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Votre avis sur Le Terminal ?
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Non non et non ! C'est du Spielberg très médiocre ce film ! Basé sur une histoire vraie d'un homme enfermé dans un aéroport Américain (Orly dans la réalité) car son pays ayant été renversé il ne peut ni rentrer dans celui-ci ni entrer aux États-Unis car ceux-ci ne reconnaissent pas le gouvernement de cet état, Spielberg parvient à romancer cette histoire en nous sortant une pseudo-histoire touchante agrémenté d'une touche d'amour impossible. Enfin bref, du travail bâclé et inintéressant, pas crédible du tout. Tom Hanks en fait des tonnes (j'ai trouvé ça étonnant car je le trouve toujours tellement juste) et même si Catherine Zeta-Jones est charmante et excellente cela ne suffit pas à remonter le faible niveau de ce film à la fin tellement prévisible et guimauve. Bref un des plus mauvais films du réalisateur à n'en pas douter !
Avec "Le Terminal", Steven Spielberg nous concocte un vrai petit bijou, très divertissant et vraiment passionnant à suivre. Agréable, joyeux et ludique : voilà comment on pourrait définir en trois mots ce film qui sort des sentiers battus. Cette histoire est tout bonnement géniale et prenante. En effet, le spectateur vit l'intrigue en même temps que le protagoniste principal dont il se sent proche et a même l'impression d'être avec lui dans cet aéroport ! Beaucoup de passages comiques et insolites se mêlent à d'autres moments plus émouvants. Les personnages sont extrêmement sympathiques, complémentaires et attachants. Quant aux acteurs, ils sont tous absolument étincelants et nous offrent des interprétations mémorables. Dans ce sens, il faut mettre en avant la très belle prestation de Tom Hanks, remarquable dans ce rôle atypique. En résumé, le célèbre réalisateur américain signe une œuvre délicieuse qui nous fait passer un excellent moment de cinéma.
Un Tom Hank touchant dans cette comédie tirée d'une histoire vraie qu'on dirait tout droit sortie de l'imagination des scénaristes d'hollywood.
du bon un film exelent avec tous les ingrediens je le conseil
Par son inspiration aux histoire vraie, on voit comment Steven Spielberg sait nous faire vivre ses films. Tout n'est qu'émotion dans ce long métrage.
Ode joyeuse, hymne à la vie. Le Terminal, à la prose très poétique et à l'ambition presque innocente nous entraîne dans une histoire totalement invraisemblable, et au moins tout autant bouleversante. Qui d'autre que l'irrésistible Tom Hanks pour incarner cet attachant et naïf apatride ? A peine surréaliste, plein d'humour et de tendresse, d'affection et de douceur, Le Terminal s'impose un divertissement délicieux, qui sonne comme un message certainement bien trop utopique et manichéen pour qu'on y accorde plus d'importance que ça, mais qui demeure comme ce petit pêché mignon. Vous savez, celui que vous devriez arrêter, que vous vous promettez d'arrêter, jusqu'à vous y complaire à nouveau.
On regrettera donc, et malgré tout, un message un peu creux. Pourtant, la profonde bienveillance de l'oeuvre est louable, comme une lucarne d'air dans un océan de blockbusters débiles. Car Le Terminal, au-delà de son casting XXL, et du prestige de son réalisateur est un film léger, qui nous fait oublier le temps, et les arias. C'est bien là le principal ! Film vivement recommandé !
On regrettera donc, et malgré tout, un message un peu creux. Pourtant, la profonde bienveillance de l'oeuvre est louable, comme une lucarne d'air dans un océan de blockbusters débiles. Car Le Terminal, au-delà de son casting XXL, et du prestige de son réalisateur est un film léger, qui nous fait oublier le temps, et les arias. C'est bien là le principal ! Film vivement recommandé !
Le Terminal prend scénaristiquement le contrepied d'Arrête-moi si tu peux. Dans ce dernier, nous
suivions fébrilement les trajets en tous sens de Frank Abagnale, au travers de cent quarante sept
décors. Tom Hanks courait alors à n'en plus pouvoir; dans Le Terminal, il est malgré lui enfermé en un même lieu tout le long du film. Interdit de territoire américain pour des raisons géopolitiques, Victor Navorski (Hanks) est contraint à l'immobilité dans l'aéroport de New-York, alors que tout autour de lui signale mouvements et voyages: tapis roulants, panneaux d'affichage, hôtesses de l'air. Spielberg se plaît, filmant un lieu de transit par excellence, à peindre l'affairement moderne. Il trouve dans cette bulle qu'est le terminal aéroportuaire un condensé de la vie à l'occidentale: on peut y travailler, y gagner de l'argent, faire des rencontres. Mais c'est aussi un lieu frontière, sécuritaire et
strictement contrôlé: pour Navorski, « America is closed ». Si Spielberg aborde ce sujet par le biais
de la comédie et y trouve le prétexte d'une sorte de fable pour (grands) enfants, comme à son habitude, la critique politique est évidente. En 2004, le cinéaste s'inquiète de la tendance au repli sur soi des Etats-Unis. Spielberg sait manier la caméra, et un aéroport est un lieu cinégénique: on aura droit à quelques beaux plans, et à toute une ambiance. Faisons lui gré si on le souhaite de la dimension politique du film -encore que ce ne soit jamais un gage de qualité artistique. On pourra
pourtant vite oublier Le Terminal, film ennuyeux aux situations non convaincantes voire déplaisantes -est-ce parce que Tom Hanks a joué Forrest Gump que le personnage qu'il incarne
paraît une sorte de « bon sauvage » doucement attardé? Fallait-il cela pour le rendre sympathique?
La fibre enfantine de Spielberg agace ici avec cette équation bonté = naïveté de l'enfance et une
pléthore de bons sentiments. On ne croit ni aux situations ni aux personnages. Mieux vaut revoir
Arrête-moi...
suivions fébrilement les trajets en tous sens de Frank Abagnale, au travers de cent quarante sept
décors. Tom Hanks courait alors à n'en plus pouvoir; dans Le Terminal, il est malgré lui enfermé en un même lieu tout le long du film. Interdit de territoire américain pour des raisons géopolitiques, Victor Navorski (Hanks) est contraint à l'immobilité dans l'aéroport de New-York, alors que tout autour de lui signale mouvements et voyages: tapis roulants, panneaux d'affichage, hôtesses de l'air. Spielberg se plaît, filmant un lieu de transit par excellence, à peindre l'affairement moderne. Il trouve dans cette bulle qu'est le terminal aéroportuaire un condensé de la vie à l'occidentale: on peut y travailler, y gagner de l'argent, faire des rencontres. Mais c'est aussi un lieu frontière, sécuritaire et
strictement contrôlé: pour Navorski, « America is closed ». Si Spielberg aborde ce sujet par le biais
de la comédie et y trouve le prétexte d'une sorte de fable pour (grands) enfants, comme à son habitude, la critique politique est évidente. En 2004, le cinéaste s'inquiète de la tendance au repli sur soi des Etats-Unis. Spielberg sait manier la caméra, et un aéroport est un lieu cinégénique: on aura droit à quelques beaux plans, et à toute une ambiance. Faisons lui gré si on le souhaite de la dimension politique du film -encore que ce ne soit jamais un gage de qualité artistique. On pourra
pourtant vite oublier Le Terminal, film ennuyeux aux situations non convaincantes voire déplaisantes -est-ce parce que Tom Hanks a joué Forrest Gump que le personnage qu'il incarne
paraît une sorte de « bon sauvage » doucement attardé? Fallait-il cela pour le rendre sympathique?
La fibre enfantine de Spielberg agace ici avec cette équation bonté = naïveté de l'enfance et une
pléthore de bons sentiments. On ne croit ni aux situations ni aux personnages. Mieux vaut revoir
Arrête-moi...
Intéressant malgré un cadre d'action restreint, un peu d'émotion, un peu d'humour, l'intérêt pour le spectateur de découvrir l'envers du décors d'un aéroport. Par contre Tom Hanks en fait beaucoup trop, que ce soit dans certaines "cascades", dans les scènes où on le voit regarder la télévision, etc. Cette remarque vaut finalement pour tout le film : un chef de la police qui doit sûrement être la réincarnation de Staline, des dizaines de personnes accompagnant Tom lors de son départ, un avion arrêté par un mec qui fait 1m50 les bras levés, une oeuvre d'art digne des plus belles réalisations de l'islam médiéval pondue par Tom en une nuit, ... bref ce qui fait le défaut de tant de films hamburgers.
Un film que je ne me lasserai jamais de regarder. Une des oeuvres majeures de Spielberg en partant d'une histoire vraie pour en faire un chef d'oeuvre. Chapeau Mr Spielberg.
Désolé pour les fans de Spielberg, et aussi pour ceux de Tom Hanks, mais c'est vraiment mauvais !!
Interminable, mièvre et très rébarbatif, ce film ne fait que véhiculer des clichés stupides. Les acteurs semblent plutôt livrés à eux-même : le grand Tom n'est pas excellent - même si son charisme opère, rassurez vous - et Catherine Zeta-Jones est très anodine. Le film souffre d'un scénario à l'eau de rose : les motivations des personnages, leur contenu est très faible pour que l'histoire soit crédible. Enfin, la fin - je ne dévoilerai rien, bien entendu - est un grand moment de guimauve spielbergienne. C'est atroce par moments.
Seule tire son épingle du jeu la bande originale de John Williams : très jazzy, légère et entraînante, elle apporte un peu de magie dans cette bouillie américaine.
Interminable, mièvre et très rébarbatif, ce film ne fait que véhiculer des clichés stupides. Les acteurs semblent plutôt livrés à eux-même : le grand Tom n'est pas excellent - même si son charisme opère, rassurez vous - et Catherine Zeta-Jones est très anodine. Le film souffre d'un scénario à l'eau de rose : les motivations des personnages, leur contenu est très faible pour que l'histoire soit crédible. Enfin, la fin - je ne dévoilerai rien, bien entendu - est un grand moment de guimauve spielbergienne. C'est atroce par moments.
Seule tire son épingle du jeu la bande originale de John Williams : très jazzy, légère et entraînante, elle apporte un peu de magie dans cette bouillie américaine.
Humour,tristesse et suspense ce film est une pur merveille et surtout avec le magnifique tom hanks.
Film très bien réalisé mais je n'ai pas tellement accroché. Je m'attendais à mieux de la part de Spielberg.
Quelle déception !
Vraiment je crois qu'on a dans ce film les pires aspects que l'on peut retrouver dans les films à gros budget.
C'est long, manichéen, prévisible, excessivement neu-neu, patriote et po-américain à en vomir ...et surtout terriblement répétitif.
Tout est surjoué, les acteurs sont nuls et s'empêtrent dans des clichés pathétiques.
Pourtant je l'ai vu en étant persuadé de passer un bon moment, mais malgré tout ma bonne volonté je suis forçé de dire que l'idée de départ (qui est originale ) a été saccagée par un scénario qui s'essoufle au bout de 30 minutes et par des acteurs qui tournent en rond.
En bref , c'est un film à fuir!
Le type qui s'est réellement retrouvé enfermé dans l'aéroport de Roissy aurait pu vite en sortir ça aurait été cool pour lui ...et aussi pour nous puisqu'on aurait échappé à ce naufrage.
Vraiment je crois qu'on a dans ce film les pires aspects que l'on peut retrouver dans les films à gros budget.
C'est long, manichéen, prévisible, excessivement neu-neu, patriote et po-américain à en vomir ...et surtout terriblement répétitif.
Tout est surjoué, les acteurs sont nuls et s'empêtrent dans des clichés pathétiques.
Pourtant je l'ai vu en étant persuadé de passer un bon moment, mais malgré tout ma bonne volonté je suis forçé de dire que l'idée de départ (qui est originale ) a été saccagée par un scénario qui s'essoufle au bout de 30 minutes et par des acteurs qui tournent en rond.
En bref , c'est un film à fuir!
Le type qui s'est réellement retrouvé enfermé dans l'aéroport de Roissy aurait pu vite en sortir ça aurait été cool pour lui ...et aussi pour nous puisqu'on aurait échappé à ce naufrage.
Tom Hanks est bloque dans le terminal et ne peut pas sortir de l aeroport ni rentrer chez lui. Il va devoir s adapter a cette vie. Tres bon film
Tom Hanks est excellent dans ce film divertissant et gentil qui n'a pas d'autre ambition que de nous faire passer un bon moment, ce qui a été le cas pour moi
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