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Dr. La Peloche
47 abonnés
242 critiques
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0,5
Publiée le 23 septembre 2013
Remake ou pas, thriller et humour (bidon) ne font pas bon ménage. Les acteurs sont caricaturaux au possible et les dialogues, affligeants, enlèvent toute tension et crédibilité à l'ensemble. Le scénario s'enlise dans une pseudo-enquête pour justifier les (trop rares et ridicules) meurtres commis par l'ascenceur qui culminera avec une déclaration du président des USA himself et des forces spéciales pour attaquer... eux-mêmes ne savent pas trop... Ca court dans tous les sens, il y a du slime, des fantômes puis finalement non ce sont des biopuces... Seuls Ron Perlman et Michael Ironside, dans des rôles plus que secondaires, assurent. Pas suffisant pour sauver quoique ce soit. En fait, "L'ascenceur, niveau 2" posséde absolument tous les défauts du "Godzilla" de Roland Emmerich : de la réalisation outrancière à la photofraphie criarde en passant par le scénario clichetique et les acteurs bouffons. A vomir.
Un remake de qualité moyenne qui se laisse voir mais sans plus avec des personnages guère marquants. Mis à part l'attrait de la présence de Naomi Watts, c'est dispensable.
Très franchement a part 2-3 scènes chocs et la présence de Naomi Watts dans le rôle d'une journaliste, il n'y a pas grand-chose a se mettre sous la dent concernant ce remake de L'Ascenseur. La réalisation manque cruellement de suspense et l'histoire ne propose pas beaucoup d'originalité par rapport à l'original qui était déjà bien moyen.
Remake US moins pourri que je ne le craignais, sans doute parce que Maas reste aux manettes avec quelques idées sympas niveau raccords et toujours ce côté jusqu'au-boutiste pour ce qui est de peindre la violence (torturer des femmes enceintes, pendre un chien, faire chuter un gamin, etc). Après comme pour l'original la phase enquête m'ennuie assez, et ici l'ambiance surnaturelle ne laisse plus beaucoup de place à l'ambiguïté, le propos est posé sur la table, se substituant à sa dérision, quasi prémonitoire du 9/11 (quelques plans troublants) à quelques mois près. Pas désagréable.
Au préambule on pense à un nanar des années nonantes. Au début le film par dans ce sens mais après l'ambiance atypique des années nonantes revient en force et avec plusieurs grandes stars du cinéma comme Naomi Watts. Un scénario bien ficelé. Le film dans une bonne direction et devient très intéressant. Il devient même un film d'auteurs.
Dick Maas réalisa L'Ascenseur en 83 et participa au Festival international du film fantastique d’Avoriaz. Tomber dans l'oubli depuis, bien des années après il remake son long-métrage de façon bien déplorable. Déjà que le premier c'est pas une merveille, mais au moins il tenait en haleine si je puis dire par son inquiétante atmosphère, qui me marqua étant enfant. Ce niveau 2 contient une totale absence d'horrifique et fait plus rire qu'autre chose, c'est pas loin d'être une comédie. L'intérêt ? on va dire de voir jouer la belle Naomi Watts, mais c'est bien mince tout ça. Un ratage, qui plus est le tout dure presque une demi heure de plus que son original.
Cette suite de "L'Ascenseur", enfin qui est en réalité un remake américain, toujours réalisée par Dick Maas et sortie en 2001, n'est franchement pas terrible. Mais pas plus que le premier j'ai envie de dire. Effectivement, celui-ci est certes beaucoup moins crédible que le premier, les ficèles sont beaucoup plus grosses, le bouchon est quelques-fois poussé très loin (comme le Président qui fait un communiqué de presse pour une histoire d’ascendeur, sérieusement ?) mais d'un autre côté, le rythme est beaucoup plus soutenu que dans le premier. Ainsi les qualités de l'un rattrapent les défauts de l'autre et inversement. Par exemple, si on retrouve les mêmes scènes quelques-fois au plan par plan (comme la scène avec la petite fille devant les trois ascenseurs par exemple, par ailleurs bien mieux mise en scène dans le premier), nous avons ici un côté enquête un peu plus poussé. Toujours menée par un réparateur et une journaliste, les deux personnages tentent de percer les secrets de cet ascenseur qui ne cesse de tuer des gens dans une tour new-yorkaise (d'ailleurs assez ironique que le film soit sorti le 6 septembre 2001 aux Pays-Bas, soit cinq jour avant le 11 septembre). Alors oui, on a moins de fond, c'est-à-dire que si le premier était une sorte de critique du consumérisme et du capitalisme, ici cette parabole semble avoir été complètement effacée du scénario. D'un autre côté, ce n'est pas vraiment gênant sachant que ce remake n'a jamais eu la vocation d'être très philosophe mais avant tout de plaire à un public américain (entre gros guillemets), c'est-à-dire plus d'action, de thriller et de gore (l'époque peut le permettre aussi). Concernant le casting, on retrouve Naomi Watts en début de carrière (enfin surtout avant qu'elle ne fasse "Mulholand Drive" et "The Ring" quoi) qui se débrouille comme elle peut et puis James Marshall qui essaye d’insuffler tant bien que mal de la personnalité à son personnage. "L'Ascenseur : Niveau 2" est donc en réalité plus anecdotique que mauvais.
Un bon petit thriller , où l'assassin semble être un ascenceur "fou". Beaucoup de suspens , un peu de frayeur, qui nous tient en haleine jusqu'au bout . Et surtout la belle Naomi Watts, qui n'est pas encore une grande star et qui est superbe et excellente.
Il vous l’a dit, il y a dix-huit ans de cela, à coup sûr que c’est un coup de l’escalier, faites du sport bande de paresseux fainéants, essoufflez-vous dans ce film d’horreur version 2001, du rez-de-chaussée au premier étage moyen hollandais monte au second niveau. C’est pas malin cet ennemi invisible fantôme monstruosité, l’intérieur du système au coeur profond vivant dans ce complexe mécanisme spatialité, un tueur qui décapite et ensanglante toujours autant de mystère depuis les Pays-Bas de Hollande.
Petite nation d’Europe néerlandaise, vers de vaste étendu espacé, où vivent les Buffalo et des chevaux éclaireurs, l’humour noir décapant astique nettoie clean lingette all clear, désinfection de fond en comble, du plafond au mur puis sol. L’aspirateur à passer ces ascenseurs diaboliques esprits malins poussiéreux, shining quelque peu folklorique, service rendu pour dépanner dans ce synopsis, l’esprit critique romantique film fantaisie horreur, la direction de l’immeuble voit mal.
Il y a des traînées de poudre dans ce building, les poules pondent des œufs et du poulet rôti ketchup mustard made in Netherlands for USA.....hahahahaha ! La maintenance a du plain sur la planche out of order elevator down apesanteur sidéral extrême limite tension. En panne dépanneur réparation marié divorcé journaliste glamour américaine versus chic hollandaise, quelque changement, des enquêteurs policiers, la fin garde ses mystérieux ensorcelés néerlandais pour elle, la capricieuse.
"l'ascenseur (niveau 2)" commence de façon assez plaisante, un peu comme si "Christine" avait été recyclée... par contre la fin un peu Rambo / film catastrophe / savant fou m'a nettement mois convaincu...2.5 / 5 pour la 1ere moitié du film
Suite du grand classique de 1983, et bien c'est raté. On ne croit pas du tout un seul instant à l'histoire, encore moins au final. Le scénariste devait être complètement percher. Cependant le film se suit comme un épisode des feux de l'amour et reste sympathique, voire drôle au second degré. A voir un jour de bonne humeur pourquoi pas... ----Septembre 2015----
Malgré une mise en scène plutôt efficace et des acteurs qui se prennent au jeu (que font Naomi Watts et Ron Perlman ici?), l'ascenseur niveau 2 reste un petit film qui a pris la poussière. Le gore de certaines séquences nous offrent quelques élans d'écoeurement, mais le scénario est très décevant, prévisible et souvent caricatural. Certaines moments sont pourtant amusants, mais ce nanar fantastico-horrifique ne mérite que de sombrer dans le trépas.
Un film d'horreur plutot drole et auto parodique. La réalisation de Dick Maas est originale. Le scénario osé est correctement ficelé pour donné suite à des situations digne des "Destination Finale et Compagnie"...