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chrischambers86
13 706 abonnés
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4,0
Publiée le 20 août 2020
Voilà ce qu'on a appelle un film inventif, loufoque et sèrieusement dèrangè! Coproduit par tonton Spielberg, "Who Framed Roger Rabbit" de Robert Zemeckis crèe l'èvènement en 1988 en cartonnant dans les salles obscures! Tout le monde voulait voir cette association rèjouissante des acteurs avec des dessins animès! Un privè à la Bogart, une vamp sortie tout droit de Tex Avery, un lapin fou d'amour pour elle...et un Dumbo qui travaille pour des cacahuètes! Une enquête complètement folle et inèdite au pays des Toons! La mise en scène est virtuose et Eddie Valiant alias Bob Hoskins, que ce film rendit cèlèbre dans le monde entier, formidable! N'oublions pas de citer l'effrayant Christopher Lloyd qui joue un criminel adepte de la trempette! Presque traumatisant pour le jeune public qui n'a pas oubliè ses yeux et la mort de la petite chaussure dans ce liquide verdâtre! A l'arrivèe, trois Oscars à Hollywood (meilleurs effets visuels, effets sonores et montage) pour le mariage explosif du film noir et du cartoon! Un vèritable tour de force et un final qui dèmènage...
Le Film est Excellant. Je Trouve l'idée super original de mélanger animation et film. Roger Rabbit est un loufoque. spoiler: J'ai trouvé très original de croire le (Picoti Picota) comme si ils l'avaient fait. Christopher Lloyd est méconnaisable et Bob Hoskins amusant. Bref, les effets sont magiques, le script idem . Robert Zemeckis a réalisé un coup de maître avec "Qui veut la peau de Roger Rabbit !". A Voir.
Film noir typique: héros désabusé, meurtres sordides, sombres secrets, femme fatale et... Toons! Avec son mélange astucieux entre acteurs en chair et en os et personnages d'animation et son humour décapant, gaguesque mais pas si enfantin que ça, Mais qui veut... se démarque par son originalité et plaira aussi bien aux petits qu'aux moins petits. L'animation, impressionnante -surtout compte tenu de l'époque- est un parfait pendant aux acteurs qui ne sont certainement pas en reste! Un impératif du cinéma qui s'inscrit sans conteste dans la catégorie des films cultes!
Robert Zemeckis touche dans l'originalité la plus totale pour cette enquête policière comique qui mêlera le réel à l'animation cartoon,transformant ainsi l'envers du décor Hollywoodien par cette astuce.Et les années n'ont toujours pas eu la peau de Roger Rabbit,qui garde tout son charme et sa crédibilité,et nous fera replonger avec le plus grand des plaisirs dans les souvenirs d'enfance à regarder les dessins-animés avant d'aller au lit.Un indémodable.
Le mariage d'acteurs réels et de personnages animés avait bien été tenté dans des séquences isolées (notamment dans Mary Poppins), mais jamais à ce niveau. Ici, ça atteint un degré de perfection inégalée, l'insertion des personnages devant paraître extrêmement réaliste ; une première dans l'histoire du cinéma. Mais Zemeckis ne mise pas que sur les prouesses des studios Warner et Disney associés intelligemment, derrière le côté technique de cet habile mélange, on trouve aussi un scénario bien ficelé de film noir, des personnages soigneusement pensés, et surtout c'est un film hilarant, un feu d'artifice non-stop où les gags les plus absurdes ou les plus fous se succèdent dans une loufoquerie des plus réjouissante, avec la joie de retrouver les plus célèbres héros de cartoons. Le réalisateur offre un supplément d'originalité à toute cette agitation, et dont certaines scènes sont vraiment à se pisser aux culottes (notamment la scène d'ouverture, avec la sortie du décor de Baby). Un grand classique du film de distraction.
Il fallait oser mais Robert Zemeckis l’a fait ! En effet, avec Qui veut la peau de Roger Rabbit, il arrive à créer un film mélangeant sur toute sa durée des personnages de dessins animés (qui plus est en associant, pour l’unique fois de l’Histoire du cinéma, ceux de Warner à ceux Disney et de la Paramount, grâce à l’influence du producteur Steven Spielberg) avec de vrais comédiens d’une façon tout à fait convaincante. En outre, ces trucages géniaux sont crédibilisés grâce à une excellente histoire (adaptant très librement le roman Who Censured Roger Rabbit ? de Gary K. Wolf) et à une bonne dose d’humour. On s’amuse, en effet, énormément tout au long du film que l’on soit enfant ou adulte : les petites blondes s’amuseront face aux facéties des toons et le public plus âgé pourra à la fois rire devant celles-ci mais aussi comprendre nettement mieux les blagues à connotations sexuelles, les thématiques plus sérieuses (dénonciation de l’ultra-capitalisme et de la dureté d’Hollywood, racisme…) et les clins d’œil cinématographiquesspoiler: (on pourra notamment s’amuser en voyant Joel Silver incarner un réalisateur) . En outre, le film bénéficie d’un choix de casting parfait avec des comédiens totalement adaptés à leurs rôles (en particulier, Bob Hoskins idéal en détective privé alcoolique et Christopher Lloyd qui surjoue tellement son personnage que ça en devient génial) et, pour le public hexagonal, d’une version française de l’on pourra même préférer à la version originale (pourtant excellente) grâce au travail exceptionnel de Luq Hamet dans le rôle de Roger Rabbit qui est associé à d’autres pointures du doublage comme Marc de Georgi, Pierre Hatet, Michel Modo et Richard Darbois ainsi qu’aux voix habituelles des personnages de dessins animés (Guy Piéraud pour Bugs Bunny et Woody Woodpecker, Arlette Thomas pour Titi, Pierre Thébaud pour Daffy Duck, Georges Aminel pour Sylvestre, Jean Droze pour Porky Pig, Claude Joseph pour Sam le pirate ou Guy Montagné pour Donald Duck et Droopy). En outre, la bande originale d'Alan Silvestri arrive à lier parfaitement l’ambiance de film noir avec une musique jazzy (utilisant notamment le standard Why Don’t You Do Right) à des thèmes parfaitement adaptés aux dessins animés. Ainsi, avec Qui veut la peau de Roger Rabbit, Robert Zemeckis réussit parfaitement son pari risqué (le film étant, à l’époque, le plus cher jamais produit) et réalise tout bonnement un chef-d’œuvre tous public qui arrive parfaitement à faire croire à une histoire mélangeant de véritables comédiens et des personnages de dessins animés (à tel point que Jessica Rabbit est parfois citée comme étant un sex-symbol). À voir et à revoir infiniment.
Sorti en 1988, "Qui Veut la Peau de Roger Rabbit" reste à ce jour le meilleur film mêlant prise de vues réelles et personnages de cartoon. Reprenant les codes des films noirs, on y suit un personnage de détective torturé enquêtant sur la disparition d'un personnage. Mais ce postulat n'est que le point de départ pour déployer un univers d'une richesse incroyable et une histoire particulièrement inspirée. Mais la grande force du film réside dans sa capacité à faire interagir les acteurs et actrices avec les personnages animés de manière très convaincante. Notamment grâce à une réalisation et une mise en scène parfaitement maitrisées et toujours au service de la narration. Très souvent sous estimé, ce film est un chef d'œuvre qui mériterait d'être mieux connu et qui plaira aux petits et aux grands.
Franchement c'est drôle, avec des bons acteurs (réels) et des toons en pagaille ! On rit devant cet hollywood rendu malade par des personnages de dessins animés !
Excellente comédie avec de bons effets spéciaux mêlant les personnages animés à la réalité. Beaucoup d'humour et de termes très bien trouvés, notamment la fameuse "trempette". Le personnage de "Roger" est à tomber ! Il est parfaitement idiot et donne d'excellentes répliques. Attention, le film est à réserver aux adultes, spoiler: surtout quant au final avec Christopher Lloyd qui joue les méchants et qui "fond" .
ah la la ce film je connaissais un paquet des répliques et chanson...Picoti Picota...on rase gratis...la trempette...Moi...Jessica...le monde des toons...etc ce fut plus qu'un réel plaisir de revoir ce film mais là encore une fois, sur grand écran cela donne ce truc en plus!!! Bon ok j'ai dégusté à l'école avec ce film mais toujours adoré ce film et vu la femme que "j'avais" je pouvais répondre!^^
Après l'immense succès de Retour vers le futur, Robert Zemeckis se lance dans une comédie d'aventure déjantée où un privé des années 40 enquête sur un mystérieux meurtre dans un monde où les personnages de dessins animés côtoient les être humains. Et si l'idée n'est pas vraiment inédite (les films Disney Mary Poppins ou encore Peter et Elliott le dragon ont déjà pris les devants), cette adaptation du roman "Who Censored Roger Rabbit ?" de Gary K. Wolf est pour le moins non seulement la plus réussie mais est également une véritable œuvre culte qui va cette fois-ci vraiment propulser son réalisateur au rang des plus doués et des plus imaginatifs metteurs en scène d'Hollywood... Dans cet univers déluré, les toons sont donc avant tout des acteurs vivant entre les studios et Toonsville, leur propre ville animée, mais sont également pourvus des mêmes défauts que nous autres humains : crises d'angoisse, doutes... Des sentiments en somme. De plus, le terrible Juge DeMort (incroyable Christopher Lloyd a désormais mis au point un liquide pouvant tuer les toons, alors immortels : la redoutée "trempette". C'est donc dans ce monde coloré où les problèmes vivent quotidiennement avec les rires que le détective privé Eddie Valiant (Bob Hoskins, né pour le rôle) enquête sur le meurtre du dirigeant d'ACME, apparemment tué par la star des écrans devenu dépressif Roger Rabbit. Forcé de s'allier à ce personnage excentrique, le seul humain qui déteste les toons va devoir garder son sang-froid pour résoudre ce qui semble être l'enquête la plus compliquée qu'il ait jamais faite. Une intrigue complexe et travaillée digne des plus grands polars, des personnages variés et attachants, des rebondissements exaltants et une mise en scène tout bonnement bluffante où acteurs en chair et en os interagissent avec précision avec des personnages animés font de ce long-métrage atypique une totale réussite où rires et frissons sont dosés à la perfection. Robert Zemeckis prouve qu'il est un roi des effets spéciaux dans cette œuvre fantastique maîtrisée de A à Z, au scénario rocambolesque et aux séquences d'action palpitantes où, pour la première fois, de nombreux personnages cultes de cartoons sont réunis à l'écran. Ainsi, Qui veut la peau de Roger Rabbit est un film non pas unique mais incroyablement réussi et surtout diablement addictif.
La formidable alliance du cinema traditionnel et du dessin-animé où l'on retrouve avec bonheur les toons qui ont bercés notre enfance. L'histoire est superbement menée par ces acteurs de papier et par l'excellent Bob Hoskins, et si les cabrioles de Roger Rabbit finissent par devenir lassantes, on garde un excellent souvenir de cette agréable composition signée Zemeckis.
A la fin des années 80, Robert Zemeckis a voulu remettre au goût du jour le mélange film live/dessin animé. Procédé qui a fait le succès de certaines productions Disney. Cependant, son approche se veut plus adulte (ici pas de féerie spoiler: mais une sombre histoire d’adultère, de meurtre, de destruction des Toons et de leur ville !). Malgré des difficultés pour entrer dans l’histoire, j’ai beaucoup aimé le générique cartoonesque d’anthologie, Bob Hoskins en détective privé qui (au départ) spoiler: ne porte pas les Toons dans son cœur, la sublime femme du lapin (à tomber !), les personnages (et les accessoires) de dessins animés venus aussi bien de chez Disney que de chez Tex Avery, le juge et sa dangereuse « Trempette », les méchantes fouines , les révélations finales… Le lapin, lui, m’a légèrement agacé par son côté foufou. Mais ce film n’en demeure pas moins une curiosité unique en son genre, à voir ou à revoir.
Après "Retour vers le futur" Robert Zemeckis a réalisé une autre perle du cinéma entertainment: "Qui veut la peau de Roger Rabbit ?" Véritable hommage aux cartoons qui ont bercé notre enfance, le film possède le même humour sadique mais qui fait pas mal, surréaliste et exagéré pour notre plus grand bohneur. Les acteurs interagissent avec des personnages de dessins animés et même si 25 ans après les effets spéciaux ont pris un petit coup de vieux ( ce qui est normal mais c'était une prouesse technique à l'époque qui a reçu un oscar ) la magie opère toujours. L'intrigue nous plonge dans le Los Angeles des années 40 en plein âge d'or d'hollywood ou se trame magouille financière, stars dépressifs, sexe. Ambiance "LA Noire" parfaitement respecté. Hilarant et ultra divertissant sont les premiers qualificatifs qui nous viennent à l'esprit pour décrire le film. Le rythme comique imite celui des cartoons, se révèle bourré d'idées de mise en scène, de gags et on jubile de voir en figurations des personnages biens connus des univers Disney Warner bros ou tex avery. La scène de bataille de piano entre Daffy duck et Donald duck est culte et voir Bugs Bunny et Mickey Mouse réunis ensemble dans un même film fait son petit effet. Enfin bref, c'est génial et il faut absolument le voir.
Des années après, ce film a conservé toute sa magie et sa fraîcheur. Ce film qui reprend les codes du film noir en les mélangeant à ceux du cartoon est tellement superbement réalisé qu'on n'a aucun mal à entrer dans cette histoire et à s'y laisser entraîner. Et puis il y a le personnage de Jessica, que les scénaristes ont rendu intelligente et tellement troublante. Certains croient encore qu'il s'agit d'un film pour enfants, les pauvres ! Chef d'œuvre !