Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Libération
par Olivier Seguret
Spielberg navigue actuellement dans une des phases les plus intéressantes de sa carrière. Avec The Terminal, il pose à l'Amérique de très embarrassantes questions sur la paranoïa et le racisme, à partir d'une fable lointainement inspirée d'un fameux fait divers.
Première
par Nicolas Schaller
Derrière les thèmes habituels se profilent la vision d'une Amérique terre de fantasmes aux fondations sclérosées et un sens de l'abnégation face aux aléas de la vie assez inédits. Associée à des acteurs parfaits, cette richesse thématique et émotionnelle fait du Terminal un des Spielberg les plus drôles et les plus touchants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Frédéric Strauss
(Pour) Spielberg a choisi de tout emballer dans la légèreté. (...) Avec l'adresse d'un cinéaste qui, dans sa maturité, voit le temps passer, le monde changer, il regarde l'existence avec une certaine nostalgie, une vraie émotion, et il nous la raconte en nous faisant la politesse de nous divertir magnifiquement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) l'éclectique et virtuose Steven Spielberg revient avec une comédie vraiment drôle et, accessoirement, touchante qui exploite toutes les possibilités scénaristiques d'un filon absurde : humaniser un univers aussi impersonnel qu'un aéroport, lieu de rencontres subreptices entre deux avions, où des millions de gens se croisent et se connaissent si mal.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) entre burlesque et mélo. Sorte de Robinson Crusoé seul sur une île surpeuplée, Tom Hanks apporte à son personnage une dignité et un charme étranges, fait de patience, de gentillesse et de débrouillardise. Le portrait est attachant, même si la comédie manque souvent de rythme.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Toujours mou du cadre et du récit, Spielberg surprend quand même avec cette fable qui critique obliquement la politique sécuritaire et l'éthnocentrisme américains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par François Forestier
Le film est chaleureux, sympathique, un peu décevant, et cette version 2004 d' "E.T." est surtout un extraordinaire tour de force pour Tom Hanks, qui se glisse avec bonheur dans la peau de l'éternel errant.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Claire Vassé
The Terminal laisse insatisfait. (...) Le propos est constamment sympathique, démocratique, mais la mise en scène sobre, malgré quelques bonnes idées, est trahie par une photo sans relief. (...) En fait, les qualités du film, réelles, ne sont jamais poussées à l'incandesence.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Aden
par Philippe Piazzo
Spielberg, qui a fait tomber maladroitement sa caméra dans une cuve de Chamallow roses, ne nous épargne rien. La musique ronflante, les raccourcis les plus niais, les rêves les plus neuneus, les mouvements de caméra les plus insistants et le thème préféré du cinéaste, martelé trois fois plutôt qu'une : il ne fait pas bon se sentir abandonné.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Spielberg signe son pire film, un Terminal d'autant plus affligeant que le sujet était en or.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Une blague Burger King, deux ou trois scènes au burlesque lamentable, et le film s'effondre comme une baudruche aseptisée. Tom Hanks simule l'accent russe et se cogne la tête contre les écrans d'information en meuglant comme un demeuré : le point terminal, c'est lui, qui à force de rôles pour clowns à oscars achève d'étouffer les films qu'il tente de porter sur ses épaules.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Acteur et cinéaste en sont bien conscients, qui en font chacun des tonnes. Hanks cherche à mettre les rieurs de son côté, à grand renfort de grimaces et de grognements. Spielberg invite lourdement le public à se moquer de cet énergumène dont les fautes de prononciation entraînent des quiproquos douteux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
On attend toujours beaucoup (trop ?) d'un film de Spielberg. Après " Arrête-moi si tu peux ", cette nouvelle comédie dramatique n'est qu'une oeuvre mineure dans sa carrière. (...) Trop long, ce film inabouti manque de rythme et ne décolle jamais vraiment.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Malgré un casting homogène et un sujet en or, Le Terminal reste un produit trop formaté pour émouvoir, et dont le classicisme désamorce tout espoir de surprise. Le génie de conteur de Spielberg semble ainsi mis en veille et l'on préfèrera oublier cet écart de conduite dans une filmographie trop riche pour supporter tant de banalité.
Télérama
par François Gorin
(Contre) Les comptes sont vite faits : le jeu grossier de Tom Hanks, arrachant à pleines mains la sympathie du spectateur. Une rivalité de pure forme entre ce bon niais coriace et le psychorigide de service qui régente le va-et-vient du terminal. Une poupée hôtesse gracieusement costumée par une compagnie toute heureuse de faire sa pub. Une miniature d'Amérique-terre-d'asile...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Spielberg navigue actuellement dans une des phases les plus intéressantes de sa carrière. Avec The Terminal, il pose à l'Amérique de très embarrassantes questions sur la paranoïa et le racisme, à partir d'une fable lointainement inspirée d'un fameux fait divers.
Première
Derrière les thèmes habituels se profilent la vision d'une Amérique terre de fantasmes aux fondations sclérosées et un sens de l'abnégation face aux aléas de la vie assez inédits. Associée à des acteurs parfaits, cette richesse thématique et émotionnelle fait du Terminal un des Spielberg les plus drôles et les plus touchants.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(Pour) Spielberg a choisi de tout emballer dans la légèreté. (...) Avec l'adresse d'un cinéaste qui, dans sa maturité, voit le temps passer, le monde changer, il regarde l'existence avec une certaine nostalgie, une vraie émotion, et il nous la raconte en nous faisant la politesse de nous divertir magnifiquement.
aVoir-aLire.com
(...) l'éclectique et virtuose Steven Spielberg revient avec une comédie vraiment drôle et, accessoirement, touchante qui exploite toutes les possibilités scénaristiques d'un filon absurde : humaniser un univers aussi impersonnel qu'un aéroport, lieu de rencontres subreptices entre deux avions, où des millions de gens se croisent et se connaissent si mal.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) entre burlesque et mélo. Sorte de Robinson Crusoé seul sur une île surpeuplée, Tom Hanks apporte à son personnage une dignité et un charme étranges, fait de patience, de gentillesse et de débrouillardise. Le portrait est attachant, même si la comédie manque souvent de rythme.
Les Inrockuptibles
Toujours mou du cadre et du récit, Spielberg surprend quand même avec cette fable qui critique obliquement la politique sécuritaire et l'éthnocentrisme américains.
TéléCinéObs
Le film est chaleureux, sympathique, un peu décevant, et cette version 2004 d' "E.T." est surtout un extraordinaire tour de force pour Tom Hanks, qui se glisse avec bonheur dans la peau de l'éternel errant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
The Terminal laisse insatisfait. (...) Le propos est constamment sympathique, démocratique, mais la mise en scène sobre, malgré quelques bonnes idées, est trahie par une photo sans relief. (...) En fait, les qualités du film, réelles, ne sont jamais poussées à l'incandesence.
Aden
Spielberg, qui a fait tomber maladroitement sa caméra dans une cuve de Chamallow roses, ne nous épargne rien. La musique ronflante, les raccourcis les plus niais, les rêves les plus neuneus, les mouvements de caméra les plus insistants et le thème préféré du cinéaste, martelé trois fois plutôt qu'une : il ne fait pas bon se sentir abandonné.
Cahiers du Cinéma
Spielberg signe son pire film, un Terminal d'autant plus affligeant que le sujet était en or.
Chronic'art.com
Une blague Burger King, deux ou trois scènes au burlesque lamentable, et le film s'effondre comme une baudruche aseptisée. Tom Hanks simule l'accent russe et se cogne la tête contre les écrans d'information en meuglant comme un demeuré : le point terminal, c'est lui, qui à force de rôles pour clowns à oscars achève d'étouffer les films qu'il tente de porter sur ses épaules.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Acteur et cinéaste en sont bien conscients, qui en font chacun des tonnes. Hanks cherche à mettre les rieurs de son côté, à grand renfort de grimaces et de grognements. Spielberg invite lourdement le public à se moquer de cet énergumène dont les fautes de prononciation entraînent des quiproquos douteux.
Le Parisien
On attend toujours beaucoup (trop ?) d'un film de Spielberg. Après " Arrête-moi si tu peux ", cette nouvelle comédie dramatique n'est qu'une oeuvre mineure dans sa carrière. (...) Trop long, ce film inabouti manque de rythme et ne décolle jamais vraiment.
MCinéma.com
Malgré un casting homogène et un sujet en or, Le Terminal reste un produit trop formaté pour émouvoir, et dont le classicisme désamorce tout espoir de surprise. Le génie de conteur de Spielberg semble ainsi mis en veille et l'on préfèrera oublier cet écart de conduite dans une filmographie trop riche pour supporter tant de banalité.
Télérama
(Contre) Les comptes sont vite faits : le jeu grossier de Tom Hanks, arrachant à pleines mains la sympathie du spectateur. Une rivalité de pure forme entre ce bon niais coriace et le psychorigide de service qui régente le va-et-vient du terminal. Une poupée hôtesse gracieusement costumée par une compagnie toute heureuse de faire sa pub. Une miniature d'Amérique-terre-d'asile...