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    L'Homme qui rétrécit
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    118 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 juillet 2017
    Je l'ai vu petit, il y a plus de 35 ans et je lui aurai mis 5 étoiles si allo-ciné existait.Bien qu'il se fasse vieux, l'intérêt est la: on arrive très bien à se mettre à la place du "petit homme" et avoir peur des griffes du chat ou de se faire manger par l'araignée ! Maman !!
    this is my movies
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    698 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mai 2017
    Encore une oeuvre formidable des 50's qui s'impose avant tout comme un modèle de narration. Là où nos films modernes prennent des plombes à installer une atmosphère, une ambiance, des personnages, ce film file à vive allure, faisant fi des séquences explicatives qui ralentiraient son rythme et on se retrouve plongé en quelques minutes dans le quotidien perturbant et perturbé de ce petit couple tranquille. Ainsi, le film n'hésite pas non plus à nous balancer une scène devenue mythique au bout de 40 minutes seulement (celle du chat qui poursuit son maître, devenu alors à peine plus gros qu'une souris). C'est pour mieux nous livrer dans la foulée un survival de l'infiniment petit, qui inspirera largement le grand classique des 80's "Cherie, j'ai retréci les gosses". Ainsi, une fuite d'eau devient un raz-de-marée, une araignée devient un ennemi mortel et gigantesque, une épingle devient ne épée précieuse, un trombone fait office de grappin, un espace entre deux planches d'une caisse devient un gouffre infranchissable tandis qu'un gâteau ranci devient enjeu de survie. Effets spéciaux dantesques, montage rythmé, mise en scène inventive, acteurs convaincants, scénario très dense, un film fantastique qui fera date dans son genre et qui fait encore autorité aujourd'hui, à travers des séquences impressionnantes et une inventivité au niveau des défis qui attendent le héros proprement bluffante. Génial de bout en bout. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2017
    The Incredible Shrinking Man - (L'homme qui rétrécit) - Jack Arnold, 1957.

    Véritable chef-d'œuvre du cinéma fantastique...
    Au-delà de sa dimension divertissante initiée par des effets spéciaux très réussis pour l'époque et saisissants aujourd'hui encore, ce film dégage une grande tristesse et soulève de nombreuses questions existentielles sur la nature de l'Homme, sa philosophie, la profonde solitude qui étouffe son existence, et sa petitesse dans un univers qui le dépasse et qu'il ne peut réellement comprendre... Un film vraiment magnifique.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    153 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2017
    The Incredible Shinkring Man est incontestablement devenu un grand classique et un chef d'oeuvre du cinéma fantastique des années 50. Psychose de l'époque marquée par la guerre froide et la peur des radiations, contexte qui produira énormément de films fantastiques de qualité. Une belle facture classique, une construction impeccable, c'est propre et irréprochable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 octobre 2016
    Pour un film des années 1950 je dois dire que j'ai été bluffé. On assiste la à une histoire peu banale : L'histoire d'un homme qui rétrécit à la suite d'une contamination radioactive en se promenant en mer ce qui rend le film intéressant mais aussi à des effets spéciaux impressionnants pour l'époque et très bien réussi.

    Les scènes sont parfaitement bien filmés et dès lors qu'il rétrécit de plus en plus en est passionné et à la fois effrayé par son histoire.
    Il y a des scènes mémorables spoiler: comme le combat avec cette araignée ou encore le chat qui l'attaque
    .

    Grant Williams est très bon ici et le dialogue est parfait, cette voix de l'acteur principal tout au long du film se combine très bien au développement de l'histoire. De plus les décors sont très réussis et on s’ennuie pas un seconde.
    A noter aussi que la fin du film est magnifique et très poétique.

    Un film complètement différents "Du petit monde des Borrowers" ou encore "de Chéri j'ai rétréci les gosses" auquel je l'ai est trouvé bon mais pas autant que celui-ci.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2016
    Au mitan des années 50, alors qu’un possible conflit nucléaire menaçait notre planète, Jack Arnold prenait la radioactivité comme argument du rétrécissement de Scott, son personnage titre… L’homme qui rétrécit est un film de science-fiction qui mêle tragique et comique, fantastique et conte enfantin, récit horrifique et sociétal, dialogues et voix off (récit de l’histoire du protagoniste principal par lui-même). Dans la première moitié du film, le réalisateur traite de l’évolution de la psychologie de son héros (une célébrité devenant pesante, une situation qui force à l’isolement du personnage, etc.). Les thèmes sociaux sont ensuite progressivement abandonnés au profit d’une deuxième partie qui prend la forme d’un film d’aventure avant un épilogue clairement métaphysique : « Même plus petit que tout ce qu’il y a de plus petit au monde, je signifiais encore quelque chose. Pour Dieu, le néant n’existe pas. Moi aussi, j’existe. »
    Le principal intérêt de L’homme qui rétrécit réside dans les multiples trucages utilisés par Jack Arnold pour signifier le rétrécissement progressif de Scott. Parmi les solutions techniques employées, nous pouvons mentionner : des vêtements trop grands, la juxtaposition via split-screen de deux décors dont un est surdimensionné, l’enchâssement de décors, un surdimensionnement des objets du quotidien, l’utilisation de fausses perspectives ou d’arrière-plans zoomés. Ce traitement spécifique est également observé sur la bande son du film avec l’affaiblissement progressif de la voix de Scott face aux autres sons. Le réalisateur américain fait ici preuve d’une grande inventivité.
    Thibault F.
    Thibault F.

    51 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2016
    L'homme qui rétrécit intrigue. Par sa prouesse technique indéniable puisque l'oeuvre constitue à l'avis général, un chef d'oeuvre du fantastique. En effet, les différentes incrustations réalisées en 1957 peuvent paraître par moments grossières (notamment l'attaque de l'araignée) mais la plupart du temps, elles semblent complètement intemporelles (l'attaque du chat est une réussite en tout point permettant d'installer une tension quasi-permanente). Au delà de sa prouesse technique, il est important également de revenir sur son scénario. Si à la base, il semble simpliste, il se relève beaucoup plus délicat et complexe puisque plusieurs pistes de lectures, la plupart philosophique, permettent de réjouir les spectateurs sur la teneur du propos : vision pessimiste de l'homme, de la société de consommation au politique, "l'homme qui rétrécit" parvient sans difficulté à captiver même si l'ensemble aurait mérité un peu plus de développement et moins de longueurs pour un film d'une durée faible de 1h21. Mais ne gâchons pas notre plaisir avec cette pépite de SCFI.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2016
    Film fantastique des années 50, L'homme qui rétrécit aurait pu être kitch, ridicule, daté, dépassé... Il aurait pu l'être. Au lieu de ça on a là un modèle du genre, aux trucages inventifs et vraiment bluffants, avec une histoire parfaitement rythmée (le film est de plus assez court) et surtout une fin assez incroyable (se dire qu'on a pu faire une fin aussi parfaite à l'époque, aussi pleine de sens sans jamais tomber dans le ridicule, ça vend du rêve, ni plus ni moins).
    Un film fantastique plein de charme et qui, encore aujourd'hui, saura séduire.
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2016
    Porté par des effets spéciaux qui fonctionnent encore à l'époque actuelle, l'Homme qui rétrécit a pour meilleur atout sa simplicité. Tourné comme un film d'aventures moderne, on est loin de la surenchère actuelle qui gâche souvent le propos dans les gros blockbusters.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2016
    Les films de science-fiction des années 50 sont, à mon sens, les plus originaux, esthétiques et impressionnants qui soient, et furent, avant la nouvelle vague de métrages inaugurée par la sortie du premier "Star Wars" ( enfin, du quatrième, mais vous m'aurez tous compris ). L'on ne compte plus le nombre de films cultes sortis à cette période : "Destination Lune" ( dont on parlera une prochaine fois ), "Le Jour où la Terre s'arréta", "Le Choc des Mondes", et surtout l'éblouissant "Planète Interdite", que je vous conseille fortement de voir incessament sous peu. Et là, une question se pose naturellement : qu'est-ce qui vaut tellement le coup dans ce film? Tout, tout simplement. Cela sonnait mieux dans ma tête. Anyway. Premièrement, ce qui impressionne plus que toute autre chose, c'est la qualité même du métrage une fois remis dans son contexte historique : sorti en 1957, soit 12 après la WW2, l'oeuvre bluffe de par ses effets spéciaux révolutionnaires, et la justesse du ton employé. Et justement, ce dernier détail est plutôt amusant : le ton même du métrage oscille constamment entre la gravité ( dans le sens grave ) et une certaine naïveté, naïveté qui se retrouve tout le long. Et voyez-vous, ce n'est pas un problème d'effets-spéciaux si le tout s'avère, au départ, du genre comique. Non, c'est surtout que c'est tellement inhabituel d'assister à pareil spectacle, de voir des images du quotidien littéralement démesurées, que l'on s'amusera de voir ce que le personnage subit. Au début, ai-je bien écrit. Après, le ton changera du tout au tout : abandonnant une certaine fougue comique, il tombera complètement dans un pessimisme sans fond, jusqu'à trouver l'illumination ( divine, allais-je écrire ). Car quoi que l'on en pense, un constat vient rapidement aux yeux, constat réellement appuyé par ce que je viens de vous écrire : "L'homme qui rétrécit", bien plus qu'un spectacle éblouissant, se veut surtout être un métrage inoubliable et marquant, le genre qui, même soixante ans après, surprend toujours autant, pour ne point dire qu'il émerveille grandement. Et qu'est-ce qui rend pareil résultat? Premièrement, parlons de l'écriture. Incroyable de matûrité et de tristesse, elle s'avèrera d'une rare finesse, et d'une qualité particulière. Jamais n'avais-je vu de film de cette époque à tel point touchant et marquant. Pour ce qui est de l'intrigue, c'est néanmoins assez dérisoire : la contamination du personnage principal, sans réelle autre justification que celle donnée ( et particulièrement brève ), se révèlera au final bien plus comme un prétexte que toute autre chose : c'est une cause extrêmement simple ( surtout à l'époque de la peur du nucléaire ) qui leur sert de motif pour nous fournir des moments inoubliables. Et là, je pense surtout à la scène de l'araignée. Bluffante, elle impressionne de part sa virtuosité technique, renvoyant au placard tous les pastiches italiens qui pourraient naître de cette franche réussite. Je ne sais pas s'il y en a, je suppose juste, bien que le contraire m'étonnerait grandement connaissant le pillage effectué sur "Destination ! Lune" par ces même italiens. Et justement, la scène de l'araignée nous permet de nous intéresser à une autre qualité du film : sa mise en scène. Jack Arnold, réalisateur très célèbre à l'époque, et à l'origine de nombre de films chroniqués ( "Les Survivants de l'infini" et "La Créature du Lagon noir", par exemple ), fait preuve d'un grand talent; il sait à l'évidence comment montrer des créatures monstrueuses s'agiter à l'écran, et s'est avec plaisir que l'on suit son oeuvre, non sans délectation ( lorsque l'on aime ce genre de métrages vieillissants ). La réalisation est donc forte, intense et énergique et, soulevée par une bande-son grandiose, ainsi que tellement intense qu'elle en deviendra étouffante, le résultat est détonant. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser de ce genre de métrages ci, celui ci ne patit guère de ses effets spéciaux. Marquants à plus d'un titre, ils impresssionnent de par leur virtuosité et leur réalisme, appuyant le fait que oui, l'on se trouve devant un grand film, le genre qui ne s'éteindra pas demain la vieille dans l'imaginaire des fans. Les montages sont excellents ( encore que celui du métrage global s'avère parfois décevant, notamment lors de la première scène ), et une question demeure après le visionnage : comment ont-ils pu bien faire, bon sang de bois de pipe? Les acteurs ajoutent également au résultat final, dont le héros, qui tient le rôle titre avec talent et une pointe suffisante de ce charisme cher aux américains de l'époque, et dont l'on a encore besoin de nos jours. Pour conclure, je souhaiterai réaborder un point sommairement vu plus haut : le détail de l'écriture, sûrement le plus important du métrage ( celui sur lequel il se base le plus, en fait ). Comme vous le savez sûrement, le film est inspiré d'un roman, et même si son scénario n'est pas des plus fouillés, il vaudra surtout pour la qualité de l'enchaînement des évènements et de l'action, mais également pour ses dialogues et sa réflexion sous jacente. Explications. Tout d'abord, il paraît évident que le style du film, sérieux et puissant, vise à nous éblouir. Et c'est principalement ce qu'il parvient à faire : les pensées du héros sont agravantes de profondeur et de tristesse, et un autre constat s'impose rapidement à nous : c'est foutrement réfléchi et bien pensé. Car de ce qui transparaît de ce métrage ci, l'on retiendra surtout la profonde pensée philosophique qui traine un peu de partout : il y a, en effet, une réélle et puissante réflexion sur l'importance de l'homme dans l'univers, sur sa place parmi les autres animaux, et sur le rôle prédominant de l'échelle en ce qui concerne la domination des espèces. Que ferions-nous si les araignées nous dépassaient de plusieurs centimètres, et si une simple pièce s'avérait un véritable champ de bataille? Cet inversement des rôles est particulièrement savoureux et talentueux, le tout relevé par les pensées même du personnage. C'est à n'en pas douter un grand film que l'on tient ici; non seulement de son époque, mais du cinéma en général, et ce tous genres confondus. Surprenant et bluffant, le résultat final nousfera venir un constat en tête : l'on tient une perle, une pépite rare qu'il ne faudra perdre pour rien au monde. Je n'avais jamais vu cela, et je ne le reverrai sûrement jamais pluis ailleurs. Fascinant.
    Estonius
    Estonius

    3 322 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2015
    C'est d'abord un fabuleux film d'aventure, complètement à contre-courant de ce qui se faisait à l'époque, puisque et c'est annoncé dès le départ, le pitch n'est pas "comment va-t-il s'en sortir ?" mais "voilà ce qui m'est arrivé !"). Dans la partie centrale Carey est passif, complètement dépendant de sa femme qui va jusqu'à l'installer dans une maison de poupée, il est diminué non seulement physiquement mais blessé dans sa condition d'homme un peu macho, ce qui le rend agressif, voire odieux. Dans la troisième partie plus basée sur l'action, il s'agit s'une lutte pour la survie mais sans espoir, sans happy-end possible. Les auteurs ont alors cru bons de terminer en philosophant lourdement façon bondieuseries, une maladresse fatale empêchant le film d'accéder au chef d'œuvre. Mais ne boudons pas notre plaisir, le spectacle est saisissant, le séjour dans la cave et vraiment très bien réalisé, quant à l'attaque du gros matou, elle fait partie de ces scènes qui resteront à jamais gravées dans la mémoire des cinéphiles.
    hanson-blonde
    hanson-blonde

    3 abonnés 570 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Très bon film, même à voir aujourd'hui ! Les effets spéciaux sont réussis surtout pour un film des années 50 !
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    116 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Voici un parfait exemple de science-fiction dans le quotidien ; ici, nous ne sommes pas dans l'espace, mais la démonstration est aussi frappante avec ce film étonnant écrit par le romancier Richard Matheson à qui on doit des nouvelles fantastiques (Je suis une légende) et plusieurs travaux pour le cinéma (dont le fameux Duel, de Steven Spielberg). C'est le thème de l'atome qui sert de base à cette histoire, il a marqué le cinéma hollywoodien de SF dans les années 50, mais ici au lieu d'avoir des insectes rendus géants par les mutations des radiations, le processus est inversé : c'est l'homme qui rapetisse ! C'est un Américain paisible qui vit cette aventure cauchemardesque, où au fur et à mesure que sa taille se réduit, le monde qui l'entoure, jadis familier, devient dangereux et menaçant ; chaque objet anodin comme un crayon, une épingle, une paire de ciseaux ayant pris une nouvelle dimension,ils vont lui servir d'armes une fois qu'il sera tombé dans sa cave alors qu'il est réduit à la taille d'un soldat de plomb puis d'un dé à coudre. Ce décor devient alors vaste et terrifiant, dont la locataire est une simple araignée qui pour le héros devient un monstre redoutable. La scène de la lutte pour sa nourriture dans la cave et son combat contre l'arachnide est à ce titre un morceau d'anthologie et occupe le dernier tiers du film. La production fit construire 14 décors de tailles différentes pour accompagner les étapes du rapetissement du héros, et les trucages sont très réussis dans les distances et les proportions des objets en fonction de sa taille. Le roman de Richard Matheson était déjà brillantissime, l'idée renversante, elle était tout à fait destinée au cinéma, en dépit d'un final pessimiste qu'on peut atténuer par une réflexion sur l'infiniment petit. En tout cas, Jack Arnold signe là l'un des films les plus remarquables sur le thème du gigantisme et du nanisme, un véritable petit bijou de science-fiction des années 50.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 142 abonnés 5 123 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2015
    Un début plus mystérieux que fantastique puis aventure et suspense sont au rendez-vous. Un formidable travail a été fait pour les effets spéciaux. En plus d'être petit, cet homme est maintenant isolé du monde et le film est d'autant plus fort. Pour autant la fin n'est pas vraiment en adéquation avec le public visé. Cette vision philosophique est peut-être un peu trop appuyée et on voudrait savoir ce qu'il va advenir de lui.
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 427 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2015
    Film qui n'a pas vraiment vieilli car les trucages étaient vraiment bien faits pour l'époque, le narrateur est captivant tout comme les péripéties du personnage principal. Reste la fin qui peut paraître bizarre, voire onirique pour certains.
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