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    L'Homme qui rétrécit
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    118 critiques spectateurs

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    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2019
    Un classique du cinéma fantastique des années 50 signé Jack Arnold, spécialiste émérite du genre, à qui l’on doit également « la Créature du Lac Noir » ou encore « Tarentula ». « L’Homme qui Rétrécit » est clairement son chef d’œuvre de par la philosophie qui s’en dégage et de ses prouesses techniques.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Un film qui était sans doute une gageure technique à son époque et peut sembler un peu vain et anecdotique aujourd’hui. En tout cas dans sa première partie, avant que le scénario ne tourne au film d’aventure microscopique, plein d’inventivité et de tension. La fin, même si elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, est assez audacieuse et achève de classer ce drôle d’objet au-dessus de la simple série B de science-fiction vintage. Pas un chef-d’œuvre pour autant de mon point de vue, mais un film qui a étonnamment bien vieilli.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2019
    L’homme qui rétrécit est un film qui a beaucoup marqué mon enfance. Je ne sais pas pourquoi mais quand j’avais 5-6 ans je demandais toujours à mon père de me mettre ce film et je me souviens l’avoir vu plusieurs fois. J’aimais beaucoup !
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2019
    Touché par un nuage radioactif, un homme se voit miniaturisé. Un chat, une araignée, une paire de ciseaux, une goutte d'eau... Tout devient un danger imminent. Un bon film bien foutu de survie au climat angoissant.
    philippefleury
    philippefleury

    3 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2019
    Film sympathique et assez passionnant. Il démontre qu'on peut faire la science fiction de qualité avec des bouts de ficelles au contraire des énormes productions américaines totalement vaines.
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 avril 2019
    Un vieux film de science fiction qui a plutôt bien supporté les affres du temps. Mise à part une ou deux scènes où les effets spéciaux font datés (quoi de plus normal pour un film de 57), le reste se tient parfaitement bien grâce notamment au jeu sur les décors. Le scénario est bien construit et plusieurs scènes sont passés à la postérité comme l’attaque du chat ou de l’araignée. L’ancêtre de chéri j’ai rétréci les gosses se regarde encore avec un grand plaisir.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2019
    L'homme qui rétrécit est un très bon film de SF, adaptant le tout aussi excellent classique de la SF littéraire.
    Les effets utilisés pour nous faire croire à la petite taille du personnage principal, ont beau être simples (faire porter des vêtements trop grand, mettre des talons aux autres acteurs, jouer sur la profondeur en filmer de près ce qui doit paraître plus gros à l'écran), voire simplistes, ils sont rudement efficaces. Même si les astuces sont perceptibles, elles sont tout de même très pérennes.
    Il faut dire que l'acteur principal, Grant Williams, sans être atteint de nanisme, n'a pas l'air forcément très grand à la base (ce qui devait sans doute être un atout pour ce rôle). L'acteur joue d'ailleurs très bien et on se prend très rapidement d'empathie avec le personnage.
    Le réalisme est franchement impressionnant : on est vraiment plongé dans le monde du microscopique.
    De mémoire, le film reprend bien les différentes péripéties du livre (c'est d'ailleurs l'auteur lui-même, Richard Matheson, qui signe le scénario du film).
    Les combats contre le chat et contre l'araignée sont épiques et la scène d'escalade dans la cave pour se nourrir est palpitante. Ces scènes sont particulièrement intense pour l'époque (même si la faible vivacité de l'araignée est assez peu crédible).
    spoiler: Tout comme dans le livre, la fin laisse un peu perplexe (le héros trouve une finalité existentielle à sa tragédie), car assez difficile à saisir sur le plan philosophique.

    Une très bonne adaptation.
    marmottefurieuse
    marmottefurieuse

    10 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 décembre 2018
    Un excellent film des années 50 où un homme victime de l'exposition à un brouillard étrange va au fur et à mesure rétrécir pour se retrouver rapidement dans le monde des humains de petites tailles (qui font l'objet de railleries, de voyeurisme déplacé etc...) puis celui des petits animaux (quand il est attaqué par son chat) et enfin pour finir à celui du monde des insectes (avec la lutte contre l'araignée dans la cave). Les effets spéciaux n'ont rien de ridicule pour l'époque, bien au contraire. Une réussite.
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 août 2019
    Richard Matheson aimait bien prendre comme héros l’archétype de l’américain établit pour lui ôter tout cadre sur lequel il puisse avoir prise. Comme dans « I am a legend », « L’homme qui rétrécit » est orphelin de ses repères car suite à un événement scientifique, il se retrouve inadapté dans un monde qui lui est chaque jour un peu plus étranger. Jack Arnold, réalisateur presque oublié de nos jours, doit la rémanence de sa notoriété vacillante à deux films : « La créature du Lagon noir » et justement « L’homme qui rétrécit ». Si le premier est surtout connu pour sa poésie et l’esquisse d’érotisme que dégage la relation entre la belle (en maillot de bain, ça aide) et le monstre, le second l’est pour ses effets spéciaux. Ce qui est à la fois juste, mais aussi très réducteur. En effet, la forme est souvent très brillante, avec les décors démesurés du quotidien et des objets qui ne le sont pas moins : spoiler: clous, épingles, allumettes, paire de ciseaux.
    A cela s’ajoutent certains trucages très réussis, comme le chat s’attaquant à la maison de poupée et la tarentule spoiler: devenue monstrueuse en regard de la taille rétrécie du héros,
    même si quelques incrustes sont voyantes, comme la traversée de cave au pas de course. Mais la force du film est dans ses messages. Sceptiques vis à vis de la science, Matheson et Arnold mettent en scène un homme dont tout espoir de retour à sa vie antérieure est exclu. Le mystérieux nuage n’étant jamais identifié, aucun remède ne fonctionne. Les chercheurs sont intéressés scientifiquement, mais leur attitude glaciale montre à quel point le côté humain leur est interdit. Ainsi le héros condamné va devenir nain. Médiocre, méprisé par son frère, qui n’hésitera pas à s’emparer de l’épouse sur maternelle, infantilisante et castratrice. Il s’échappera et rencontrera une jolie naine (dans le livre de Matheson ils passent la nuit ensemble, plus tard il sera violé par un homosexuel ivre, puis molesté par des teen-agers, mais la production de l’époque a refusé la réalisation de ces séquences), dont l’optimisme volontaire le rendra encore plus lucide et amer. spoiler:
    spoiler: Mais au fur et à mesure qu’il rétrécit, l’homme civilisé, par nécessité, retourne à l’état sauvage, avant qu’une sérénité philosophique l’apaise enfin.
    Matheson a constamment veillé à ce que son scénario ne trahisse pas l’esprit de son livre et accepta l’évocation du divin à la fin, dans une perspective spiritualiste au sein d’une réflexion métaphysique sur le rôle de l’homme dans l’univers. Avec jack Arnold, ils accepteront un découpage linéaire, sans flash back, mais refuseront à la production un happy end (parachuté à l’aide d’un hypothétique remède). Ainsi le réalisateur dans un dernier plan, spoiler: entre l’homme réduit à la taille d’une tête d’épingle, qui va vers l’infiniment petit et le gigantisme de la poussière étoilée d’une nuit d’été,
    offre une plongée métaphysique qui précède celle du « 2001 » de Kubrik, réalisé dix ans plus tard. Assurément un très grand film.
    Marian88
    Marian88

    2 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2018
    Film de 1957 tiré d'un roman de SF de l'écrivain américain Matheson l'année précédente, il s'agit ici d'une réflexion de l'infiniment petit vu d'un être humain avec Grant Williams réduit à la taille d'un Schtroumpf en lutte pour sortir d'un terrible guêpier. Dommage que le sujet n'ait pas été développé plus en profondeur car il manque clairement une grosse demie-heure à la production hollywoodienne spoiler: Pas de happy end si ce n'est quand il retrouve la liberté
    qui cherche à faire passer des valeurs humanistes et des réflexions sur la vie en y réussissant plus ou moins bien.

    On regardera surtout The Incredible Shrinking Man pour la qualité des effets spéciaux incroyables pour l'époque ainsi que tous les objets gigantissimes réalisés pour l'occasion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 août 2018
    Un film de 1957 particulièrement original qui présente le cas d'un homme qui rétrécit suite à l'exposition accidentelle d'un brouillard étrange passager à la suite d'une sortie en bateau. Bien que le film met du temps à "démarrer" après le passage du bateau, la suite est assez attractive quand aux effets spéciaux en place et d'un certain humour (pas sûrement voulu) que présente la situation: L'attaque du chat domestique envers son minuscule maître, en particulier l'information télévisée du présentateur qui prétend que l'homme en question "a été dévoré par son chat"! Une scène qui vaut le coup d'oeil pour rigoler un brin!! (Mais ce n'est pas la fin du film, regardez-le pour savoir la suite!). Donc un film réellement original à voir car si il se veut sérieux, il est finalement divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Une merveille du cinéma de science-fiction sans besoin d’être dans l’espace ni de technicité d’anticipation, je suis bluffé de voir un film en noir et blanc qui réussit à captiver, un début narratif sur l’origine du mal du protagoniste semble rocambolesque, sorti tout droit d’une illusion d’optique, la chance de survie est quasi nulle en cas de radioactivité en temps réel et pourtant, tout porte l’intérêt dans la narration inventif du scénario. Les périples de l’homme sont fascinants sur la nature en question, sa philosophie pessimiste se justifie par la détérioration de son état physique régissant sur sa transformation mentale, au malheur d’être considéré comme un enfant dans l’environnement qui lui parût autrefois familier, routinier, inoffensif, maintenant de plus en plus périlleux, dangereux et angoissant au fur et à mesure que son corps rétrécit. Tel un chevalier face à l’adversité qui l’attend, combattant les monstres avec tout ce qu’il trouve à porter de main, la miniaturisation lui va bien, les besoins sont primordiaux, dont la faim, belle philosophie et final poétique entreprenant une porte ouverte au réponse de la création que seul pourra connaître.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 juillet 2018
    L’idée de faire rétrécir un homme de jour en jour jusqu’à l’infiniment petit excite l’imagination. Pour le réalisateur qui doit porter une telle fabulation à l’écran c’est un peu plus compliqué surtout s’il œuvre au milieu des années 50. Il faut dire tout d’abord que la mise en contexte de L’homme qui rétrécit est parfaitement rendue. Les comédiens jouent la situation incongrue dans un ton hyperréaliste et c’est parfait ainsi. On salive à imaginer ce qui subviendra au personnage à force de rapetisser. Et puis finalement la portion du film qui aurait dû être la plus palpitante s’avère la plus décevante. Il y a bien sûr la scène du chat qui se met dans l’idée de bouffer son maître et celle de la tarentule que Scott finira par empaler, mais dans l’ensemble cela manque de matière. Comme si l'argent devant être investi dans les décors pour chacune des séquences avait contraint la fertilité créatrice qu’offrait le synopsis. Une fois que le personnage se retrouve au sous-sol et qu’il tente de remonter à l’étage, on sent l’action piétinée. Quand la musique devient beaucoup plus dramatique que la situation à l’écran, ce n’est jamais bon signe. La réflexion philosophique que suscite le voyage de Scott vers un univers microscopique est effleurée en conclusion seulement et c’est dom-mage, puisque cela aurait pu nourrir considérablement le contenu du film. On a préféré mettre l’accent sur le potentiel spectaculaire de certaines mises en situation mais cela manque de substance ou de moyens. Belle production tout de même, mais plaisir miniature.
    Chris46
    Chris46

    510 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2018
    " L'homme qui rétrécit " grand classique de la science fiction des années 50 .

    C'est l'histoire d'un homme nommer Scott Garrey ( Grant Williams ) qui à la suite d'une contamination radioactive voit son corps diminuer de taille . Il va alors tenter de s'adapter à ce nouveau monde devenu gigantesque pour lui et de survivre au sein de ce nouveau monde devenu dangereux et hostile nottament quand il va être confronter à un chat qui va le prendre en chasse ...

    " l'homme qui rétrécit " est un classique de la science fiction réalisé par le réalisateur Jack Arnold sortit en salle en 1957 . L'histoire est très originale pour l'époque celui d'un homme qui va se retrouver réduit à la taille d'une fourmi et qui va devoir survivre au sein d'un monde devenu gigantesque pour lui . Ce concept de la miniaturisation était très novateur à l'époque et sera repris par la suite , mais de manière très différente , dans pas mal de films de science fiction ( chérie j'ai rétrécie les gosses , l'aventure intérieure ... ) . L'histoire est très prenante et nous tient en haleine jusqu'à la fin avec ce type qui va tenter de survivre dans ce monde devenu très hostile pour lui nottament quand un chat va le prendre en chasse donnant lieu à son lot de suspense et d'action dans quelques séquences mémorables
    spoiler: ( la confrontation avec le chat , la confrontation avec l'araignée , l'inondation dans la cave , le piège à souris ...)

    . Le film est également un drame poignant . Le drame d'un homme qui voit du jour au lendemain toute sa vie s'écrouler

    spoiler: devenant petit à petit un petit bonhomme qui ne peut plus fréquenter le monde extérieur devenu très dangereux pour lui et qui ne le voie plus que comme une bête de foire et qui va s'isoler totalement des autres dont sa propre femme devenu une géante pour lui avec qui il ne peu plus partager grand chose .

    . " l'homme qui rétrécit " est un film qui mélange habilement science fiction , action , aventure et drame .
    Les trucages qui donnent vie à ce monde gigantesque pour le héros sont très réussit pour l'époque nottament grâce à des décors gigantesque ( canapés géant , table géante , téléphone géant ...) qui donne l'illusion que le monde est devenu gigantesque pour le héros . L'illusion est parfaite . Les effets spéciaux qui donne l'illusion que le héros est tout petit sont très réussit pour l'époque et passe encore très très bien aujourd'hui nottament quand le héros est face au chat qui paraît gigantesque ou quand il est face aux autres personnes comme sa femme qui a une taille normal et qui paraît gigantesque face à lui .
    Le film est porter par un très bon casting avec à sa tête l'acteur Grant Williams qui est excellent dans le rôle de ce type désespérer de la situation dans lequel il se trouve mais qui va devoir se ressaisir et prendre son courage à deux mains pour tenter de survivre dans ce nouveau monde devenu gigantesque et hostile . Il joue vraiment bien son rôle . On s'attache vraiment à ce pauvre personnage enfermé dans une situation effrayante et on ressent vraiment de l'empathie pour lui en se disant qu'on aimerait pas être à sa place .
    Le film se termine sur une fin

    spoiler: très pessimiste avec le héros abandonné de tous ( sa femme et son frère le croient mort ) qui doit maintenant survivre tout seul dans ce nouveau monde et qui se demande si il va continuer à rétrécir et peut être totalement disparaître . Avec une fin très pessimiste sur le reste de l'humanité car comme il le dit si lui a été réduit à la taille d'une fourmi à cause d'une contamination radioactive combien d'autres deviendront comme lui dans le futur suite à d'autre essai nucléaire et d'autre contamination radioactive . Et si finalement il n'était que le premier être des hommes du futur .


    " l'homme qui rétrécit " un classique de la science fiction des années 50 à voir ou à revoir .
    Jahro
    Jahro

    55 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2017
    Dans les années 50, en plein âge d’or du genre, Jack Arnold signe successivement plusieurs pièces maîtresses de la SF : It came from outer space (dont je tairais le titre français, par égard pour vous), deux tiers d’aventures de La créature du lac noir, et puis cet Homme qui rétrécit – qui comme beaucoup d’autres, Je suis une légende, Duel, Le corbeau ou La chute de la maison Usher, s’appuie sur un roman de Richard Matheson. Que je n’ai toujours pas lu. Fichtre. A l’époque, le film a dû hanter les nuits de nombre de ses spectateurs. Mais aussi fait naître quelques vocations dans les effets spéciaux. Hélas, un bon demi-siècle plus tard, ceux-ci apparaissent férocement fades, rudement dépassés, sans même le charme qui leur permettrait d’un peu durer. A la fois court, lent et vaguement soporifique, l’ensemble garde pourtant quelque argument. Sa célèbre et célébrée scène du félin tueur, cet homme qui rapetisse comme une bougie s’éteint, et puis surtout, sa régression permanente, dont on devine à l’avance chaque phase, mais dont l’étonnant pessimisme nous retient toujours dans un fond d’attention. Quand on pense à tous les héritiers de ce Shrinking man, chacun une nouvelle raison de sombrer dans le plus total oubli, on se dit qu’il y a là tout de même un certain quelque chose.
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