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CeeSnipes
283 abonnés
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2,0
Publiée le 20 novembre 2011
Eddie Murphy a toujours été le roi pour se dégoter des films aux synopsis plus improbables les uns que les autres.
Cette fois, il est à la recherche d'un enfant doté de pouvoirs magiques et tombe amoureux de sa bien jolie commanditaire (Charlotte Lewis, la fille à l'origine du scandale Polanski). C'est débile, infantile, assez mal écrit en plus par Dennis Feldman et pourtant, Eddie Murphy délivre une de ses meilleures performances de sa carrière, pourtant déjà remplie par quelques excellents films comme Le Flic de Beverly Hills ou Un Fauteuil pour Deux. Quant aux autres acteurs, c'est eux qui sauvent ce film de la nullité crasse, comme Charlotte Lewis, Charles Dance (excellent) ou encore le trop rare et excellent James Hong. Certaines scènes sont ridicules jusqu'au bout et beaucoup trop longues (celle du TV Show par exemple) et le tout est assez compliqué quand même.
La réalisation est toute pourrie, sans rythme et ne laisse jamais Eddie Murphy faire son numéro à fond et c'est bien dommage. La musique de Michel Colombier est excellente cela dit.
Il fût une époque où la superstar E. Murphy pouvait tourner dans n'importe quoi et faire un carton au BO sans forcer. Dans ce film à destination d'un public enfantin, E. Murphy fait son numéro, aligne les numéros d'impro plus ou moins drôles dans une intrigue toute moisie qui tient à peine l'oeil en éveil. Il faut dire que la mise en scène d'un bon gros "yes man" (içi, M. Ritchie, réalisateur culte de... ben rien en fait) n'aide pas, ce dernier collant des plans les uns à la suite des autres, sans imagination ni folie avant un final aux effets spéciaux pas top top (même ceux de "The thing", sortit 4 ans avant, sont plus réussis). Bref, c'est un sous-produit, un truc laid et sans âme, à l'histoire débile et joués sans passion. Direction l'oubli.
En 1986 sortait L'enfant sacré du Tibet, ou les nouvelles aventures d'Eddie Murphy au pays de la connerie. Malgré le fait que l'acteur s'en donne toujours à coeur-joie, nous réservant quelques répliques drôles, le film brille surtout par son absurdité et sa nullité affligeante. C'est tellement pitoyable que ça en devient risible. Le scénario est grotesque, le fantastique étant amené de façon niaise, manquant de finesse. L' élu de Dieu, un enfant aux pouvoirs magiques, dont dépend rien de moins que la survie de notre monde, un démon prêt à tout pour l'empêcher d'exercer ses bienfaits... C'est gros, on n'y croit absolument pas, mais pourtant, on regarde le film jusqu'au bout. C'est à ni rien comprendre.
D'une nullité affolante, cela ressemble très souvent à une série B ou Z, tellement la qualité de la mise en scène laisse à désirer. L'histoire est à jeter aux ordures tellement elle est grotesque. Une comédie somme toute ratée dans son ensemble avec un Eddie Murphy toujours pétant la forme, mais bon on s'amuse bien devant son énergie. Mais il n'y a que ça...
Ca va être bref, j'ai pas retenu grand chose de ce film, faut dire que rien n'y fait pour que cela soit le contraire, scénario ultra brouillon et Eddie Murphy patauge dans la crétinerie.
le pire film d'Eddie Murphy, tout y est loupé, du casting au scènario en passant par des effets spéciaux minables et une réalisation foireuse !!! en un mot NUL !!!
Film culte des années 80, Golden Child est un pur produit d'aventures fantastiques comme on en faisait des tonnes à cette époque. À l'origine prévu pour être un pur divertissement d'action bourré d'effets spéciaux, le long-métrage prend très vite une tournure plus comique avec la présence dans le rôle principal d'Eddie Murphy, alors au top de sa carrière après le monstrueux succès du Flic de Beverly Hills. Ainsi, avec un tel comique à son bord, le film ne peut être que passablement marrant, notamment grâce (ou à cause) des mimiques propres à l'acteur. Par conséquent, le long-métrage oscille entre le film d'aventure épique et la comédie d'action soft. Dommage donc que le projet soit aussi peu convaincant, la première demi-heure n'étant qu'un long prélude à la véritable épopée que vont vivre son héros à savoir un assistant social forcené et la fille d'un grand moine tibétain. Cherchant des réponses quant à leur mystérieuse enquête, le début du film s'éternise hélas, peinant à clairement satisfaire et ce, malgré les nombreux combats mano a mano et les frasques burlesques de Murphy. Le film commence donc réellement à partir de la seconde moitié du métrage, lorsqu'ils décident de bel et bien sauver le fameux enfant sacré retenu prisonnier au Tibet par de dangereux démons menés par l'imposant Charles Dance (dans son premier rôle de bad guy marquant). Si Golden Child n'est pas aussi exaltant qu'il en a l'air, le film reste néanmoins sympathique, surtout grâce à la bonne humeur omniprésente d'Eddie Murphy, la présence du toujours aussi génial Victor Wong et les effets visuels d'ILM, encore aujourd'hui impressionnants. Au final, pas l'excitation espérée (le Jack Burton de John Carpenter est nettement plus réussi dans le même genre) mais un bon petit divertissement des 80s, inégal certes, mais bien dynamique dans son dernier tiers.
L'ensemble est divertissant, c'était le but recherché de ce film d'aventures et il arrive à le réaliser. On a vu mieux, on a vu plus drôle, mais "Golden child, l'enfant sacré du Tibet" occupera toute la famille le temps d'une soirée.
Un produit calibré où Murphy essaie de retrouver en vain le succès de « 48 heures » ou du « Flic de Berverly Hills ». Avec des seconds rôles moyens et un metteur en scène quelconque le pauvre Murphy s’escrime à tirer le maximum du peu de gags qui lui sont offerts. Le pire est qu’il a multiplié ce type de tentatives tout au long des années 90 sans plus de réussite, quittant ainsi les sommets qu’il avait atteint, détrôné par les Jim Carrey et autres Ben Stiller. Dommage.