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Antoine Mérignac
13 critiques
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4,0
Publiée le 22 août 2022
indémodable même 40 ans après, drôle et réussi. Maria Pacôme et Michel Galabru au top. Pareil pour les brillants élèves de terminale ancêtres d'Anatole Latuile. Blague sur blague et bêtise sur bêtise... un excellent classique qui n'a pas pris une ride. Un peu de mal à comprendre l'intérêt de la scène champêtre (prendre un peu l'air ?).
Demeurée culte, cette comédie (une de plus) de Claude Zidi démarre plutôt poussivement pour monter en régime de manière irrésistible. Empilant les gags bon enfant et sans chercher plus loin qu'un simple rire décomplexé, les Sous-Doués ont surtout contribué à révéler Daniel Auteuil sur le plan comique où il va exceller pendant la décennie 80, et à fournir quelques séquences-cultes qui rattrapent un peu un scénario très léger et une galerie de personnages pas très fouillée et donnant dans la caricature facile. Néanmoins, on rigole toujours, alors...
Je mets la moyenne car le film n'est pas mauvais, il a énormément de longueurs et quelques blagues assez drôles.
dans ce cas, il faut dire que c'est moyen.
En fait, je pense surtout que le film a mal vieilli et que notre époque a vu fleurir des humoristes capablent de déclencher l'hilarité en 5mn maximum, et non pas sur tout un film.
Je critique avec mes yeux d'années 2022 : Je trouve que le film est malheureusement un peu dépassé. Daniel Auteuil reste top dans le film, mais c'est un peu ringard malheureusement. J'ai quand meme un peu ris et j'avais deja vu le film quelques fois 2,5/5
Sorti en 1980, Les Sous-Doués fait l'inventaire des tricheries des enfants nés dans les années 1960, remises au goût du jour avec les nouvelles technologies du moment (caméra miniature, micro portatif, magnétoscope, etc.). Les gags s'enchaînent bien, il faut cependant faire preuve d'indulgence sur la crédibilité de certaines scènes. Daniel Auteuil, du haut de ses trente ans à l'époque, campe un Bébel sensé avoir déjà tenté le bac quatre fois, donc ayant au mieux vingt-et-un ans. Là encore soyons indulgents car il sort nettement du lot, préfigurant la belle carrière qu'il a eue ensuite. Une pensée quand-même pour cet élève qui refuse d'apprendre l'anglais au prétexte que les machines le parlent pour lui. Plus de quarante ans plus tard, on n'a toujours pas réussi à faire des traductions en temps-réel suffisamment propres pour être généralisées, et on continue d'apprendre les langues, certes avec de nouvelles méthodes mixant l'intelligence artificielle et la gamification. On se demande ce que pourrait donner Les Sous-Doués passent le bac en 2022 !
Un film français qui est rentrer dans le classement des film culte notamment grâce à son humour et son ton très léger, sobre et humoristique qui devrait plaire à de nombreuses personne ce qui est pas mal pour un film grand public. Une histoire simple à comprendre, et à suivre des fin acteur en second rôle et en principaux comme Daniel Auteuil qui crève l'écran ici dans ce rôle comique Mme si par ma suite de ca carrière il n'aura pas forcément consacrer un place importante à la comédie. Un film court qui pass plutôt rapidement , un me réalisation qui a des lacune et mal à suivre parfois , avec quelque petit trouve dans le scénario par ci par là qui peuvent être ennuyeux à quelque reprise . Claude Zidi signe l'une de ses meilleures comèdies avec des gags bon et surtout inoubliables comme cette machine à apprendre la comédie ne va pas chercher bien loin,mais elle fonctionne c'est le principal.
résumer : Bébel et ses petits camarades du Cours Louis XIV, sont réputés pour être des fainéants et d'invétérés farceurs. Leur lycée est même dernier du classement au baccalauréat avec 100% de recalés à l'examen! Après une plaisanterie qui tourne mal, les trublions se retrouvent obligés d'obtenir leur bac à tout prix, tout en rusant et trichant, s'ils ne veulent pas finir en prison...
Une comédie française qui est devenue un classique au gré de ses multiples rediffusions télé. Mais que vaut elle vraiment ? Les blagues ne volent pas très haut, côté scénario, il ne faut pas s'attendre à guère mieux le film se contentant d'aligner des scènes plus ou moins drôles. Du côté des acteurs, on a une bande de jeunes qui débute dans le métier (dont Daniel Auteuil) et leur prestation restera loin d'être inoubliable. Seul Michel Galabru relève le niveau même si son rôle reste assez marginal. Vous l'aurez compris, cette comédie est loin d'être géniale. Est-ce qu'elle mérite d'être vue ? Pas spécialement si ce n'est pour son côté "classique du cinéma français". Si ce type "d'étiquette" ne vous intéresse pas, il y a beaucoup mieux à se mettre sous la dent.
quelques gags qui font sourire mais l'ensemble est tellement "gros" que ça devient vite lassant. c'est plus une série de sketchs qu'un vrai film même s'il y a une histoire
Les sous doués est une comédie culte des années 80 sur une promotion d une boîte à bac parisienne qui a réussi l exploit d avoir 100% d échec au bac. On y retrouve un Daniel Auteuil au début de sa carrière. Ce n est pas toujours très fin mais cela reste drôle et les personnages sont attachants peut être parce qu il y en a toujours un en qui on se reconnaît un peu.
"Salut les filles" : tel est le nom que donne parfois Daniel Auteuil aux comédies qui l’ont rendu célèbre. Il n’est d’ailleurs pas surprenant de voir que cette phrase est une des premières répliques qu’il prononce dans le titre qui l’a fait connaître : Les Sous-doués (parfois appelé Les Sous-doués passent le bac suite à la sortie du second volet). Il faut avouer que le film de Claude Zidi ne vole pas très haut : il est volontairement débile avec des comédiens n’hésitant pas à adopter un jeu exagéré. Zidi, qui avoue avoir tourné ce film pour payer ses impôts, sait qu’il filme un pur produit commercial et ne cherche pas à faire dans le bon goût et adopte une absence de réflexion morale typique de cette époquespoiler: (on ose rire d’un policier mort dans une explosion et certaines représentations de personnages seraient vu aujourd’hui comme étant à la limite du sexisme ou du racisme) . Ainsi, même si le film a été un très gros succès (près de 4 millions d’entrées en France et de multiples rediffusions télévisées), ce dernier a dû un peu surprendre ses créateurs puisqu’ils avaient conclu leur récit sur une scène se déroulant dix ans plus tard (la suite Les Sous-doués en vacances se déroulant donc entre les deux dernières séquences). Ainsi, malgré certains passages qui ont marqué l’esprit des français comme celles de la "machine à apprendre" et la présence de comédiens plus ou moins prestigieux (outre Daniel Auteuil, on retrouve Maria Pacôme, Michel Galabru, Hubert Deschamps, Tonie Marshall ou Richard Bohringer), Les Sous-doués est une comédie un peu nanardesque qui a beaucoup vieilli.
"Les Sous-doués" (rebaptisé "Les Sous-doués passent le bac"), comédie culte française réalisée par Claude Zidi, sortie en 1980. Séance nostalgie avec ce film des années 80, vu et revu, toujours avec autant de plaisir. Le plaisir de retrouver l'ambiance potache du cours Louis XIV, la bande de lycéens les profs et toutes les scènes d'anthologie que nous ne raconterons pas ici. C'est le 13e film le plus vu en France. Un succès qui permettra à Claude Zidi de produire "Les Sous-doués en vacances" en 1982.
un scénario plutôt léger, à l'image du constat d'époque, avec une certaine insouciance. C. Zidi propose une gentille comédie, plus efficace que le premier "Sous-doués en vacances", avec quelques gags hilarants. la confrontation Auteuil-Pacôme vaut le détour.
Le plus grand film de l'histoire du cinéma français ! Chaque phrase, chaque mot, chaque intonation, chaque silence, chaque regard, chaque plan est juste parfait !
Comédie culte de l’année 1980, il convient de reconnaître que ce film de Claude Zidi possède un humour franchouillard consternant. Une bande de lycéens fainéants s’apprêtent à passer le baccalauréat. Tous les moyens sont bons pour réussir. Avec des gags volontairement potaches, dont certains seraient soumis à une vive critique quarante ans plus tard (connotation raciste), on a le droit à un festival de lourdeur. On retiendra que ce film a permis de lancer la carrière du jeune Daniel Auteuil, aux côtés de vieux briscards (Maria Pacôme, Michel Galabru, Hubert Deschamps, etc.). Bref, on frôle le véritable navet.