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chrischambers86
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3,0
Publiée le 10 septembre 2014
Une histoire poignante où l'enfant a une place très importante! Quelque chose comme ce que Jon Voight a fait dans le domaine du film de boxe avec "The Champ". La rèfèrence à ce classique de Franco Zeffirelli fera peur à certains coeurs de pierre dans la mesure où le film en question leur paraîtra être un gros sucre d'orge ècoeurant au premier coup de langue! Pour les autres, cette version seventisèe de "The Champ" est un mèlo triste, triste, triste! Le film de Zeffirelli a remportè un ènorme succès et a fait pleurer l'Amèrique entière! Remportant le fameux Golden Globe Award, le jeune Rick Schroder, qui jouait là son premier rôle au cinèma, pleure toutes les larmes de son corps en èvitant les poncifs du genre et crèant dans le final une rèelle èmotion! Le grand mètier du rèalisateur italien, la qualitè de l'interprètation assurent à ce mètrage triste, triste, triste, une sincèritè assez remarquable! Avec du beau monde dans le reste de la distribution : Faye Dunaway, Joan Blondell et même Elisha Cook Jr.! Evidemment, il n'y a aucune honte à verser une petite larme...
A courir plusieurs lièvres,"le Champion"(1979)n'en capture aucun.Tour à tour drame familial,chronique naturelle et film de sport,le film de Franco Zeffirelli vieillit très mal,et ce n'est pas uniquement une question de doublage français désastreux.Il a parait-il été élu film le plus triste de tous les temps.La fin est effectivement poignante(bien que trop téléphonée),mais il ne faut pas exagérer quand même.Jon Voight trouve ici un rôle complet et digne,de père sans le sou qui renfile les gants de boxe pour continuer à susciter l'admiration de son fils.Les choses se compliquent lorsque la mère du petit,disparue depuis 7 ans,refait surface et réclame son droit parental.Celle-ci est incarnée par Faye Dunaway,qui parvient à rendre sympathique ce personnage assez opportuniste et égoïste.On ressent effectivement de l'injustice.On se dit que l'amour envers ses parents ne se commande pas,et n'est pas une question pécunière.La structure du film est très bancale,et l'excès de larmoyance finit plomber le mélodrame,et noyer l'émotion.Le gamin joue très bien.Mais je n'aime pas être pris en otage avec un réalisateur qui nous ordonne de pleurer.
Deux ans après avoir réalisé le gigantesque film "Jésus de Nazareth", Franco Zeffirelli décide de se tourner vers une histoire beaucoup plus intimiste, celle d'un petit garçon qui admire son père, ancien champion de boxe. Le charme de ce film opère tout de suite dès le début du long-métrage grâce à une formidable photographie de la nature et par le rapport père/fils interprétés respectivement et avec talent par Jon Voight et Rick Schroder. Ce rapport traduit l'amour, le père n'a que le fils et le fils n'aime que son père, cette solitude ne semble pas les gêner puisqu'ils se suffisent à eux-mêmes jusqu'à ce que la mère de l'enfant qui l'avait abandonné apparaît dans ce couple jouée par Faye Dunaway. Le film se classe dans plusieurs catégories: comédie, action, drame, mélodrame. Le film joue la carte de l'émotion dans des rapports difficiles, celle d'une mère qui veut connaître son enfant et l'enfant qui ne sait pas qu'elle est sa mère. Que retient-on de ce film? C'est qu'il est tout simplement grand et sublime débouchant sur un final spectaculaire et dramatique. Jon Voight trouve ici le rôle de sa vie, celle d'un ancien boxeur champion du monde qui veut remonter sur le ring pour gagner de l'argent afin que son fils ne manque de rien. Les questions sont les suivantes: une mère peut-elle reprendre son fils après l'avoir abandonné pendant ses huit premières années pour effectuer une grande carrière dans le milieu de la mode? Le gamin qui adore son père pourra-t-il vivre sans sa présence, lui qui l'admirait tant pour ses exploits sportifs malgré le milieu riche dans lequel baigne sa mère? Celui qui aura vu le film pourra sans doute trouver des réponses à ces questions qui paraissent simples mais les sentiments humains ne concordent parfois pas avec les statistiques car l'émotion ne se calcule pas comme des mathématiques et c'est cette humanité qui sort de ce film qui le rend si universel. Franco Zeffirelli élabore et signe un film gigantesque et vraiment extraordinaire.
Un film d’une puissance incroyable… L’héritage d’une peine, d’une déchirure face à l’adversité du destin… Ce film vieillit de par une qualité d'image et de son en perdition, mais l’essentiel est là… Grand film !
Ce film est vraiment magnifique. Dés le début, on est séduit par le jeune TJ, une relation entre père et fils exceptionnel. Des moments drôles, d'autres tristes...Et difficile de retenir ses larmes à la fin ! L'un de mes films préférés !
Zeffireli maitrise parfaitement son sujet, il nous fait rentrer dans son jeu sans avoir l'air d'y toucher pour nous assèner au final un direct au coeur redoutable malgré une garde solide. Le duo Jon Voight, Rick Schroder n'y sont pas pour rien non plus.
un film sur un ancien champion de boxe mais qui ne traite pas que de sport car c'est également un drame parfois triste le sport tient une place secondaire dans cette histoire pour les amoureux de la boxe passez votre chemin car ça ne risque pas de vous perdre si vous attendez de voir que des combats. Un ancien champion de boxe élèves seul sont fils dans des écurie lorsque se dernier reçoit un cheval en cadeaux et qu'il le fait courir il découvre qu'il a une mère. Un film bien écrit , réaliser et le petit garçon de 7 ans livre interprétation exceptionnel pour son âge juste incroyable il mériterait même un Oscar il y a pas d'âge pour gagner la statuette car si tu as du talent tous dois te sourire. j'ai rarement vu un enfant acteur jouer aussi bien il arrive même à mieux jouer que certains . Faye denaway et Jon voigt sont d'excellent comédien, rire parfois et surtout émotion sont au programme.
Effectivement, "Le Champion" peut être considéré comme le film le plus triste du monde. On dit que pleurer fait du bien. Je ne sais pas. Car là, on est sonné, K.O. "Un uppercut en plein coeur d'une violence" qui vous marque à jamais. J'ai du resté plus de quinze ans sans le voir. Et bien, l'émotion n'a pas changé. Impossible de retenir mes larmes. Le jeune Ricky Schroder est phénoménal. Il crève littéralement l'écran. "Le Champion" fait passer "Million Dollar Baby" pour la plus drôle des comédies. Si si. Je n'exagère pas.
Assez bluffant à découvrir aujourd'hui, cet opus de Franco Zeffirelli, cinéaste italien ayant connu des succès importants à Hollywood (La mégère apprivoisée, Roméo et Juliette), est une sorte de croisement entre Kramer vs Kramer, sorti la même année, et Rocky. Il partage avec ce dernier (pas étonnant à seulement trois ans d'intervalle) de sacrés points communs niveau mise en scène et chorégraphies dans le combat final. Par ailleurs la boxe occupe une toute petite place ici, puisque priment les portraits de trois personnes, toutes brisées à un degré divers. Les milieux sociaux ayant séparés le couple sont évoqués en catimini, sans grande finesse dans le fond, mais qu'importe tant la l'empathie fonctionne avec ce casting au poil: le petit Ricky Schroder (futur héros de la série Ricky ou la belle vie et détective de NYPD Blues) émouvant de bout en bout, un Jon Voigt dans un rôle sur-mesure et une Faye Dunaway en grande bourgeoise déconnectée retrouvant les plaisirs simples. L'attachement à cette œuvre s'explique largement par l'époque dans laquelle elle est ancrée, il serait beaucoup plus boiteux de réaliser un tel film dans les années 2010, le cynisme étant passé par là. Ces successions de musiques intimant presque l'ordre de pleurer, ces visages embuées de larmes à de multiples reprises, ces valeurs rurales de celui qui a si peu mais offre pourtant tout (la séance de cadeaux du père au début), auraient un vraisemblable écho suranné de nos jours.
Un film quelque peu émouvant dans lequel les scènes de boxes sont très secondaires. C'est plutôt l'histoire d'une famille déchirée qui nous émeut, mettant en avant l'admiration d'un film pour son père qui est prêt à tout pour sa progéniture.