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Un visiteur
1,5
Publiée le 9 mars 2021
Que dire.... Murphy a un second rôle dans ce film... Ce second opus n'aurait pas dû exister car vraiment pas a la hauteur du premier. Les blagues ne sont pas drôle, l'histoire pas recherché, oui effectivement c'est sympa de les voir réuni une seconde fois.... Ou pas, pour ma part c'était malaisant. Et Eddie Murphy sans la voix original française dur dur
Il est dommage que la fable politique, dans Coming to America, se cantonne au chemin balisé de la comédie romantique sur fond d’outrances et de grossièretés ; il y avait là un sujet en or sur les quartiers pauvres de New York, en l’occurrence le Queens, et le regard d’Akeem, comme celui de Candide chassé de son paradis terrestre, n’est que rarement démystificateur. John Landis aborde le politique comme un vaste cérémonial exotique mais ne pense jamais l’étape américaine de son prince en confrontation de valeurs idéologiques ; son seul propos, par ailleurs convaincant, tient à l’idée que l’amour nous pousse à dépasser les apparences pour changer celui que l’on aime en prince, celle que l’on aime en princesse. L’habit ne fait pas le moine, et la plus grande des richesses se trouve dans le cœur humain. Tout cela s’avère charmant mais manque cruellement de mordant. Aussi la première partie du long métrage tourne-t-elle à vide, entrecoupée d’idées loufoques plutôt réjouissantes ; la seconde réussit néanmoins à accrocher son spectateur par l’attachement qu’elle porte à des personnages pourvus d’une certaine authenticité et d’une justesse d’écriture. Les caricatures s’estompent peu à peu pour laisser voir deux amants contraints d’évoluer dans un même modèle patriarcal qui pense le mariage tel un arrangement économique et intéressé entre deux familles. C’est donc sur la reproduction des traditions dites ancestrales du royaume de Zaminda dans les quartiers pauvres de New York qu’insiste justement la fable, laissant McDowell et ses barbiers médisants en toile de fond comique alors qu’ils signifiaient bien davantage – le fait, par exemple, que McDonald’s gave les populations les plus pauvres de produits alimentaires médiocres responsables de l’obésité, du diabète et d’autres maladies et cancers, reproduit ici en une simple déclinaison rigolote.
Après "Un fauteuil pour deux", Eddie Murphy, alors au sommet de sa gloire, retrouve John Landis en 1988 pour "Un prince à New York. Un histoire d'ailleurs signée de l'acteur lui-même, dans laquelle un prince africain décide de se rentre à New York pour dénicher sa dulcinée. Le long-métrage est un immense succès commercial. Sans être un chef-d'oeuvre comique, le film fait toujours mouche aujourd'hui. Plusieurs scènes restent encore très drôle et l'ensemble n'a que légèrement vieilli. Murphy y est central, inaugurant d'ailleurs ce qui deviendra une marque de fabrique, à savoir l'incarnation de plusieurs personnages différents. Après les succès du "Flic de Beverly Hills", "Un prince à New York" vient conclure une décennie 1980 couverte de gloire.
Un film qui peux être regarder en famille le jour de noël après avoir profiter des cadeaux ou bien le soir du réveillon pour calmer tous le monde car en effets les performance de Eddie Murphy et arsenio Hall qui interprète chacun plusieurs personnages même si ils ne sont pas toujours reconnaissable c'est dans l'ensemble une bonne prestation. Un Prince issu d'un pays (imaginaire d'Afrique ) ne souhaite pas épouser sa promisse que tous le monde veux lui forcer à épouser il ce rend donc au état Unis plus précisément a New-York dans le queens pour trouver ça futur femme accompagner de son fidèle serviteur il vons devoir travailler et vivre modestement pour pouvoir séduire une personne mais les ennuie arrive vite . Une comédie de noël donc comme souvent pas très drôle mais plutôt de qualité sympathique a voir , drôle accessible a tous le monde .
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4,0
Publiée le 20 octobre 2020
Grand succès à sa sortie pour cette comèdie complètement loufoque de John Landis! Des palais d'Afrique au McDonald's new-yorkais, Eddy Murphy, dans un conte de fèes hilarant, mène une existence de rêve avant de partir incognito pour croquer la Grosse Pomme et trouver le grand amour en la personne de la charmante Shari Headley! il n'y a que la star du comique amèricain qui pouvait jouer ce gentil prince hèritier d'un royaume imaginaire d'Afrique! Même ses embêtements et ses mèsaventures dans le Queens lui apparaissent comme extraordinaire! Humour et tendresse font bon mènage dans ce film culte des 80's avec une belle brochette d'hurluberlus, Arsenio Hall volant presque la vedette à Murphy! Et puis si vous êtes un peu dèprimè en ces temps de bactèrie menaçante, revoyez donc ce "Coming to America" dont la suite est prèvue pour janvier 2021...
J'ai adoré ce film pour l'histoire et la morale : trouvez quelqu'un qui vous aimera pour ce que vous êtes et non pour ce que vous avez. Drôle et émouvant à la fois.
Film vachement drôle qui montre l'histoire d'un prince qui est victime de "mariage forcé" et qui va chercher l'amour de sa vie dans le quartier queens de NY ... On voit le prince et son serviteur passer de palais snob à quartier sensible... Bref film très drôle qui mérite d'être vu...
Eddie Murphy dans ce film , est tres bon . Un prince a New York est une tres bonne comédie en rajoutant de la romance . Ces deux thèmes se mélangent tres bien et font de tout ça , une superbe histoire !
Un prince à New York, c'est un film produit par Eddie Murphy, dont l'histoire a été écrite par Eddie Murphy et c'est Eddie Murphy qui joue le prince. Il est au top de sa gloire en 1988 après deux épisodes de Le Flic de Beverly Hills, L'enfant sacré du Tibet et Un fauteuil pour deux. Il s'essaie à la comédie romantique même si on dirait avant tout un conte. C'est ce prince qui, avec humour, s'aperçoit qu'il vit dans une cage dorée. Qu'il ne peut même pas penser par lui-même. Ni choisir sa future femme parce qu'il y a les traditions. Avec l'aide de son meilleur ami, il décide d'aller dans un quartier pauvre de New York. Le comique est basé sur le décalage entre ce prince richissime et la misère ambiante. Et pour séduire cette femme, se pose le dilemme : faut-il qu'il lui avoue sa véritable identité et prendre le risque qu'elle aime le prince plutôt que l'homme ou lui mentir en lui cachant qui il est ? Comme c'est un conte, il n'y aura guère de surprise quant à l'issue finale. J'ai apprécié de le voir sobre quand il déclare ses sentiments. A noter que c'est aussi la première fois qu'Eddie Murphy campe plusieurs personnages au sein d'un même film. Il s'en fera une spécialité plus tard dans des comédies bien plus balourdes.
J’ai trouvé cette comédie assez plaisante et drôle. Elle repose entièrement sur le talent de l’humoriste qui avait percé au grand jour grâce au Saturday Night Live. Si vous n’aimez pas trop son humour, il vaudrait mieux passer votre chemin. Il excelle totalement dans son rôle. Après LE FLIC DE BEVERLY HILLS, c’est incontestable qu’il est fait pour être sur le devant de la scène. On n’aura certes pas un film intelligent, les blagues seront assez basiques, mais je l’ai trouvé efficace. On sait ce qu’on vient chercher rien qu’avec le titre. La construction n’a vraiment rien d’original et il est vrai que sans Eddie Murphy, je pense cela aurait été catastrophique. Les seconds rôles sont réduits à leur plus simple expression. Comme on est dans les années 80/90, il y aura bien entendu tous les clichés que colporte Hollywood sur la culture Africaine. Le royaume du Zamunda est bien loin des prouesses du Wakanda, et on a l’impression que leur vision de l’Afrique c’est arrêté à une autre époque. Heureusement, cette mascarade est juste une minorité du film. Par contre, j’ai trouvé bien sympathique le clin d’œil à UN FAUTEUIL POUR DEUX avec les frères Duke.
Un naïf et gentil divertissement de fin d’année, typique des années 80, au tiers-mondisme un brin raciste, au féminisme un peu machiste. Tout est pris dans un scénario tellement cousu de fil blanc et saturé de bonnes intentions qu’on a à peine le cœur à faire des reproches, mais même si le divertissement est sympathique et Eddy Murphy toujours très charismatique, le rythme est lent, la réalisation très plate, le montage trop mou et les passages avec les coiffeurs très lourds.