprit quelconque anéanti dans un premier temps par une perception inconnue puis faisant face avec un courage lui permettant de découvrir de nouvelles valeurs physiques et morales dans une envie de comprendre tout en se dirigeant vers un destin hors norme transformant une tragédie en révélation.

    Le plein d’aventures et d’émotions dans un film sensible sur une condition humaine dégradée permettant à des sens avides de connaissances de collecter de l'information dans un voyage sans retour.
    annatar003
    annatar003

    63 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 novembre 2011
    Classique à part entière de la science fiction, "L'Homme qui rétrécité" est un chef-d’œuvre mêlant fantastique et philosophie à travers un récit narratif extrêmement bien mis au point.
    Histoire banale à première vue d'un homme traversant un nuage radioactif et qui voit par la suite sa taille diminuer progressivement, ce long-métrage d'aventure et de survie que nous offre Jack Arnold a su conserver son sens et sa profondeur littéraire malgré les décennies.
    Musique très bien utilisée dans des décors intéressants créent une ambiance qui parvient à rendre mystérieuse et surprenante une cave des plus standard où se cachent des monstres insoupçonnés.
    Mené de bout en bout par un paradoxalement très grand Grant Williams, "L'Homme qui rétrécit" jouit de la présence d'un acteur à la hauteur de nos espérances.
    Tentant d'être le plus réaliste possible, cette adaptation cinématographique du roman de Richard Matheson donne une immersion total au côté du personnage de Scott dont le destin lui échappe lentement mais surement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 octobre 2011
    cultissime,super effets speciaux histoire tirée du très talentueux Richard Matheson,à voir
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top