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landofshit0
278 abonnés
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4,0
Publiée le 6 septembre 2012
Film a sketchs ou le caméléon V. Gassman passe d'un rôle a l'autre avec une incroyable aisance.On pourra le voir ainsi incarner un paysan,un employé de bureau,ou encore un prisonnier,il rentre impeccablement dans chacun des costumes octroyés.Comme toujours dans les films a sketchs,le niveau n'est pas forcement égal.Mais les chutes sont souvent excellentes,si le déroulement du sketchs peut être moyen.Les quatre premiers sketchs sont certainement d'un meilleur niveau que ceux venant clôturer le film un peu mollement certes,mais tout ça n'en n'est pas moins très agréable a suivre.
C'est un film à sketchs avec ses bons et moins bons scénarios, mais avec l'immense Vittorio Gassman et toujours cet humour et cette légèreté de la comédie italienne où les hommes et les femmes en prennent pour leurs grades à travers leurs petits et grands défauts........ Ettore Scola nous fait partager tout l'amour qu'il a pour les gens.......
Pas mal, les sketchs sont assez courts donc pas le temps de s'ennuyer et les chutes sont amusantes bien qu'un peu attendues. La VO doit mieux donner avec les différents personnages que joue Gasman le doublage n'est pas idéal.
Quelques sketches mettant en scène l'acteur italien Vittorio Gassman sur des récits où la femme n'a pas toujours le beau rôle. Film donc assez misogyne, même si l'humour est toujours présent . Les histoires ne sont pas toutes très bonnes, une ou deux sortent du lot seulement. La 1ère et la dernière, particulièrement. La réalisation n'atteint pas le sommet des grandes oeuvres de Scola, mais cela se laisse regarder sans ennui. (doublage français exécrable).
Il est toujours émouvant de découvrir, enfin, le premier film d'un cinéaste aimé. Dans l'esprit des Monstres, en moins méchant mais aussi cynique, Parlons femmes est composé huit sketches, tous interprétés par Gassman le caméléon (juste énorme) et d'égale qualité. Une vraie merveille que cette collection de situations comiques, à la chute toujours surprenante. Les hommes, machistes, veules et hypocrites en prennent pour leur grade. Les femmes, certes légères, sont plus aimablement traitées, comme souvent chez Scola. C'est drôle, c'est immoral, c'est jubilatoire. Un bijou de comédie italienne.
Premier film de Scola : suite de sketches plus ou moins réussis, assez misogynes dans l'ensemble, où Vittorio Gassman est omniprésent, déchaîné, cabotinant sans complexe, et c'est le meilleur du film !
film a sketchs d'un grand cinéaste Ettore Scola avec un grand acteur Vittorio Gassman ainsi que les différentes actrices.Pour qui aime la comédie italienne, ce film est une réussite. V. Gassman passe d'un rôle a l'autre avec aisance dans cette étude satirique de la société et surtout des relations homme- femme .Pour qui aime le cinéma italien un film a ne pas manquer.
Dire que le cinéma Italien à eu des grands films , et de grands réalisateur , le premier film de Scola : suite de sketches ennuyeux , en noir et blanc . Avec Vittorio Gassman qui nous livrera d 'autres films bien meilleur que celui ci . La comédie Italienne sombre vite dans la bouffonnerie , loufoque ,c'est dommage . Une réalisation asse plate , Scola nous livra , lui aussi d autres films . Pour moi son plus réussi à plein de niveau c est " le bal " en 1983
PARLONS FEMMES, ok, parlons alors de Sylva Koscina, la reine des deuxièmes rôles, en presque fin de carrière elle avait réussi à en décrocher un de plus, important pour elle, dans "Juliette des esprits" de Fellini, de Giovanna Ralli, la Rallina, comme on l'appelle en Italie, à cause de sa petite taille, du charme d' Antonella Lualdi (connue en France, bien des années plus tard, pour une série télé) et de Eleonora Rossi Drago, belle et tragique, très appréciée à juste titre dans l'hexagone. A mon sens, elles valent le détour. Question : Est-ce-que les stars italiennes étaient plus "glamour" que les Françaises ? Peut-être......
Film étonnamment un brin misogyne, pour un Ettore Scola devenu plus tard un bon élève de la gauche caviar italienne, le film est agréable à voir, malgré quelques lourdeurs et un Vittorio Gassman plutôt agaçant, comme d'habitude. Mais pour les inconditionnels de Vittorio, qui sont nombreux, ç'est la fête ! Mais il serait injuste d'oublier les femmes....
Un titre qui passe bien mal de nos jours ; c’est sans connaître les rôles de Gassman, toujours génial dans des interprétations aussi diversifiées dans les gestes que par le physique, qui a cette qualité rare de toujours être lui-même quel que soit le personnage. Il est évidemment la pierre angulaire des sketches de Scola, ce maître de la scuola galante pour qui les femmes sont des objets, mais nobles, des James Bond Ragazze caractérielles dans son grand bal.
Mais l’acteur ne fait pas tout : les courts-métrages ont aussi ce mérite de ne pas trépider autour de leur thème – un vice dans tous les cas – comme ils le font chez Risi. Les plus longs font même de la place à la fois à l’humour, au comique de situation discret – pas de vaudeville –, et à un ridicule qui arrive étrangement à se transformer en émotion sous sa coquille d’extravagance. Le thème est macho et étroit, mais les sketches les moins intéressants laissent au moins avec des yeux étonnés.
Une série de sketchs léger et drôle. Le premier est sans interêt mais les autres sont plus pertinent. J'ai bien aimé ce film, il y a comme un air de "Fanfaron" de Dino Risi avec Vittorio Gassman qui joue toujours aussi bien.
Un film qui repose entièrement sur Vittorio Gassman dans un film à sketchs qui tirent sur la farce avec des personnages féminins sans grand intérêt si ce n'est celui de donner la réplique. On se lasse et on regrette de ne pas en découvrir plus de l'Italie des années 60. En résumé : potache et paresseux.