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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Franchement décevant. Même si Le Terminal a toujours eu pour réputation d'être un Spielberg "mineur",on attend toujours quelque chose de magistral de la part de Steven (Spielberg pas Seagal). Ainsi comme il le fut pour Arrête-moi si tu peux,je m'attendais à un film sans prétention,lèger et touchant. Que Nenni,le film est certes (plus que) modeste mais il n'est ni drôle ni émouvant,juste ennuyeux,profondément ennuyeux. On s'impatiente encore plus que dans un aéroport attendant sans cesse "le terminus". Le film tourne en rond et les gags à plat. Plat à l'instar de la réalisation,une réalisation des plus morne,une photographie terne,de rares passages musicaux,...bref l'empreinte Spielberg n'est pas là. Si ce n'est son sempiternel thème de la solitude et son acteur fétiche Tom Hanks qui nous rejoue les Forrest Gump. Qu'importe cette déception devrait vite s'estomper avec l'arrivée imminente de La Guerre des Mondes...et là on l'attend au tournant le Spielberg.
Après “Arrête-moi si tu peux”, Steven Spielberg s’inspire d’une nouvelle histoire incroyable, celle de Mehran Karimi Nasseri, un réfugié iranien qui a vécu dans le terminal 1 de l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle du 8 août 1988 jusqu'en août 2006. Dans le film, Tom Hanks incarne Viktor Navorski, un touriste débarqué à l’aéroport JFK de New-York. Mais à quelques heures de son arrivée, un coup d'État bouleverse sa petite république d’Europe Centrale et fait de lui un apatride. L’homme ne peut plus rentrer et a l’interdiction de franchir les portes de l’Amérique. L’homme n’a d’autres choix que d’errer, se débrouiller et vivre dans les couloirs de l’aéroport. Moins remarquable que la plupart de ses long-métrages, cette oeuvre de Steven Spielberg n’en reste pas moins une petite pépite burlesque et touchante. Le film repose essentiellement sur les épaules d’un Tom Hanks au plus haut de sa forme qui n’hésite pas à jouer de la caricature pour nous faire rire. “Le Terminal” est un huis-clos divertissant tout en exhibant les absurdités de nos politiques sécuritaires. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Avec Le Terminal, Steven Spielberg réalise là une comédie dramatique de qualité. L'histoire nous fait suivre le destin de Victor Navorski qui va se voir confiné dans un aéroport suite à un problème de passeport. La thématique abordé est surprenante mais terriblement efficace car cette situation grotesque permet de nous offrir un joli long-métrage. C'est plaisant à suivre dans son intégralité même si quelques passages sont moins intéressants. En effet Victor va faire tout un tas de rencontres dans cet aéroport ou les passants sont nombreux ce qui va donner lieu à de très beaux moments donnant le sourire mais également quelques larmes. On va le voir s’accommoder et s'approprier ce terminal qui malgré ses frontières, offre un terrain de jeu inattendu. Au casting, Tom Hanks interprète parfaitement ce rôle d'étranger égaré. Son personnage intègre et profondément gentil est touchant. Hélas on ne peut pas être aussi élogieux envers Catherine Zeta-Jones qui campe une hôtesse de l'air au comportement discutable. Son personnage est ambigu ce qui offre une romance en demi-teinte ne fonctionnement pas totalement. Stanley Tucci lui trouve un rôle de directeur hargneux et détestable, très bien interprété. Mais les meilleurs rôles sont ceux des employés la plupart du temps bienveillants avec Victor. Ce sont les passages avec eux les plus savoureux grâce à des échanges d'une belle humanité. A la réalisation, Steven Spielberg donne vie à cet endroit au fil des jours qui découlent grâce à une grande fluidité dans ses mouvements de caméra et des transitions astucieuses. La b.o. composée par John Williams est elle aussi particulièrement agréable avec son thème principal enjoué, accompagnant merveilleusement bien les différentes scènes riches en émotions. On aura plaisir à la réécouter même après le générique de fin. Une fin qui s'achève de belle manière. Pour conclure, Le Terminal est un bon film méritant d'être vu, qui laissera de beaux souvenirs.
Le Terminal, de Steven Spielberg, sorti en 2004, est un film très touchant mettant en vedette Tom Hanks. Inspiré d’une véritable histoire, on suit un apatride coincé malgré lui dans un terminal d’aéroport, sans sortie possible. Plein de bons sentiments, et même trop sur la fin, on suit avec plaisir cette comédie et surtout les histoires secondaires qui gravitent dans ce complexe aéroportuaire. Très sympathique, ce film est parfait pour plaire à la famille. On regrette juste sa longueur excessive et la place trop importante laissée à la relation avec Catherine Zeta Jones. En effet, à partir de leur dîner, le film perd en énergie, des coupes auraient permis au film d’avoir une meilleure note.
Comme à son habitude, Spielberg s'est approprié cette histoire pourtant anodine mais singulière en y injectant toute sa poésie, sa virtuosité cinématographique et son sens du spectacle. De fait, bien que *Le Terminal* soit considéré comme un film "mineur" au sein de son oeuvre, il n'est pas moins un excellent divertissement, parfaitement écrit, rythmé et interprété, il fait partie de ces "films-fables" chers au Spielberg des années 80 et marque donc un contraste avec la série de films sombres et pessimistes du début des années 2000.
*Le Terminal* est donc un film rafraîchissant, à la bande originale comme toujours sublime et à la mise en scène étourdissante. Un vrai régal visuel et sonore qui nous rappelle encore une fois que même lorsque Spielberg fait un "petit" film, il nous assène une leçon de cinéma.
Un film à deux niveaux: le premier mièvre, empli de stéréotypes, et peu intéressant, mais le second, moins attendu, plus profond grâce à la mise à jour de la réalité de la vie d'un aéroport et aux questions d'intégration. En dents de scie donc pour un film qui se laisse regarder sans ennui néanmoins. Reste un casting impeccable, du charme de Catherine Zeta-Jones à la subtilité de Tom Hanks en passant par le cynisme de Stanley Tucci.
Le Terminal s'inspire de la vie de Mehran Nasseri, un réfugié iranien qui a vécu presque 20 ans dans le terminal 1 de l'aéroport de Roissy. On y retrouve un Tom Hanks en touriste venant de Krakhovie et qui se retrouve piégé à l'aéroport en raison d'une guerre civile dans son pays. Il va y faire des rencontres qui vont bouleverser sa vie et lui celle des autres. Ce long métrage est une belle histoire humaine avec un Tom Hanks exceptionnel. Je n'ai rien d'autre à dire de spécial pour laisser chacun vivre ce film comme il le ressentira.
Réussir à faire d’un lieu aussi apathique qu’un aéroport le contexte d’une comédie touchante et de la lourdeur bureaucratique le prétexte d’une fable humaniste était un coup de maitre que seul un virtuose du cinéma comme Steven Spielberg pouvait nous concocter. Alors que l’interprétation clownesque de Tom Hanks est la principale source d’empathie que va ressentir le spectateur envers ce personnage au premier abord pathétique, le message nous présentant l’Amérique à la fois comme une terre de promesses et comme une administration ultrasécurisée reste floue. Inspirée d’une histoire vraie (qui aurait eu lieu en France selon la légende), ce long-métrage particulièrement divertissant est toutefois appesanti par moment par sa sous-intrigue romantique traité avec trop de naïveté.
Il n'y avait qu'un réalisateur hors du commun pour faire rentrer dans un film de 2 heures, l'histoire (vraie) d'un type bloqué dans un terminal d’aéroport ! Spielberg réussit avec brio ce défi. Le charisme et le talent de Tom Hanks remplissent presque à eux seul cet exploit. On ne s’ennuie pas une seconde, les rencontres avec les différentes personne de ce terminal (techniciens, personnels, sécurité) sont incroyable , on est littéralement happé par ces enchainements scénique, les événements de l'histoire sont passionnants. Dirigé par une main de maitre, ce film étonne, émeut et fait sourire. Tout est vrai et cela donne encore bien plus de cachet à cette incroyable folie, c'est un chef d’œuvre !
La mise en scène est comique et on rentre dans une intrigue simple, de la caricature dans la peau de Viktor Navorski issu d'un pays imaginaire d’Europe de l'Est prénommé Krakozhia, sytème étatique effondré après un coup d'Etat, se retrouvant sans nationalité et qui l'oblige à rester coincé à l'aéroport John F. Kennedy de New York pour des détails qui ne s'expliquent.
L'ambiance animé de l’aéroport de New-York est morose, ça ne sombre pas trop pathétique et il n'y a pas d'inondations catastrophiques, un peu de romance avec l'hôtesse d’accueil. Derrière l'histoire partiellement basé de l'Iranien devenu apatride suite à diverses raisons, sa situation détériorée puis traînant d’un pays à l’autre et enfin arrivé à Paris, le fit choisir l'aéroport Roissy Charles De Gaulle pour domicile permanent jusqu’a ce que son parcours arrive à la connaissance d'Hollywood.
Une version cinématographique transformée en parc d'attraction, un environnement aéroportuaire pour des individualistes, des guides d’enchantement pour l’homme guimauve sans encombre jusqu'au bout du tunnel.
Sympathique Film. Mais ce huit clos aéroportuaire est d'une longueur infini. Tom Hanks est drôle un certain temps, mais après on s'ennui car c'est toujours pareil.