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    Hollywood Ending
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    3,4
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    66 critiques spectateurs

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    brunocinoche
    brunocinoche

    76 abonnés 1 082 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2012
    Sympathique satire du monde d'Hollywood par un Woody Allen particulièrement facétieux dans ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 février 2010
    L'histoire du tournage d'un film par un réalisateur "fini" aveugle psychosomatique. C'est du Woody en puissante. De très bons dialogues, des situations impossibles et des acteurs qui jouent à la perfection. Bien sûr on pourra reprocher le côté souvent caricatural de l'entreprise (l'artiste névrosé, le soit-disant gout des français, le méchant producteur au brushing impeccable - qui cela dit n'est pas si méchant que ça, etc.) mais l'ensemble reste bien mordant avec une belle "auto-critique" de la propre carrière de Woody Allen.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 août 2010
    Un divertissement sympa, quelques réflexions intéressantes sur le cinéma... et aussi un scénario superficiel, trop de personnages... un simple petit divertissement sans beaucoup de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juin 2011
    Même si ce film n'est pas un chef d'oeuvre les dialogues sont savoureux. La musique est pas mal, on passe un bon moment.
    L'idée est pas mauvaise et très bien mené.
    L'humour de W. Allen toujours aussi ravageant, la musique toujours aussi bonne.
    On reconnait bien le style D'Allen.
    Mais il manque quelques choses, ou quelques choses en trop dans ce film.
    Un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 mars 2014
    "Hollywood Ending" est en demi-teinte : autant l'histoire autour de la réalisation du film est intéressante, avec des échanges incisifs et originaux, autant l'intrigue romantique est trop faible, trop évidente. Pareil concernant les gags : quelques uns sont bons, comme lorsque Waxman sort ses fourrures du sac en rentrant du Canada, tandis que d'autres son souvent patauds et répétitifs. Les acteurs? Même chose : Woody Allen est en forme et joue très bien l'aveugle, mais le second rôle de la journaliste-vipère est d'une platitude étonnante.. Pas mal, mais pas transcendant.
    plaxis
    plaxis

    6 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2010
    Un Woody Allen un peu faiblard même si on passe tout de même un moment agréable.
    Fabienne
    Fabienne

    8 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2009
    un bon film avec des dialogues sublimissimes comme je les aime.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 mai 2011
    Ce n'est certainement pas la le meilleur film de Woody Allen. Certes, le sujet est bien traité et le scénario très original comme d'habitude, mais il manque un petit quelque chose qui fait, d'habitude, de vrais chefs d'oeuvres de tous les films de ce génie. Malgré tout, on rigole bien et une analyse assez profonde des relations amoureuses et du star system est présente
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 janvier 2011
    Film réalisé par Woody ALLEN en contrat avec les Studios DREAMWORKS PICTURES. Bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 juillet 2010
    Toujours aussi soucieux de s’appliquer à définir ce qu’est la comédie aux Etats-Unis, voilà Woody Allen s’attaque à ce qu’il connaît peut-être de mieux, le cinéma. En plongeant son scénario aux mains d’une productrice qui cajole un artiste caractériel en lui offrant la possibilité de se refaire par l’intermédiaire d’un script qu’elle a elle-même écrit et qui, sans l’aide d’un professionnel, déboucherai sans doute sur un échec, il tente de jouer sur les rapports de sélection, les choix de casting et l’incompréhension d’un public qui se traduit par l’engouement d’un autre parfois avec lourdeur dans un style proche de la caricature dans le jeu des acteurs rehaussés, heureusement par des phrasés à la limite de l’évolution. La femme du metteur en scène qui va se tremper dans la riche piscine d’un producteur à Beverley Hill ? C’est convenu que ce ne peut qu’être un épisode psychotique dans sa vie. Qu’il soit obligé, plaqué, de boucler ses fins de mois en tournant des pubs déodorants au Canada et qu’il négocie des peaux de bêtes avec un trappeur entre les prises ? Il n’y a rien de déshonorant à cela et nombreux sont ceux qui ont commencé petit, surtout dans les milieux où Orson Welles n’est guère apprécié. Mais qu’il nous fasse le coup des mains qui s’agitent devant les yeux du psycho somatiquement malade de cécité ou qui rate une marche dans le décors pour se retrouver deux étages plus bas, c’est kitch ou cheap comme il vous plaira, mais en tous cas on préfère quand c’est fait par les Marx Brothers, Buster Keaton ou Chaplin, ça fait moins téléphoné. La caméra devient un dard collé sur Woody Allen où il n’y en a plus que pour lui à l’écran, lui si frêle, si à côté, multiplement nominé aux Oscars dont on ne sait toujours pas réellement ce qu’ils nominent, le magna du ciné-psy-show hanté par des convulsions névrotiques s’extirpe assez difficilement de son point de vue cinématographique lorsqu’il se sauve par la petite porte des studios pour grosses productions fleuves lorsqu’un magazine parisien honore de gloire son dernier navet fait par un homme aveugle. Ironie toujours, comme un appel lancé aux étoiles cannoises d’un firmament où ne parviendra jamais Woody Allen. Se croyant au chaud dans un décors de plateau de tournage il se croit en sécurité, mais les «amourettes-tromperies-travail bâclés» ne suffisent pas pour tracer quelque chose de neuf dans le cinéma de Woody Allen qui continuera à plaire aux uns et finir par agacer les autres. Woody Allen voudrait nous donner une impression de profondeur de champ et nous montrer l’ampleur de sa connaissance cinématographique en figeant sur un plan séquence «catalogue» le plateau de tournage et le pied d’une grue oubliant presque qu’il faut la faire bouger cette caméra. Et là, c’est plutôt d’immobilisme dont sait faire preuve Woody Allen et on est loin d’un des plus spectaculaires mouvement de grue de l’histoire du cinéma comme avec Jerry Lewis hissé sur la plate forme du décor de The Ladie’s Man par exemple.
    On peut prendre des pilules pour ne pas être mouillé – à force de tellement en bouffer, il doit se dire que cela doit bien exister -, aller se faire soigner un cancer de la peau sous prétexte qu’il faille abréger une conversation téléphonique – l’amant débordé de travail en prod’ se croit ainsi comique -, diriger un plateau de tournage malgré qu’on soit aveugle (cela existe assurément ou existera) et ne pas pour autant faire un bon film. Même si, au demeurant, «ce» Woody Allen est mieux conduit, c’est que sans aucun doute, beaucoup se sont ennuyés aux précédents mais ce n’est pas pour autant un excellent film. Peut-être un bon Woody Allen qui restera toujours envers et contre tous du Woody Allen par lui-même et en lui-même qui, au fond de sa personne, ne pourra jamais s’endormir dans son Hollywood & sur sa Ville qui ne dort jamais, en se marant presque de nous voir s’en bercer jusqu’au profond sommeil à chacune de ses projections en cours de séance. Il ne l’a peut-être pas analysé le cinéma mais il l’a eu et il fait figure d’emblème comme un nounours plein d’Oscars. Je commet sûrement l’erreur de la journaliste du film en me sentant imbu et prétentieux, tout nimbé du pouvoir d’auto destruction qui porte les pires critiques assassines aux vaniteux mais Woody Allen ne peut pas me convaincre étant donné qu’il représente une montagne de balourdise et témoigne d’un manque de fraîcheur dans ce qu’il espère montrer à l’écran et qui se réduit plus à du téléfilm qu’à du grand cinéma. Indéniablement il faut néanmoins reconnaître qu’il se fait à (et en) merveilles, le porte parole d’une Amérique dont chacun des personnages porte le traumatisme de la maladresse et de la société qui vous écartèle entre la centrifugeuse et le bien-être, la fuite ou l’aveuglement, la tension ou la détente. La tension ou la détente ? Pour ma part, j’en garde et en retiens son éventuelle capacité à transformer, non sans un certain alarmisme, les systèmes qui nous entourent et nous confrontent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mars 2007
    Dans la lignée de « Celebrity » un film sur le Hollywood, et plus particulièrement sur le cinéma, la création. Il y a de très bons moments, beaucoup de burlesque, mais aussi quelques passages un peu mous. Ca reste un bon film malgré tout.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 août 2010
    un film tout simplement hilarant ou Allen nous fait eclater de rire grace a son personnage et a la situation dans laquelle il est embarqué.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Woody Allen au sommet !
    Son rôle est complètement délirant et le film est bourré de répliques cultes.
    Les acteurs sont géniaux, Allen en tête.
    Éclats de rire garantis pour les fans. L'un de mes préférés.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 février 2010
    Une nouvelle comédie légère de W.A. réussie !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 octobre 2008
    génial génial génial !!! Des dialogues et des situations on ne peut plus comiques !!! Peut être mon préféré du génialissime Woody ! :D
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