Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Critikat.com
par Gildas Mathieu
Méprisé par son auteur, esthétiquement daté, "Irma la Douce" démontre pourtant un savoir-faire toujours aussi efficace.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
[Reprise] [La] stylisation a un but : mettre en scène un duo dont [Billy Wilder] ne se lasse pas, MacLaine et Lemon (...). Il en avait fait des êtres à la dérive, corrompus par la banalité et la cupidité quotidiennes. Malgré leur statut social Irma et Nestor sont d'une pureté incorruptible et pour une fois, Wilder ouvre brèche dans la muraille de son cynisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
par Vincent Ostria
"Irma la douce" est la tentative un peu ratée de dupliquer le succès de La Garçonnière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
[Reprise] Malheureusement, après une heure fort agréable, l’auteur met en place le quiproquo principal, noeud central d’une intrigue qui manque sérieusement de mordant. Dès lors, le film s’enfonce dans les clichés les plus éculés.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
Méprisé par son auteur, esthétiquement daté, "Irma la Douce" démontre pourtant un savoir-faire toujours aussi efficace.
Le Monde
[Reprise] [La] stylisation a un but : mettre en scène un duo dont [Billy Wilder] ne se lasse pas, MacLaine et Lemon (...). Il en avait fait des êtres à la dérive, corrompus par la banalité et la cupidité quotidiennes. Malgré leur statut social Irma et Nestor sont d'une pureté incorruptible et pour une fois, Wilder ouvre brèche dans la muraille de son cynisme.
L'Humanité
"Irma la douce" est la tentative un peu ratée de dupliquer le succès de La Garçonnière.
aVoir-aLire.com
[Reprise] Malheureusement, après une heure fort agréable, l’auteur met en place le quiproquo principal, noeud central d’une intrigue qui manque sérieusement de mordant. Dès lors, le film s’enfonce dans les clichés les plus éculés.