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    Hollywood Ending
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    3,4
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    66 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 mai 2011
    Ce n'est certainement pas la le meilleur film de Woody Allen. Certes, le sujet est bien traité et le scénario très original comme d'habitude, mais il manque un petit quelque chose qui fait, d'habitude, de vrais chefs d'oeuvres de tous les films de ce génie. Malgré tout, on rigole bien et une analyse assez profonde des relations amoureuses et du star system est présente
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 décembre 2011
    Un Woody Allen décevant, l'hstoire amène des situations souvent très drôles mais je n'ai pas retrouvé l'atmosphère de ses autres films, cependant on rigole beaucoup et Woody Allen est comme dhabitude génial.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 janvier 2011
    Film réalisé par Woody ALLEN en contrat avec les Studios DREAMWORKS PICTURES. Bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 décembre 2010
    Film divertissant avec beaucoup de satire sur le monde du cinéma mais le film est loin d'être un des meilleurs de Woody.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    191 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2010
    Woody Allen toujours en forme, après bien des années de carrière... Et qui signe un film qui semble assez inspiré de sa propre vie (comme souvent en fait). Les drôles de mésaventures de Val Waxman, cinéaste talentueux mais dont la carrière est en chut libre, séparé de sa femme, et qui se voit confier le projet qui pourrait le refaire monter a la surface... Mais ce malade-imaginaire va devenir subitement aveugle, chose plutôt handicapante quand on doit diriger un film ! Une comédie tres amusante, mais également tres intelligente, qui apporte des métaphores tres intéressantes sur l'évolution d'un homme et sur l'amour, entre-autres... Le scenario est plutôt bien traité, ainsi les personnages, réalistes et intéressants pour la plupart. Un tres bon Woody Allen.
    surfnblue
    surfnblue

    59 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2010
    Encore un film satirique et excellent tourné de manière remarquable.
    Délectable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 août 2010
    Un divertissement sympa, quelques réflexions intéressantes sur le cinéma... et aussi un scénario superficiel, trop de personnages... un simple petit divertissement sans beaucoup de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 juillet 2010
    Val Waxman, cinéaste autrefois renommé mais aujourd'hui exclus des grands circuits du cinéma pour ses frasques névrotiques, est contraint à trouver son gagne-pain dans la réalisation de films publicitaires. Pour ne rien arranger, sa femme Ellie l'a quitté et vit désormais en compagnie de Hal Yeager, célèbre producteur de cinéma installé à Los Angeles. C'est toutefois cette ex-épouse qui donne à notre "star" déchue sa dernière chance. Elle parvient à persuader son amant Hal, le producteur, de confier à Val la mise en scène d'un film à gros budget pour lequel il serait - selon elle - le réalisateur parfait. Hélas, juste avant le début du tournage le pauvre Val devient mystérieusement aveugle, et convenons qu'il est pour le moins difficile de diriger le tournage d'un film lorsqu'on n'y voit plus rien.
    Sur cette mise en abyme souvent invoquée dans le cinéma "Allenien" (cf.: La Rose Pourpre du Caire, Stardust Memories et dans une moindre mesure Broadway Danny Rose), l'ami Woody nous offre un feu d'artifice de situations loufoques et de quiproquos savoureux, le tout savamment emballé dans des dialogues farfelus qui suivent une implacable logique absurde dont il a le secret. Si la mise en scène est brillante et les images fort belles comme à l'accoutumé, le film tire sa vraie réussite du scénario, complexe à souhait jusque dans les moindres recoins, scénario qui déborde d'imagination et sert de tremplin aux plus hilarantes répliques que le réalisateur ait écrites de longue date. C'est cette complexité de la narration, au service de dialogues d'un burlesque époustouflant, qui différencie Hollywood Ending d'une simple comédie "made in" Woody Allen de plus. C'est ce qui en fait tout simplement un grand film.
    Le casting est plus que discret, aucun (très) grand nom ne figure à l'affiche, mais c'est également une sacrée réussite. S'il faut féliciter tous les acteurs et actrices pour leurs prestations et adresser une mention spéciale à Mark Rydell pour le personnage de l'agent artistique, c'est bien entendu Woody Allen lui-même qui crève l'écran dans le rôle du metteur en scène aveugle, névrosé, hypocondriaque et éternel amoureux délaissé. Rôle "type" qu'il endosse ici pour la Nième fois - entre clown et personnage au pathétique comique - mais rôle qui plus encore qu'à l'accoutumé nous fait rire et sourire, selon que le scénario - tendu comme un arc - fait vibrer d'un bout à l'autre du film l'image de cette "névrose" dans des méandres sympathiquement déjantés, quand bien même le rideau tombe sur une catharsis hilarante.
    Comédie jubilatoire que le spectateur déguste avec un plaisir immédiat, mais aussi réflexion sur la création artistique dans son ensemble et sur l'art cinématographique en particulier, Hollywood Ending, s'inscrit en filigrane comme un premier bilan que le réalisateur effectue sur sa vie de cinéaste. Le titre même du film est d'ailleurs évocateur à cet égard, puisque cette réalisation précéda de peu la révérence que Woody Allen tira à sa carrière américaine pour partir d'un nouveau pied tourner en Europe. Sans dévoiler la fin du film, ajoutons à cela la dernière tirade, hommage ironique à la France "des lettres et des arts" (et autodérision du réalisateur face à sa propre "image"), qui vient confirmer sans ambiguïté la rupture que cette production constitue dans le parcours du cinéaste.
    Figurant parmi les meilleurs Woody Allen et film "testament" qui clôture presque trente années de réalisations américaines, Hollywood Ending est une oeuvre qui pétille d'un humour de grande classe. A ranger aux côtés de quelques autres joyaux tels Crimes et Délits ou Annie Hall, et surtout pour de multiples ressemblances, le chef d'oeuvre du réalisateur : La Rose Pourpre du Caire.
    StanislasBrown
    StanislasBrown

    9 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juillet 2010
    Val Waxman, cinéaste autrefois renommé mais aujourd'hui exclus des grands circuits du cinéma pour ses frasques névrotiques, est contraint à trouver son gagne-pain dans la réalisation de films publicitaires. Pour ne rien arranger, sa femme Ellie l'a quitté et vit désormais en compagnie de Hal Yeager, célèbre producteur de cinéma installé à Los Angeles. C'est toutefois cette ex-épouse qui donne à notre "star" déchue sa dernière chance. Elle parvient à persuader son amant Hal, le producteur, de confier à Val la mise en scène d'un film à gros budget pour lequel il serait, selon elle, le réalisateur parfait. Hélas, juste avant le début du tournage le pauvre Val devient mystérieusement aveugle, et convenons qu'il est pour le moins difficile de diriger le tournage d'un film lorsqu'on n'y voit plus rien.
    Sur cette mise en abyme souvent invoquée dans le cinéma "Allenien" (cf.: "La Rose Pourpre du Caire", "Stardust Memories" et dans une moindre mesure "Broadway Danny Rose"), l'ami Woody nous offre un feu d'artifice de situations loufoques et de quiproquos savoureux, le tout savamment emballé dans des dialogues farfelus qui suivent une implacable logique absurde il a le secret. Si la mise en scène est brillante et les images fort belles comme à l'accoutumé, le film tire sa vraie réussite du scénario, complexe à souhait dans les moindres recoins, qui déborde d'imagination et sert de tremplin aux plus hilarantes répliques que le réalisateur ait écrites de longue date. C'est cette complexité de la narration, au service de dialogues d'un burlesque époustouflant, qui différencie "Hollywood Ending" d'une simple comédie made in Woody Allen de plus. Et qui en fait tout simplement un grand film.
    La distribution des rôles est également une très belle réussite. S'il faut féliciter tous les acteurs et actrices pour leur prestation et adresser une mention spéciale à Mark Rydell pour le personnage de l'agent artistique, c'est bien entendu Woody Allen lui-même qui crève l'écran dans le rôle du metteur en scène aveugle, névrosé, hypocondriaque et éternel amoureux délaissé. Rôle "type" qu'il endosse ici pour la Nième fois - entre clown et personnage au pathétique comique - mais qui plus encore qu'à son habitude parvient à faire rire et sourire, selon que le scénario est lui-même "névrosé", ou pour le moins... sympathiquement déjanté.
    Grande comédie que le spectateur déguste avec un plaisir immédiat, mais aussi réflexion sur la création artistique dans son ensemble et sur l'art cinématographique en particulier, "Hollywood Ending", s'inscrit en filigrane comme un premier bilan que le réalisateur effectue sur sa vie de cinéaste. Le titre du film est d'ailleurs fort évocateur à cet égard, puisque la réalisation correspond peu ou prou à la date de la révérence que Woody Allen tira à sa carrière américaine pour partir d'un nouveau pied tourner en Europe.
    Conclusion : Figurant parmi les meilleurs Woody Allen et film "testament" à presque trente années de réalisations américaines, "Hollywood Ending" est une oeuvre qui pétille d'un humour de grande classe. A ranger aux côtés d'autres chefs d'oeuvre tels "Crimes et Délits", "La Rose Pourpre du Caire" ou bien encore "Annie Hall".
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 juillet 2010
    Toujours aussi soucieux de s’appliquer à définir ce qu’est la comédie aux Etats-Unis, voilà Woody Allen s’attaque à ce qu’il connaît peut-être de mieux, le cinéma. En plongeant son scénario aux mains d’une productrice qui cajole un artiste caractériel en lui offrant la possibilité de se refaire par l’intermédiaire d’un script qu’elle a elle-même écrit et qui, sans l’aide d’un professionnel, déboucherai sans doute sur un échec, il tente de jouer sur les rapports de sélection, les choix de casting et l’incompréhension d’un public qui se traduit par l’engouement d’un autre parfois avec lourdeur dans un style proche de la caricature dans le jeu des acteurs rehaussés, heureusement par des phrasés à la limite de l’évolution. La femme du metteur en scène qui va se tremper dans la riche piscine d’un producteur à Beverley Hill ? C’est convenu que ce ne peut qu’être un épisode psychotique dans sa vie. Qu’il soit obligé, plaqué, de boucler ses fins de mois en tournant des pubs déodorants au Canada et qu’il négocie des peaux de bêtes avec un trappeur entre les prises ? Il n’y a rien de déshonorant à cela et nombreux sont ceux qui ont commencé petit, surtout dans les milieux où Orson Welles n’est guère apprécié. Mais qu’il nous fasse le coup des mains qui s’agitent devant les yeux du psycho somatiquement malade de cécité ou qui rate une marche dans le décors pour se retrouver deux étages plus bas, c’est kitch ou cheap comme il vous plaira, mais en tous cas on préfère quand c’est fait par les Marx Brothers, Buster Keaton ou Chaplin, ça fait moins téléphoné. La caméra devient un dard collé sur Woody Allen où il n’y en a plus que pour lui à l’écran, lui si frêle, si à côté, multiplement nominé aux Oscars dont on ne sait toujours pas réellement ce qu’ils nominent, le magna du ciné-psy-show hanté par des convulsions névrotiques s’extirpe assez difficilement de son point de vue cinématographique lorsqu’il se sauve par la petite porte des studios pour grosses productions fleuves lorsqu’un magazine parisien honore de gloire son dernier navet fait par un homme aveugle. Ironie toujours, comme un appel lancé aux étoiles cannoises d’un firmament où ne parviendra jamais Woody Allen. Se croyant au chaud dans un décors de plateau de tournage il se croit en sécurité, mais les «amourettes-tromperies-travail bâclés» ne suffisent pas pour tracer quelque chose de neuf dans le cinéma de Woody Allen qui continuera à plaire aux uns et finir par agacer les autres. Woody Allen voudrait nous donner une impression de profondeur de champ et nous montrer l’ampleur de sa connaissance cinématographique en figeant sur un plan séquence «catalogue» le plateau de tournage et le pied d’une grue oubliant presque qu’il faut la faire bouger cette caméra. Et là, c’est plutôt d’immobilisme dont sait faire preuve Woody Allen et on est loin d’un des plus spectaculaires mouvement de grue de l’histoire du cinéma comme avec Jerry Lewis hissé sur la plate forme du décor de The Ladie’s Man par exemple.
    On peut prendre des pilules pour ne pas être mouillé – à force de tellement en bouffer, il doit se dire que cela doit bien exister -, aller se faire soigner un cancer de la peau sous prétexte qu’il faille abréger une conversation téléphonique – l’amant débordé de travail en prod’ se croit ainsi comique -, diriger un plateau de tournage malgré qu’on soit aveugle (cela existe assurément ou existera) et ne pas pour autant faire un bon film. Même si, au demeurant, «ce» Woody Allen est mieux conduit, c’est que sans aucun doute, beaucoup se sont ennuyés aux précédents mais ce n’est pas pour autant un excellent film. Peut-être un bon Woody Allen qui restera toujours envers et contre tous du Woody Allen par lui-même et en lui-même qui, au fond de sa personne, ne pourra jamais s’endormir dans son Hollywood & sur sa Ville qui ne dort jamais, en se marant presque de nous voir s’en bercer jusqu’au profond sommeil à chacune de ses projections en cours de séance. Il ne l’a peut-être pas analysé le cinéma mais il l’a eu et il fait figure d’emblème comme un nounours plein d’Oscars. Je commet sûrement l’erreur de la journaliste du film en me sentant imbu et prétentieux, tout nimbé du pouvoir d’auto destruction qui porte les pires critiques assassines aux vaniteux mais Woody Allen ne peut pas me convaincre étant donné qu’il représente une montagne de balourdise et témoigne d’un manque de fraîcheur dans ce qu’il espère montrer à l’écran et qui se réduit plus à du téléfilm qu’à du grand cinéma. Indéniablement il faut néanmoins reconnaître qu’il se fait à (et en) merveilles, le porte parole d’une Amérique dont chacun des personnages porte le traumatisme de la maladresse et de la société qui vous écartèle entre la centrifugeuse et le bien-être, la fuite ou l’aveuglement, la tension ou la détente. La tension ou la détente ? Pour ma part, j’en garde et en retiens son éventuelle capacité à transformer, non sans un certain alarmisme, les systèmes qui nous entourent et nous confrontent.
    Sildenafil
    Sildenafil

    70 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2010
    Bon mais pas le meilleur de Woody Allen, celui-ci prête plus à sourire qu'à rire (sauf le final bien sûr...). A noter qu'il ne s'inscrit pas au hasard dans sa filmographie, découlant de Tout le monde dit I love you et annonçant Scoop.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 février 2010
    Une nouvelle comédie légère de W.A. réussie !
    plaxis
    plaxis

    6 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2010
    Un Woody Allen un peu faiblard même si on passe tout de même un moment agréable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 février 2010
    L'histoire du tournage d'un film par un réalisateur "fini" aveugle psychosomatique. C'est du Woody en puissante. De très bons dialogues, des situations impossibles et des acteurs qui jouent à la perfection. Bien sûr on pourra reprocher le côté souvent caricatural de l'entreprise (l'artiste névrosé, le soit-disant gout des français, le méchant producteur au brushing impeccable - qui cela dit n'est pas si méchant que ça, etc.) mais l'ensemble reste bien mordant avec une belle "auto-critique" de la propre carrière de Woody Allen.
    Fabienne
    Fabienne

    8 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2009
    un bon film avec des dialogues sublimissimes comme je les aime.
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