Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
nastygobs
20 abonnés
785 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 6 avril 2009
Jewison nous pond là un exellent film,du grand cinéma qui n'a toujours pas pris de rides malgré les quelques fautes de gout du design des 70's.Le scénario est incroyablement bien écrit,trés subtil sans aucune surenchére.Les scénes "d'action" sont rythmées d'une maniére trés particuliére qui envoute le spectateur avec un suspense riche.James Caan tient là un de ses plus grands roles.On regrettera juste la fin un peu tirée par les cheveux et 1 ou 2 longueurs qui auraient pu étre coupées au montage.
Incompréhension devant ce film réputé culte. Long, long, long. Les scènes de sport sont effectivement violentes mais un peu débile et ne démontre rien de neuf. Une ou deux scènes d'actions noyés sous des tunnels de dialogues. Et la fin? sans rien révéler elle n'apporte pas grand chose à la démonstration. Bof, comme pour "Bullit", incompréhension.
En 1975, le romancier William Harrison adapte sa propre nouvelle intitulée "Roller Ball Murder" pour le grand écran. Réalisé par Norman Jewison (L'Affaire Thomas Crown...), le long-métrage s'appuie sur une vision futuriste où le monde est devenu un ensemble d'États corporatifs, où la famine et les guerres ont disparu et où la populace ne demande qu'à admirer les parties de rollerball, sport ultra-violent où deux équipes s'affrontent dans une arène circulaire et dont le succès réside surtout dans la manière dont sont portés les coups que sur le score final. Un concept alors novateur pour l'époque mais qui, aujourd'hui, s'avère plutôt désuet, à l'image du film entier d'ailleurs... Car si Rollerball se regarde aujourd'hui avec une sympathique saveur d'antan, le long-métrage reste néanmoins peu gâté par son âge et, outre un côté violent et choquant bien dépassés, c'est surtout dans sa mise en scène que le tout souffre d'un coup de vieux. En effet, le pourtant confirmé Norman Jewison n'arrive visiblement pas à conserver un rythme trépidant durant ces deux heures de bobine, comblant le manque de séquences de rollerball (seulement deux au passage) par le dévoilement de l'envers du décor sordide que va découvrir notre héros (James Caan, unique acteur convaincant du film) et quelques séquences de fêtes et d'autres amusements sensément futuristes, hélas foncièrement ratées. On s'ennuie donc un peu trop dans ce film d'action au message encore d'actualité mais qui pâtit non seulement d'un manque de budget conséquent mais aussi de séquences malheureusement trop calmes, les deux seules réelles attractions du film étant bien entendu les fameuses parties en costumes ringards (au point où on en est, n'épargnons aucun détail...) et en patins à roulettes. Le scénario manque donc de punch et l'on sent que Harrison a du mal à élonger sa nouvelle, plus concise et par conséquent plus efficace. Reste de Rollerball un film important dans le genre, source de plusieurs longs-métrages quasi-identiques, qui se regarde toujours avec un certain plaisir coupable.
Ce film est d’une extrême lenteur. J’ai failli m’endormir à plusieurs reprises. Les seuls points forts du film sont les parties de Rollerball, qui sont très réussies.
La force de Rollerball tient essentiellement dans les scènes de sport fulgurant de violence, entre les match l'intrigue est intéressante et décrit un futur tout à fait plausible mais ça manque de suspense. Sinon à part le look et l'ambiance très seventies, Rollerball a plutôt bien vieilli.
Excellent film de science fiction. Même si le film a plutôt mal vieillit, la qualité du scénario et l'intensité des scènes de rollerball le rendent plaisant et agréable à regarder.
Quelle meilleure description de ce monde voué uniquement au jeu quelque qu’ en soit le prix, loin de toutes ces représentations bienheureuses & toujours infiniment simples sinon infantiles , et de plus préfigurant nos « TV réalités » d’aujourdhui ; quand ce n’est pas même ces radios-crochets aux multiples gagnants & aussi frais qu’1 spectacle de Dorothée montée au Cirque d’hiver, dont la séquence inratable sur ce personnage aux buts obscurs tentant en permanence de faire chanter ses participants vedettes en les accusant de tout ce qui peut être mieux tout en leur refusant toute légitime défense, et en se comportant très habilement comme si chacun brûlait de venir chez lui sinon de l’envier - et de plus parfaitement incapable de comprendre - sinon surtout d’accepter - que ces joueurs infiniment dépourvus de tout pouvoir puissent être aussi idéaliste que lui ; à l‘image justement très actuelle de tous ces grands moguls des médias et/ou stars donneurs de leçons ainsi que bien sûr affichant ces vies de famille ultra normales devant les objectifs & bien entendu sous cocaine derrière ! - en est le support exact et central ; quand elle ne nous réjouit pas sur une notion indicible du vide spectral qui entoure ces « héros » qu’on veut surtout humilier et descendre s’ils commencent à penser ; cette toute-puissance de l’argent notamment sur des individus manipulés depuis le début par d’autres périclités par de trop grands pouvoirs en place, sinon infiniment pourris, et cette conscience joint à ces vérités qu’ eux-seuls connaissent, quand on excepte bien sûr & évidemment cette sévère aliénation qui attend leurs frères humains trop affamés et avides d’argent ne percevant que cette « issue » ; ainsi bien sûr, et malgré tout la notion de jeu - de toute façon obligatoire à tout aspirant de quelque « élite » !.. -
Ce film raconte l'histoire d'un sport qui aurait pu exister, ou existera peut etre, mais bon. Le sport resemblerais un peu au hockey mais avec une balle et c'est un peu plus violent. Si ce sport est susceptible de vous interessez, jetez vous dessus, sinon cassez vous !
Même en le remettant dans le contexte des années 70, ce film est mortellement ennuyeux et incroyablement bavard! La plupart des gens ne se souviennent que des scènes de sport, mais elles ne constituent que quelques minutes dans le film. Tout n'est que bavardage pseudo-politico-futuriste franchement soporifique, et la présence de certains très bons acteurs n'y change rien. Il y a tellement d'excellents films de SF et d'anticipation à la même période qu'on se demande bien quelle nostalgie pathologique peut continuer à faire de ce truc pompeux et interminable un "classique" des 70's! Il s'agit peut-être du plus faible des Norman Jewison, beaucoup plus inspiré lorsqu'il s'attaque au thriller politique contemporain.
Un chef d'oeuvre magnifique. Il pourrait bien être le précurseur de beaucoup d'idée d'un futur peut être proche. C'est un film éblouissant, James Caan y est grandiose. On est bien loin ici de la "bouse" de McTiernan qui a fais le remake de ce film. A regarder sans cesse, tant ce film est prenant et d'une qualité de plans incroyables.
Norman Jewison utilise le jeu de Rollerball, sorte de balle au prisonnier version bourrine et sur patins à roulettes, comme trame d'un film bien plus politique que sportif. Si le contexte est le jeu, il ne sert réellement qu'à montrer l'univers dans lequel vivent nos personnages, univers très noir et immoral, où l'argent est roi et l'homme un objet. C'est justement parce que l'intérêt du film n'est pas dans le sport qu'on peut encore le voir aujourd'hui, avec curiosité, parce que tout ceci a quand même particulièrement mal vieilli, mais toujours mieux que le remake minable qu'en a fait McTiernan!!
NON! Là ça ne va pas! Passe encore la vieillerie graphique du film qui a son charme désuet, mais l'histoire en elle-même est d'un ennui mortel, les dialogues sont pateaux, pas drôles, pas émouvants, pas captivants, rien... De plus on ne comprend pas trop ce qui se passe dans la tête de Johnathan, qui semble ne plus cautionner son sport, tout en voulant y participer jusqu'au bout... On en est donc réduit, comme un beauf, à attendre les scènes d'action (3 en tout, dont 1 au début, 1 au milieu , et une à la fin, une construction de scénar très originale donc). C'est le genre de film qui aurait pu passer avec de l'humour, mais là, non, non et non. Soporifique! Je reste donc sur "Death race 2000"
Très bon film de série B qui fait froid dans le dos. Le futur selon ses auteurs n'est pas beau à voir. Heureusement que l'humour "noir" est là pour contrebalancer les passages les plus dur. A voir pour se faire une idée de ce qu'est une bonne série B.