Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Peut-être aurez vous alors, comme nous, envie de reprendre l'ascenseur une nouvelle fois, rien que pour elle (Naomi Watts). On ne saurait vous en blâmer, mais sachez que vous risquez de vous en mordre les doigts. L'horreur reste au rez-de-chaussée.
Cine Libre
par Sébastien Lecordier
Ce remake de l'Ascenceur (...) par le même Dick Maas, qui reprend le scénario originel, est construit parfois à l'identique. Au final, ce curieux projet est annihilé de toute velléité artistique et tend plus vers un énième film pop corn.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Olivier Pelisson
Le réalisateur garde les vieilles ficelles du film de genre et oscille constamment entre l'angoisse et l'enquête basique pour basculer dans le fantastique.
Chronic'art.com
par David Vincent
De cette profondeur horrifique presque involontaire, L'Ascenseur niveau 2 révèle encore plus ses défauts : gags, inserts vulgaires ou bons mots tombent tous à plat.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Télérama
par Cécile Mury
Le nouvel ascenseur copie étage par étage les méfaits de son prédécesseur : écrabouillement, pendaison, décapitation. Mais les portes automatiques ont beau claquer comme des mâchoires, le suspense ne décolle pas du rez-de-chaussée. Même pas peur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Vincent Malausa
Lorsqu'il passe le cap du premier tiers, le film se perd dans une multitude de sous-intrigues comiques, techniques ou sentimentales sans intérêt. Entre effets gore bienvenus et scènes de sitcom, L'Ascenseur 2 ne trouve jamais le ton juste.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Stéphane Brisset
Dix-huit ans plus tard, il (Dick Maas) décide de faire un remake américain de ce film culte, sacrifie le mystère au profit d'explications vaseuses, engage des comédiens médiocres et multiplie les scènes de psychologie inutiles. Mieux vaut oublier cet avatar et revoir l'original.
Aden
Peut-être aurez vous alors, comme nous, envie de reprendre l'ascenseur une nouvelle fois, rien que pour elle (Naomi Watts). On ne saurait vous en blâmer, mais sachez que vous risquez de vous en mordre les doigts. L'horreur reste au rez-de-chaussée.
Cine Libre
Ce remake de l'Ascenceur (...) par le même Dick Maas, qui reprend le scénario originel, est construit parfois à l'identique. Au final, ce curieux projet est annihilé de toute velléité artistique et tend plus vers un énième film pop corn.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Le réalisateur garde les vieilles ficelles du film de genre et oscille constamment entre l'angoisse et l'enquête basique pour basculer dans le fantastique.
Chronic'art.com
De cette profondeur horrifique presque involontaire, L'Ascenseur niveau 2 révèle encore plus ses défauts : gags, inserts vulgaires ou bons mots tombent tous à plat.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
Le nouvel ascenseur copie étage par étage les méfaits de son prédécesseur : écrabouillement, pendaison, décapitation. Mais les portes automatiques ont beau claquer comme des mâchoires, le suspense ne décolle pas du rez-de-chaussée. Même pas peur.
Urbuz
Lorsqu'il passe le cap du premier tiers, le film se perd dans une multitude de sous-intrigues comiques, techniques ou sentimentales sans intérêt. Entre effets gore bienvenus et scènes de sitcom, L'Ascenseur 2 ne trouve jamais le ton juste.
Zurban
Dix-huit ans plus tard, il (Dick Maas) décide de faire un remake américain de ce film culte, sacrifie le mystère au profit d'explications vaseuses, engage des comédiens médiocres et multiplie les scènes de psychologie inutiles. Mieux vaut oublier cet avatar et revoir l'original.